Chapitre 18 (C)

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 Où Enzo traine vaut mieux être très habillé, parce que on c’est jamais sur qui on peut tomber. Je dis au revoir à ma petite maman et je pris la voiture, direction chez Enzo en espérant qu’il soit là-bas. Sinon je vais devoir aller au terrain vague et je n’ai pas vraiment envie.

/ECLIPSE DU TRAJET EN VOITURE : ARRIVER A ***** : 16H00\

Quand j’arrivai à **** je reçu un appel, oh tient Julie. Je réponds ou pas ? Aller je ne réponds pas on verra ça plus tard.  Je sais, ce n’est pas bien ce que je fais mais là c’est Enzo, mon pilier même si Julie est mon pilier aussi, elle n’a pas de problème comme Enzo donc elle peut attendre 1h. Je l’a rappellerais. Roo je trouve plus la maison d’Enzo, à si c’est à droite et après a gauche. Enfin j’ai trouvé et sans le GPS. Arriver devant la maison, les volets était tous fermer, pas âme qui vive, personnes, nada, niet. Je rentrai dans la maison et oui j’ai un double des clés. C’est plutôt pratique dans ce genre de situation. Donc j’allai dans la chambre d’Enzo, tient monsieur fait dodo à quatre heures de l’aprèm, très logique ce garçon. J’avais oublié le corps d’Apollon qu’il à ce bg. Je m’allongeai à coté de lui et me collai à lui, je sais qu’il aime ce faire réveillai comme ça. Il gesticula un petit peu avant d’ouvrir les yeux et de me voir.

Enzo : Qu’es que tu fais là ?

Moi : Je suis venu pour toi.

Enzo : Je vais bien, maintenant tu peux repartir.

Moi : Tu peux rêver pour que je reparte. J’ai quitté ma vie en Angleterre pour venir te soutenir donc tu ferme ta bouche, tu te lève et on va parler.

Enzo : Nan laisse moi dormir.

Moi : Nope, tu viens avec moi tout de suite.

Enzo fini par ce levé mais en grognant comme un ours.
Eh eh je suis une big boss j’ai réussi à le faire ce lever, alors que monsieur c’est féniasse level 235646796. Il a de la chance cette fois si je ne l’ai pas réveillé avec un seau d’eau froide.

*FLASH BACK: 2 ANS EN ARRIERE, 8H00 DU MATIN*

Je viens de me réveiller, et j’ai dormi dans les bras de mon meilleur ami. Hier il a réussi à me jeter dans le piscine alors que je dormais encore, moi qui suis pas très forte je vais me venger à ma façon, ce qui ne va pas lui plaire. J’allai dans la cuisine, pris un seau et mis de l’eau gelée dedans. La vengeance est un plat qui ce mange froid, mais chez moi c’est gelé. J’allai dans sa chambre, bien évidement il a dormi en caleçon. Ça va lui glacé le cul mais bon faut pas me réveiller avec de l’eau à setp heures du matin quand je suis en vacances et en plus il le sait.  Je versai d’un seul coup le seau et parti en courant dans le jardin, même si il fait chaud pour un mois de juillet y a un p’tit vent. Tien voilà Enzo qui vient dans le jardin, et merde je me suis faite repérer, bon bah je vais finir dans la piscine à moins que.

Enzo : Alors comme ça tu veux te venger ?

Moi : Yep.

Enzo : Je n’en ai pas fini avec toi.

Moi : Moi, non plus ne t’inquiète pas.

Il s’approcha de moi et me prit dans ces bras, je sais très bien ce qu’il veut faire mais ça ne marchera pas comme prévu, pas deux fois. Il me porta comme une princesse et essaya de m’envoyer dans la piscine, dommage pour lui. J’avais mes mains autour de son cou, donc si je tombe il tombe avec moi. Mouhaha il est lui aussi dans la piscine.

Moi : Pas trop déçu d’avoir perdu ?

Enzo : Viens là toi.

Moi : Nope c’est mort.

On commença à courir dans toute la maison, fin elle ressemblée plus vraiment à une maison mais plutôt à une piscine géante. Après ça ses parents sont descendus car ils ont entendu le bordel qu’on faisait et nous on dit de tous rangés.

*FIN DU FLASH BACK, RETOUR A LA REALITE : 16H15*

 Moi : ENZO BOUGE TON CUL.

Enzo : C’EST BON J’AI LE TEMPS.

Rrrr il m’énerve ce n’est pas possible d’être aussi long pour mettre un t-shirt et un pantalon. Ah enfin, monsieur est habiller.

Moi : J’ai failli attendre.

Enzo : Tu sais très bien que je ne suis pas du matin.

Moi : Il est quatre heures et quart, donc on est l’après-midi.

Enzo : Nan déjà, il est déjà quatre heures de l’aprèm. Putain j’ai pas vue l’heure passé.

Moi : Normal tu dormais, féniasse.

Enzo : Ouais bah tu t’ai pas couché à dix heures du mat’.

Moi : Non je me suis couché à dix heures et je me levé à quinze heures et j’ai passé ma nuit dans les taxis et l’avion pour toi, donc tu fermes ta bouche et tu m’écoutes.

Il hocha la tête et m’écouta.

Moi : Oui je t’ai laissé, je sais que j’ai étais égoïste je sais mais je voulais vivre mon rêve et revoir ma meilleure amie.  Ce n’est peut être pas une bonne excuse mais elle est vrai, je sais que je t’ai fais souffrir en partant et j’en ai souffert aussi. Là-bas j’ai trouvé un boulot, une famille dans mon boulot, ma meilleure amie et j’ai rencontré deux de mes idoles et Justin Bieber. Tu peux en avoir rien à faire mais si je ne serais pas parti je n’aurais pas vécu tous ça, je sais j'aurais dû être là pour toi mais je ne savais pas que ta famille était décédée. Donc je suis parti. Ce n’est que quand tu m’as appelé que j’ai appris et j’en suis désolé. Voilà pourquoi je suis revenu et ça ma aussi permis de régler mes comptes avec mon père.

Enzo : C’est gentil d’être revenu pour moi, mais comme tu vois je n’ai pas besoin de toi. J’ai 19 ans et je sais me débrouiller seul, comme j’ai toujours fais. Alors maintenant tu peux repartir et adieu.

Ce qu’il me dit me fis vraiment mal, je lui ai tous avoué et lui il dit que c’est gentil que je sois venu. Mais il se prend pour qui, j’ai fais le voyage jusqu’en France pour lui et il me dit que ça sert à rien.

Moi : Alors Enzo tu vas bien m’écouter je n’ai pas fais tous ces kilomètres pour un bonjour, c’est gentil d’être venu, au revoir.  De un je ne suis pas ton chien donc je sors si je veux. De deux tu ne me donne pas d’ordre, je ne suis pas comme les chiennes que tu ramène avec des gros seins siliconés et un gros cul rembourré. Et de trois je reviens pour toi et tu me jettes, mais merde je dois faire quoi pour que tu me pardonnes. Je ne vais pas me mettre à quatre pattes pour toi mais j’avais pensé à un truc. Mais vue comment tu es borné tu peux te la mettre dans le cul et bien profond ma proposition.

Après mon discourt, il ne savait plus quoi dire. Tu m’étonnes je lui ai dis tous ce que je pensé. Je crois qu’il à était choqué de ce que j’ai dis, surtout du « je ne suis pas comme les chiennes ». Tant pis si ça lui a pas plus, il n’avait pas qu'à me mettre à bout. Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin. Je commençai à partir, pas parce qu’il me lavait demandé mais parce qu’il me soulé.

Enzo : C’est quoi ta proposition ?

Il est sérieux là ? Bon bah je vais lui dire quand même.

Moi : Tu viendrais avec moi à Londres et tu changeras de vie, du tout au tout.

Oui je sais c’est risqué mais Enzo est mon meilleur ami et je ne peux pas le laissé seul. Qu’elle décision va-t-il prendre ?

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