-Comment vas-tu, Achille ?
-Je vais juste, sans rien de plus Aloys. J'ai l'impression de me rendre compte de ce que je n'ai jamais pu faire.
-Tu ne te sens pas triste ?
-Non
-Alors pourquoi tes larmes suivent le chemin vers ton menton ?
-Je ne peux pas les retenir. Elles sont comme l'amour que j'ai pour toi
-Je regrette, Achille. Jamais je n'aurai du t'écouter, foutu ange damné
-Nous sommes ensemble, Aloys.
-Être ensemble et triste n'a rien de jouissif.
-J'ai essayé, Aloys. J'ai essayé de ne pas t'aimer.
-Ca t'aurait tant aidé, Achille
-Mais maintenant que c'est fait, aime moi. Je t'en supplie aime moi comme la reine aime le roi, embrasse moi comme la rosée sur les feuilles du rosier, prends moi comme la mort t'as pris la vie.
-Achille, je t'aime déjà tellement. Ton amour brûle ma peau a chacun de tes mots. Et le soleil peut rougir face à l'amour que je te porte, car jamais il ne brillera comme mes yeux brillent quand je te vois.
-Pourquoi me regardes-tu ainsi ?
-Tes yeux inondés te donnent un charme fou
-Alors maintenant, c'est fait ?
-C'est fait. Et mes mains sont souillées
-Bien
-Comment vas-tu, Achille ? Comment vas tu depuis que tu es mort, comment vas-tu depuis que je t'ai tué.
Pas fan fan ...
Réactions ? --->
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oxy(mort)
Ficción General-Achille, la mort ne voudra pas de toi. -Le monde veut de moi, Aloys. -Mais la mort n'est jamais venue au monde. -Alors c'est moi qui viendrait à la mort.