|| Chapitre 8 || Laelynn

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J'ignore quoi répondre.... Je me sens tellement conne d'avoir eu confiance en Kate, lorsqu'elle m'a déposé ici j'ai d'abord refuser d'entrer dans la maison close, je veux bien travailler mais il y a des limites. Pourtant elle a commencer à me dire que Hugo m'en voudrais si je lui annoncer que je n'avais pas de travaille et qu'il risquait de me remettre à la rue. Elle m'a ensuite ordonner de descendre de sa voiture... Je sais que j'aurai du faire demi-tour et rentrer à pied mais Hugo a déjà tellement fais pour moi que je me suis diriger vers cette endroit. Mais quand je vois la réaction d'Hugo et les mensonges de Kate je me sens plus conne que jamais. Je décide tous de même de dire la vérité à Hugo, je lui dois bien ça et tant pis s'il me met dehors. Je me lance:

- Je vais te dire toute la vérité crois moi, mais ça ne veux pas dire que tu me croiras forcément. Alors hier j'ai chercher pendant longtemps un travaille sans rien trouver et puis ensuite j'ai croiser Kate qui m'a certifier avoir un boulot pour moi, aujourd'hui elle m'a déposé ici. Elle n'est pas responsable car c'est moi qui suis entré dans cette endroit, car même si faire la prostituée me répugne c'étais le seul moyen pour que j'ai de l'argent... Je suis désolée.

Je pensais que Kate allez modifier ce que j'ai dit pourtant elle s'effondre en pleur à terre. En murmurant qu'elle est désolé. Hugo la regarde d'un air étonné, je le trouve magnifique mais je m'en veux de penser cela dans un moment pareille... Il s'accroupit ensuite près de Kate et lui murmure quelque chose à l'oreille. Elle essuie ensuite ses larmes et nous affirme qu'elle va tous nous raconter. Elle prend sa respiration et démarre.

- Je suis désolé de vous avoir mentit à tous les deux, mais j'étais en colère car c'est en partie de ta faute Laelynn si Hugo et moi ne sommes plus ensemble... J'ai voulu te faire payer. Alors, je t'ai emmener ici car je savais que tu avais vraiment besoin d'un travail, je comptait ensuite prendre une photo de toi dans cette maison close et l'envoyer à Hugo. Je n'avais pas prévu qu'il nous suivent... Je suis désolé vraiment.

Hugo la regarde un instant sans rien dire, puis il se baisse à sa hauteur et lui dit qu'elle le dégoute. Il se lève me tend la main que je m'empresse de prendre et nous nous dirigeons vers sa voiture.

Il ne dis pas un mot pendant plusieurs kilomètres plonger dans ses pensées. Je finis par briser le silence,

- Je suis désolé de t'apporter autant de merde....

Il me regarde et je vois qu'il est encore très en colère, j'ignore si c'est contre moi ou toujours contre son ex petite amie.

- C'est bon ne t'excuse pas, c'est pas complètement de ta faute. Juste la prochaine fois, préviens moi quand tu prend des décisions. Surtout si Kate est dans l'histoire.

- Je te promet.

- Bon.

Le reste du trajet se déroule dans un silence complet mais agréable, j'ai la tête poser sur la vitre et je réfléchit beaucoup comme j'ai l'habitude de le faire. Je me plonge dans mes souvenirs.

" Je suis dans ma chambre allongé sur mon lit rêvant d'une vie meilleur lorsqu'un énorme bruit résonne, je me précipite au rez-de-chaussée, et trouve ma mère affalait sur le tapis. Je lâche un petit cri et me penche à ses côté, elle est inconsciente mais elle respire. Je ne peux pas la porter mais j'essais de l'amener tant bien que mal jusqu'à son lit, elle pue la vodka, la bière et d'autre substances dont je préfère oublier l'existence.
Je vais chercher un verre d'eau glacée dans la cuisine que je pose sur la table de chevet se situant à la gauche du lit dans lequel elle dort. Je m'assois près d'elle et caresse ses cheveux qui sont aujourd'hui tout terne. Son visage à les traits tirés et d'énormes cernes arborent ses joues.
C'est alors qu'elle se réveille, elle est secouées par de violent soubresauts et commence à vomir. Je me penche pour ramasser le saut qui est par terre et lui tient ses cheveux pendant qu'elle se vide. Au bout d'un moment sa respiration se calme et elle se rallonge, je lui tend l'eau et la regarde se rendormir. Une fois qu'elle est plonger dans un sommeil profond, je me faufile dans ses bras me rappelant de mon enfances où la mère c'était elle et pas moi.

Sorry [ EN PAUSE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant