Chapitre 17: Fin

356 24 19
                                    

Je pousse cette dernière porte... Le cœur battant à mille à l'heure les yeux fermer éblouis par la lumière.
J'ouvre les yeux une seconde fois et les referme rapidement.
Je rêve ou je me trouvais sous des lampes blanche ?
J'entend quelqu'un crier mon nom sous la joie.
Mais qui ? Pourquoi ?
J'ouvre les yeux une fois pour toutes et regarde autour de moi. Sous mes yeux ebahit je me réveille dans un lit d'hôpital blanc et pas très confortable celon moi.
Mon regard se pose sur le doux visage de ma mère qui pleure de jois.
Elle me prend dans ses bras sous l'euphorie et je la serre du mieux que je peu.
Ma tête me fait mal mais peut importe.
Je me redresse sur les coudes et jette un rapide regard vers la porte blanche qui était ma seule sortie de cet endroit sordide.

Ma mère me regarde perplexe puis comprend que je veux sortir... Elle caresse lentement ma joue de manière que seule une maman peu faire et je souris de toutes mes deux... Un sourire sincères... Ce qu'il m'avais manqué ce sourire.
Je m'assis mollement et repense à notre aventure dans le monde de mon imagination.
Les mots doux qui on été dit, toutes les fois où on a failli mourir et j'en passe.
Mais peu à peu les souvenirs reste sombre et flou... Jusqu'à ne plus reconnaître les mots, les mouvements ne sont plus dans ma meilleure et je fini par tout oublier... Tout sauf une chose...
Un nombre et un prénom.
Shoto et 111.

Je me débranche d'un mouvement vif et sort du lit sous le regard surpris de ma mère. Je sort du lit et je tombe.
Mais je ne perd pas espoire.
Je me relève alors et appuis ma main sur mon visage si douloureux et sort de la chambre d'hôpital en trombe. Somme nous dans mes rêve ou bien la réalité ? Je n'en sais fichtre rien mais je veux savoir qui est ce Shoto et que représente se numéro si précis qui loge dans un espace de ma tête.
Je pleure sans le savoir et laisse les goûtes s'éclater au sol tel ma pression qui retombe dans mes pieds qui devienne si lourd pas après pas.
Je trébuche un nombre incalculable de fois mais je ne m'inquiète pas. J'ai survécu à mon suicide et à un baguare...
J'ai l'impression qu'il y a toujours eu une personne a mes côtés.
Je me sents vide mais sans vraiment savoir pourquoi.
Les couloirs sont vide et mes pieds qui claque sur le carrelage résonne dans les couloirs.

Arriver devant mon objectif, je souffle un bon coup. Et tend le bras vers cette porte. J'ai l'impression d'avoir déjà vécu des moment comme cela.
Je presse la poignet mais une horrible douleur à la main m'arrache un cris de douleur intense. Je la regarde lentement et écarquille les yeux de peurs... Ma main est en or ? Elle me paraît si lourde et douloureuse. Et crispe les yeux et tend à nouveau mon bras pour ouvrir cette porte. Et cette fois... Malgré la douleur j'y arrive. Je rentre dans un pièce vêtu de blanc avec les fenêtre doucement ouverte faisant danser les rideau avec le vents. Un léger courant d'air apaise mon visage et je me dirige vers le lit.
Plus j'approche plus j'arrive à distinguer son physique si particulier mais qui me dit à la fois quelque chose.

J'approche ma main de son visage et carresse sa joue comme un réflexe même si son visage et surplomber de machine surment à cause d'un accident grave.
Il ouvre les yeux durement et les machine continue de biper à côté de moi.
Il me regarde un long moment avant de sourire. Les yeux légèrement plisser et de tendre avec difficultés son bras vers ma joue.

Et c'est à ce contacté que tout me revien. Mes souvenir les plus étrange au plus dangereux et enfin... Les plus beau. Je souris et pleure en même temps... Tu n'etait pas mort mon bel ange. Je le prend délicatement dans mes bras ne voulant plus le lâcher et pleure contre lui. Lui aussi laisse couler ses larmes de joies sur ses si belles joues amoché par ce camion.
Je me redresse et carresse sa cicatrices du bout des doigts avant de laisser ma main glisser dans ses cheveux soyeux.
Je souris encore une fois et continue de pleuré.
Il prend doucement ma main douloureuse et la serre faisant peu à peu disparaître la couleur or de ma main. Je le regarde surpris et m'attire avec lui dans son lit me murmurant des mots doux jusqu'au bout de la nuit et mes yeux s'apaise pour s'endormir et commencer une nouvelle vie demain.

Fin

Voili voilous ! J'ai enfin fini ce livre !
Je suis désoler si la fin vous convient pas c'est que j'ai du l'écrire dans les files d'attente du parque Disney et c'est pas facile quand vous voulez absolument aller dans le Hollywood Tower !

Bisous mes petites saucisses. 😘

Mes Mains Sont Faites D'or  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant