Chapitre 37 : Chat Noir VS Vipérion

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***Nos ennemis les plus féroces, sont toujours nos anciens amis les plus proches.***

Adrien

Aucun de nous deux n'a fait le premier pas. Ça va faire cinq minutes qu'on se regarde et ni moi, ni elle ne bougeons, nos regards parlent à nos places. Et puis soudain, un garçon s'approche d'elle, il l'a prend violemment par le bras et l'emporte avec lui de force devant tous, personne ne réagis si ce n'est ses amies qui commencent à taper le garçon. Cette scène a le dont de me faire sourire, car en soit, elles ne savent pas se battre.

Cependant, quand l'homme la attrapée par le bras mon ventre se sont serrés, j'ai commencé à avoir la haine pour cet étranger qui j'eu rapidement envie d'étrangler et pourtant, je ne connaissais pas encore cette fille, aussi magnifique soit-elle.

*

J'ai attrapé son col et les balancé à l'autre bout de la place, quand il l'a giflé son masque s'est retiré, j'ai pu voir l'identité de la jeune fille qui m'attirait tant depuis le début de la soirée, autant dire que je vais lui faire sa fête, je ne supporte pas le fait qu'il ose la toucher. Ce putain de fils de pute va de faire enfumer.

Rapidement, tandis que l'enclume de l'autre côté est encore dans les vapes, je m'approche de Marinette et la prend dans mes bras, elle ne se débat pas et enfouis sa tête dans mon cou pour respirer mon odeur. Je ne sais pas si elle m'a reconnue ou non, en attendant l'avoir contre moi après tout ce temps sans l'avoir même effleuré me procure un bien fou !

- Ça va aller ? Je lui demande doucement en lui caressant délicatement les cheveux.

- O-Oui... Je crois. Répond-t-elle encore sous le choque en hochant lentement la tête.

Je recule ma tête pour la regarder, ses yeux rougis me font mal au cœur, je déteste la voir dans cet état. Plus lentement, je rapproche mes lèvres et les dépose tendrement sur les siennes, tout doucement. Plus tard, nos salives se mélangent et je n'ose pas dire combien j'aime ça.

Car même à travers le regard je réussis à l'aimer...

Quand notre baiser prend fin, je recule mon visage de quelque millimètre et la prend dans mes bras, heureux de l'avoir contre moi avec moi.

- Il faut que je termine ce que j'ai commencé, tu peux m'attendre ? Je lui demande timidement.

- Bien sûr. Répond-t-elle en répondant à mon étreinte, entourant aussitôt, tout doucement, mon corps de ses bras dans mon dos. Merci... Souffle-t-elle alors contre mon oreille, sincèrement reconnaissante.

Je souris et cache ce sourire heureux dans son cou, j'embrasse sa chair délicate puis me recule. Son visage retrouve peu à peu une couleur chair ce qui me fait sourire. Ses bras retombent le long de son corps et je me retourne, le mec est relevé et nous regarde avec une haine, inexplicable tant elle est dévorante.

« À nous deux trou du cul, je t'ai reconnu fils de pute. » Je lui transmets du regard.

Luka. Ses cheveux bleus électriques l'ont trahis, son parfum des bois aussi. Malheureusement pour lui, je vais le démolir, ici et maintenant, il n'aurait dû la toucher, je ne comprends même pas pourquoi est-qu'il la fait.

J'avance jusqu'à lui d'un pas lent de dominateur, je n'ai aucune crainte, lorsque nous nous battions encore enfant je gagnais toujours, mon père me forçait à faire plusieurs activité sportive qui on finit par avoir de bonnes attitudes sur mon corps, tout entier.

- Comment t'as pu me la voler... Souffle-t-il alors que je lui envoie aussitôt mon coup de poing.

Une bave de sang gicle de sa bouche tandis que je m'approche et lui fait une prise de judo qui le met quasi à la suite à terre. Cependant, nous avons grandis les choses ont changés, nos combats ne sont plus les mêmes, ils ont aussi évolué.

Colocation avec luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant