Nous avions arrêté de respirer quand la lumière se rapprocha. Rosé m'attrapa par la main et m'entraina à sa suite.
On courrait pour faire le tour du bâtiment et elle s'arrêta devant une petite porte métallisée. Elle l'ouvrit et me fit signe d'avancer. La pièce était sombre mais l'on distinguait quelques contours de plans de travail, nous étions visiblement dans les cuisines.
- Je passe par là quand je sors en douce, me dit-elle. La nuit personne ne vient par ici.
- Nous ne risquons donc plus d'être dérangées? Demandais-je le sourire aux lèvres me rapprochant d'elle.
- C'est le but.
Je la collais sur le plan de travail derrière elle et la fis basculer sur celui-ci.
J'embrassais goulument ses charmantes petites lèvres et lui enlevais son t-shirt. Elle fit de même avec le mien et nos gestes devenais de plus en plus rapides et pressés.
Nous ondulions chacune dans un rythme régulier jouant à savoir laquelle craquerait en premier.
Ce fut elle.
Elle me supplia de la prendre et dans le but de la torturer un peu, je défis son jeans avec une lenteur extrême. Passant ma main sous son boxer je sentis comme son désir était aussi grand que le mien. Je lui retirais son jeans et son boxer pour tracer une ligne de baiser de son nombril jusqu'à l'objet de mes désirs.
Elle agrippais fort mes cheveux quand j'entrais ma langue en elle. Ses gémissements se faisaient de plus en plus puissants et j'adorais ça. Elle n'était pas loin de son paroxysme, il fallait que je la vois jouir. Je remontais alors vers son visage et remplaçais ma langue par mes doigts accélérant le rythme. Je la marquais d'une morsure dans le cou, son corps était maintenant mon territoire.
- Regarde moi. Lui ordonnais-je. Elle ouvrit les yeux et me fixa de ses prunelles vertes, j'eu juste le temps d'apercevoir cette lueur si significative avant que ses pupilles se dilatent. Je l'embrassais tendrement la laissant reprendre son souffle. C'était sans compter sur son endurance car elle me retourna brutalement.
- A ton tour chérie.
- Je n'attend que ça.
Elle descendit dans mon cou en une myriade de baisers et elle en profita pour défaire mon soutien gorge. Alors que ma respiration devenait de plus en plus saccadée, elle demanda :
- Tu as un peu chaud non?
- Très.
Elle tendis le bras pour atteindre un tiroir derrière ma tête, elle en sortit un petit bac qu'elle fit craquer dans ses mains. Elle en récupéra un petit carré qu'elle déposa dans mon cou et traina entre mes seins et sur mon ventre.
Le glaçon fondit sur ma peau chaude et fit naitre des frissons partout sur mon corps.
Elle l'attrapa ensuite avec ses lèvres et de sa langue froide traças de petits rond sur mes tétons. J'attrapais ses cheveux roux sous la sensation.
De puissants gémissements s'échappaient de mes lèvres. À présent, elle m'embrassait à pleine bouche et je sentais sa main descendre de long de mon ventre. Elle passa sous l'élastique de mon short et, comme prise par une envie irrésistible, elle s'enfonça avidement en moi. Elle exécuta des mouvements rapides et réguliers et me fis atteindre l'orgasme dans un râle rauque.
Je reprenais mes esprits doucement et elle se leva du plan de travail, elle commença à se rhabiller et me passa mes vêtements quand je sautais à mon tour du comptoir. Je me rhabillais rapidement quand elle s'approcha de moi, elle entoura mes hanches de ses bras et m'embrassa tendrement. Je répondis à son baiser en mettant mes bras sur ses épaules. Quand elle se retira, je gardais sa lèvre inférieure entre mes dents. Elle souris avant de me dire :
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Je ne peux pas être apprivoisée
RomanceMoonbyul est une rebelle, Son père l'envoi dans un pensionnat pour fille. Comment notre Moonbyul va t'elle survivre sans distraction, à moins qu'elle en trouve une nouvelle, mais si elle perdait à son propre jeu?