ÉTERNEL. (Suite Parallèle De Un Ange Sur Terre).

Meurtre.

Plus d'un siècle en arrière .

PDV Tae

Moi en pointant mon arme sur sa tampe: DONNE NOUS LE FRIC TOUT DE SUITE.

?: Vous êtes autant désespérés pour menacer quelqu'un avec un flingue?

À l'entente de cette remarque j'appuie doucement sur la détente pour qu'il comprenne que je ne rigole pas.

Les gars tous en même temps me font des signes pour être sûr que je ne perde pas mon sang froid.

Je me retourne mine de rien et attend qu'il me donne l'argent.

Il fait mine de tousser pour attirer mon attention.

?: Hum hum.

Il me montre avec ses yeux ses mains attachées.

Moi: Ah oui c'est vrai quel con eh eh. Bon les gars retenez le pendant que je le détache.

Ils font de suite ce que j'ai demandé puis je desserre les liens avec difficulté.

Alors, quand il eu les mains libres, il va chercher plusieurs liasses de billets qui se trouvaient dans son calçon.

Il me les tends mais je lui montre ma poche je veux pas tenir ce qui était sur sa ****.

Il me les met alors directement dans celle-ci.

Puis comme nous l'avions prévu nous devons partir chacun de notre côté pour ne pas se faire remarquer.

Il était prévu que Suga le rattache et parte par la suite.

Nous ne sommes pas con on a pensé à mettre un masque pour ne pas se faire démasquer. (JDM).

Nous nous assurons que Suga avait bien compris ce qu'il devait faire.

Puis nous nous disions au-revoir.

PDV Suga

Avec ma force je le met sur la chaise violemment pour ne pas qu'il me prenne par surprise.

Je prend la corde et fait un noeud impossible à défaire.

Puis je lui laisse gentiment son portable sur les jambes même si il va galérer pour l'atteindre.

Puis je sors doucement du hangars comme si de rien était.

Mais j'entends sa voix.

Tellement ironique.

?: Eeeh Suga.

Je me fige lorsque j'ai entendu mon nom.

Je me retourne tout doucement.

Moi: Qu-oi?

?: Ou plutôt "Le mec de mon ex".

Moi: Qu'est-ce que tu racontes?

?: Fais pas genre. Comment est-ce-que je ferai pour ne pas reconnaître ta voix. En fait tu fais vraiment pitié. Tu la mérite pas du tout. Je pense qu'elle serait dégoûtée par toi si elle voyait comment est-ce-que son
"Petit copain" fait pour essayer de la sauver.

Je me rapproche violemment de lui et le prend par le col.

Moi: Vas-y assume tes paroles.

?: Franchement elle serait sorti du comas depuis bien longtemps si elle était encore avec moi. Si tu continues comme ça elle va finir par mourir. Par ta faute sale con.

La colère monte de plus en plus en moi et je fais des efforts monumentaux pour ne pas le tuer.

Moi: Ferme ta grande gueule salopard de mes couilles.

?: Ooh je l'ai énervé apparemment. Mais tu penses réellement qu'elle serait fière de toi? Hae- Neun était douce contrairement à toi. Elle détestait tout ce qui appartenait à la violence. Regarde ce que t'es en train de faire. Si elle meurt et qu'elle te voit comme ça elle serait dégoûtée d'avoir perdu autant de temps pour un sale type comme toi.

Toutes ces paroles me frappent en plein coeur. Parce que ce qu'il est en train de dire est la vérité.

Mais là il est en train de parler de la mort d' Hae- Neun.

Et ça il aurait jamais dû le sortir de sa bouche.

Soudain dès qu'il a sorti de sa bouche ses deux mots "Hae-Neun" et "mort".

Je prends le couteau qui se trouve dans ma poche et libère ma haine.

Des coups et des coups et des coups.

Jusqu'à ce qu'il ne reste plus que du sang.

J'ouvre la main de ce connard et y dépose le couteau en faisant attention à ne pas y déposer mes empreintes. Et part aussi loin que je peux.

Oui...

J'ai tué un homme.

Mais il faut que personne ne le sache.

Ce sera mon secret.