Mes Mains Sont Faites D'or

Chapitre 14

Je marche vers la porte numéroté d'un grand "3". Je regarde ma main qui se recouvre petit à petit d'un or massif. C'est douloureux mais supportable.
Je tend ma main vers la poignet et appuis sur la porte et l'ouvre.Quand j'ai ouvert cette porte un bruit semblable à un mécanisme d'horloge se fit entendre.
Je marche doucement regardant les rouages autour de moi qui forme un style de mécanisme d'horloge.
Sur les murs il y est marqué
"tout est une question de temps". Comme des appels au secours.

Devant nous se dresse deux porte à notre nom.
Je regarde Shoto qui pense surment la même chose que moi.

Il faut rentrer

Il me regarde de manière triste et désoler de devoir me laissé.
Il prend mon visage entre ses grandes mains et m'embrasse tendrement.
Peu de temps après il s'écarte et partie vers la porte à son nom.
J'ai cru voir une larme coulée le long de sa joue.

Je me retourne et fis face à ma porte. J'entra dans la sale et soudainement une voix se mits à me parler.
Elle disait que mon temps était compté. Que tout était une question de temps.
Devant moi il y avait un écrans affichant Shoto dans une pièce remplie de messages sur les murs. C'était glauque.
Il ne sais pas que je peux le voir. Celon ce que cette voix m'a dit.
Il doit trouver une "formulation" pour  me rejoindre et arrêter mon chrono qui va mettre fin à mes jours.
Je m'assois sur un siège comme l'a demandé la voix.
Et d'un coup des chaînes énorme m'on littéralement figer sur le siège et un compte à rebour s'afficha sur le mur. Il affichait "30 minutes". Et plus il a de mauvaise réponse plus le chrono ira vite.

J'essaie de m'échapper mais rien. Ma main devien bien trop douloureuse à mon goût.
Je me débat légèrement mais rien n'y fait... Je suis obligé de regardé
mon bel ange terrorisé par le stresse.
Il cherche parmis tout les mots marqué au marqueur noir ou rouge sur les murs blanc. Des symboles plus que bizarre y son inscrit... Je ne comprends rien de ce qui est marqué. Est-ce le langage des anges ?
Je laisse mon regard se figé sur le temps. Cette putain d'horloge. Les liens qui me tiennent se ressert sur moi. Me provoquant une douleur vive.

Et si il ne trouvait pas la formulation afin d'arrêté mon périple ?
C'est vrai... Je n'avais pas peur de mourir avant. Maintenant que j'ai quelqu'un qui me donne la joie de vivre ça devien différent...
Je n'ai plus si peur mais l'angoisse prend vite la place dans mon cerveau.
Mon visage se crispe sous la douleur que m'inflige ces lien. Que ce passe t-il dans le vrai monde pour que j'ai aussi mal ?

Je n'entends pas leurs voix. C'est voix qui m'inflige un dégoût profond. Je sais que tout est une question pour mon réveille parmis les vivant.
Je regarde l'heure et il ne reste que 5 minutes. 25 minutes que je le regarde perdre la tête. Il va finir par abandonné et me laissé exploser comme de la vulgaire TNT. Je ne sais pas si c'est sentiments pour moi sont sincère.
Je laisse les larmes couler le long de mes joue pleine de tâche de rousseur. M'imaginant le pire scénario.

Je le vois s'accroupir au sol et posé ses mains sur ses tempes... Ça y est... C'est la fin. Il a fini par abandonné. Soudain j'entends qu'il répète sans cesse une phrase... " je t'aime Izuku". Et il le dit en permanence me donnant envi de courir dans ses bras chaud pour voir son regard au mille et un sentiment plus fort les un que les autre.

Soudain les porte de ma salle ainsi que la sienne s'ouvre et le chrono s'arrête. Je souffle fortement ayant échapper belle à la mort douloureuse qui m'était destinée.
Les liens se retire pour me laisser me relever. Aller devant la porte et sortir dans le couloir me laissant courir vers les bras de mon bel amant. Me laissant taper le sol violemment de mes pied lorsque je cours.
Je le voix au loin. Sa chevelure bicolore m'annonce qu'il n'est plus très loin.
C'est en m'approchant plus qu'il m'ouvre ses bras laissant ses larmes couler chaudement le long de ses belle joues.
Je m'emporte dans ses bras et laisse les goûte d'eau salée perlé de mes yeux au couleur aventurine.

Je loge ma tête dans son cou et renifle. J'ai eu tellement peur de tout perdre à nouveau. De devoir tout laisser et devoir blessé à nouveau des gens.
I

l me sers dans ses bras fort et réconfortant.
Je laisse mes sentiments prendre le dessus et mes larmes ne s'arrêtent pas... Il essaye de me consolé comme il peux mais je vois qu'il a du mal à gardé son sang froid.

Je m'écarter et comme une routine nous nous retrouvons devant les numéros de "4" à "10" .

Comment en somme nous arrivé là ?

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Alors désoler de l'attente assez longue. Je ne trouvais pas d'idée bien construite.
Donc voilà je suis de retour pour foutre bien la merde.

N'hésitez pas à me faire par de vos avis ou correction en commentaire !

Bisous mes petites saucisses ! 😘