Chapitre 16 (C)

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Depuis ce jour là je n’ai plus aucune confiance en mon père car j’ai toujours peur que ça recommence mais en plus violent, qu’il s’en prenne à ma mère.

Moi : Tu sais m…

Je ne pus continuer car mon père rentra dans la maison complètement bourrer, il ne marchait même pas droit.

Papa : Qu’es ce que tu fais là toi ? En parlant de moi. 

Moi : Je suis revenu pour quelques jours, pour prendre des nouvelles mais je crois que j’ai bien fais car te voir dans cet état ça me fais peur. Tu ne crois pas que l’on a perdu assez de monde dans la famille et dans nos amis proches ? Tu voudrais te rajouter ? Et bien vas-y, mais après ne t’étonne pas que toute la famille à des problèmes.

Papa : D’où tu me parles comme ça ? Je suis encore ton père et tu me dois le respect.

Moi : Je te dois le respect tu rigole là ? Et toi le respect que tu me dois il est où, hein ? Tau n’as aucun respect à recevoir de ma personne, tu m’as peut-être élevée mais c’est maman qui venais  pour me consoler ou pour m’aider à faire mes devoirs, alors tu vois je n’ai aucun respect pour toi comme tu n’en a aucun pour moi.

Mon père ne savait plus quoi dire, j’en étais sur dès que l’on lui tient tête y a plus personne.

Moi : J’en étais sur.

Maman : Kyara peux tu nous laissés parler ?

Moi : Ouais je vais me reposer parce que je n’ai pas dormi.

Maman : D’accord.

Je montai à l’étage, puis alla dans mon ancienne chambre, je passai devant l’ancienne chambre de mon frère rien n’avait changé a part que ça s’entait le renfermer et l’alcool. Dans la chambre de mes parents rien n’avait changé toujours pareil. Puis dans la mienne, oula c’est quoi ça, ma chambre mais… mais… Qui a fait sa. Je vous explique, ma chambre avant que je parte il y avait un grand lit deux places voir trois, une armoire, une télé, une vitrine, un placard pour ranger mon bazar et mes livres, deux bureaux et ma chaine hifi que j’avais payé avec mon argent. Et là je trouve ma porte, ah bah non y a plus de porte ça commence bien. Mon lit est retourné et y a plus le matelas, plus de télé, plus de chaine hifi, plus ma vitrine, en fait il resté mon placard, le tour de lit et un bureau. Où est passé ma chambre sérieux. Je commençai à descendre les escaliers mais je m’arrêtais au milieu car je pouvais entendre la conversation de mes parents, je sais, c'est pas bien mais tant pis.

Maman : Elle a changée et ça ne te plait pas mais je pense qu’elle s’en fiche complètement.

Papa : Elle n’a pas à me parler comme ça.

Maman : Mais tu te rends compte de ce que tu lui a fais vivre pendant qu’elle était ado ?

Papa : Bah quoi, il n’y avait rien de grave.

Maman : Rien de grave tu rigole ? Elle t’a vue bourrer alors qu’elle n’avait que 12 ans, quand elle pleurée tu n’allais même pas la prendre dans tes bras, elle c’est forger une carapace que personne ne peut détruire.

Papa : Elle n’avait qu’à le dire que ça n’allait pas, c’était plus facile.

Maman : Mais tu ne l’écouté pas comment veux tu qu’elle en parle, personne n’était là pour elle. Elle devait supporter son père alcoolique, sa mère presque en dépression et sa maladie.

Quand ma mère dit « sa maladie » ça me fit mal, un mal de chien, j’avais complètement oublié ma maladie merde. Je crois que je n’ai même pas vérifié que tout aller bien depuis que je suis parti de l’Angleterre, un peu normal je n’ai rien mangé.

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