ᥲιdᥱᥒJ'avais carrément l'impression d'être en prison. Je regrettais presque mon trou perdu en Pologne.
09:50
C'était la récréation. J'étais avec Florian et je regardais Angelica. Elle saluait des gens, qu'elle ne connaissait sûrement pas.
Je lève les yeux au ciel et tire une taffe sur ma cigarette.
— Tu ne vas pas te décider à lui parler? dis Florian en coupant le silence.
— Pourquoi je ferais ça?
— Tu la kiffe.
Il mime des bisous avec sa bouche et je rigole.
— N'importe quoi. C'est juste qu'elle peut pas avoir tout ce qu'elle veut quand elle veut et elle m'a fais passé pour un idiot. Elle doit bien payer non?
Il y eu un blanc et je reprit.
— Et puis si je l'aimais , je le saurai non?
Florian hausse les épaules.
Mon téléphone vibre.(1) Mon Ange : Je vais t'expliquer pourquoi j'ai réagis comme ça, seulement si tu m'écoutes.
Je l'avais pas bloqué celle-là?
Moi : Qu'est-ce que tu veux.
(1) Mon ange : Monte sur le toit, écoute moi et ensuite je te laisserai tranquille. Pour toujours.
Moi : Si tu peux arrêter de me casser les couilles hein.
___
J'étais arrivé sur le toit, elle était déjà là et elle fumait. Quand elle me regarda, j'ai cru que mon cœur allait fondre tellement elle était belle.
Je m'assois.
— Raconte. dis-je froidement.
10:20
Elle m'avait tout dis, comme quoi cet ordure la torturais. Mais elle n'arrivais pas à s'en défaire.
C'est un vrai malade. Elle était en train de pleurer et je ne savais pas trop quoi faire. Je sais pas réconforter gens, ça va.
D'un coup, une vague de colère montait en moi.— Je vais le tuer. dis-je en commençant à m'en aller.
Angelica m'attrape le bras.
— Lâche-moi putain.
— Fais pas ça, ça t'attirera que des ennuis.
— J'ai l'air d'en avoir quelque chose à faire là?
- S'il te plaît reste avec moi Aiden. dit-elle en faisant une mine triste.Je grogne et vais m'assoir au sur le toit. Je vous jure sur ce que j'ai de plus cher que ce mec, si je le croise il va prendre cher. Fils de pute va.
J'étais super vénère, Angelica ne parlait pas, elle fumait. Moi aussi, ça me calmait.Elle mit sa tête sur mon épaule.
— T'as une grosse tête. dis-je en brisant le silence.
Elle rigole.
— Je suis complexée maintenant.
Ça sonne.
— Viens chez moi après les cours, je t'envoies l'adresse.
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Désolée, c'est court.
to see, xx.