Chapitre 2

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En une semaine, la toile été fini. La chauve-souris rentrait la nuit et partait le jour. Ça m'allait et j'avais l'impression qu'elle me comprend et lui parler me fait du bien.

-La signature est... Fini !

Mignon saute de mon épaule et se pose sur la toile.

-5 heure 10. Tu y vas ?

Il hoche la tête et s'envole.

-A demain! Un petit « Ki » ce fait entendre et je prépare mes affaires pour aller au château.

--- Au château---

La toile sous le bras, je passe les portes du château escorté par un garde. Il me laisse devant la porte de la chambre du Roi et après avoir toqué, le Roi m'accueille les bras grands ouverts et avec une franche poignée de main.

-Entrez! J'entre.

-Merci. C'est un honneur de vous voir.

-Je suis heureux de vous voir aussi. J'arc-en-cielit. Vous avez fait vite bravo !

-Merci monsieur. Il m'assoit sur le rebord de son lit.

-Voyons... Il prend le tableau. Magnifique ! Autant que toi. Dit le Roi avec un clin d'œil. " Pardon?" Multicolore, je le remercie. Il l'attache au mur puis vient s'asseoir très proche de moi. Il est magnifique. Tu es officiellement mon peintre. Heureux ?

-Très. Merci monsieur. "Il est trop proche..."

-J'ai un meeting... Tu comprends ce mot ?

-Oui. Un rendez-vous très important. Je comprends parfaitement bien l'anglais. J'ai juste énormément de mal a avoir un accent compréhensible.

-Ce n'est pas grave. Je pourrais t'apprendre.

-Ce serais un honneur !

-Un honneur et un moyen de faire connaissance. J'arc-en-cielit et hoche la tête en souriant.

«Il me drague donc vraiment."

-A ce meeting, dit-il en se levant, nous serons dans une magnifique salle comportant de grandes fenêtres montrant sans difficulté de grands jardin fleuri. Il me tend une main, que je prends. Il me lève et me sers contre lui. Ma main toujours dans la sienne, ma pommette droite contre son torse que je devine dur, musclé et robuste. Il met sa main gauche sur mon os iliaque gauche. Nos mains enlacés sont a une dizaines de centimètres de nos épaules et ma main gauche est à gauche de ma tête. Il pose sa tête sur la mienne et continue de parler en nous faisant tourner doucement . Il y aura des musiciens qui joueront de la musique classique qui pourra être entendu de partout dans toute la grande salle baignée d'or et de lumière. Il y aura beaucoup de monde mais la salle immense n'aura jamais l'aire pleine . Nous irons parler aux gens, faire connaissance et bonne impression. Quand tu penseras le moment opportun, tu peindra cette grande salle entière de Roi et de nobles. Puis nous serons tous conviés à nous rendre dans une autre salle où nous nous assiérons. Tu aura toute la séance pour nous peindre et immortaliser la scène. Nous serons une centaines de femmes et d'hommes de tout âge et de toutes race assit a une table ronde et nous signerons des traités de paix entres les 125 pays. Il me lâche et s'éloigne de moi puis me regarde de ses magnifiques yeux jade. Nous serons là-bas, en Espagne, dans un mois et deux semaines très exactement. Es tu partant ?

-Oui messire ! Je vous suivrais.

-Vous m'envoyez ravi, comme d'habitude Encre. J'arc-en-cielit et hoche la tête.

-Merci mon Roi.

-Et appelles moi Eric.

-Bien Eric . Dis-je tout sourire.

-Je te raccompagne à la porte ?

-Avec plaisir.

On traverse la chambre, arrive à la porte et juste au moment où il allait prendre la poignée, quelqu'un toque à la porte. Eric me regarde puis ouvre.

-Sir !Hi ! Dit Azur en faisant la révérence. Encre. Continue-t-il en me saluant de la tête.

-Bonjour.

-Sir, we have a problème. A vampire was seen in the village. (Monsieur, nous avons un problème, un vampire a été vu dans le village.)

-Hum... Encre, sachant ou tu vis, je te recommande de rester ici.

-Merci infiniment mais je pense que cela devrais aller.

-Tu m'es important Encre. Les vampires sont des créatures obscure et sans vergogne. Sans fois ni lois, ils n'hésiteront pas à te tuer, ou même te capturer pour te boire pendant des mois avant que la morsure ne te tue.

-J'en ai conscience mon roi. Il fait une mine triste. Mais croyiez moi, je mets ma main sur son épaule. Je serais prudent Eric. Je lui souris et il me le rends. Au revoir.

-Bye Encre.

-Bye Eric.

FallencreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant