Chapitre 15 (C)

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Me voilà parti pour la France bien sur j’avais récupérer mes  affaires, comment je vais retrouver Enzo maintenant moi ? Tel est la question.

/ECLIPSE DU VOL, PARIS : 5H00 DU MATIN\

Me voilà arriver à Paris je suis habiller avec un pantalon en cuir proche du corps, un débardeur rouge, une veste en cuir et un bonnet noir. Et comme par hasard il fait super froid en France. Je pris un taxi pour aller chez moi enfin chez mes parents.

/ECLIPSE DU TRAJET, ARRIVER A ***** : 8H00 DU MATIN\  

Je rentrai chez moi car j’avais encore mes clés et découvris ma mère sur le canapé avec les joues rouges en train de dormir. Je posai ma valise en bas de l’escalier et alla vers elle. Je l’a réveilla doucement puis elle ouvrit les yeux.

Maman : Mais qu’est ce que tu fais fait là ?

Moi : J’ai appris pour Manu, Gaëlle et Thomas.

Maman : Part Enzo ?

Moi : Oui.

Maman : Ne t’inquiète pas ma chérie, ça va s’arranger.

Moi : Si tu le dis. Qu’es ce que tu fais sur le canapé dans cette état ?

Maman : Disons que je me suis engueulée avec ton père et qu’il est parti mais il n’est pas revenu. J’ai l’habitude mais depuis que Manu et Gaëlle sont décédées c’est plus dur car ton père est très violent.

Moi : Il ne t’a pas frappée quand même ?

Maman : Non ne t’inquiète pas, il était comme il y a quatre ans, tu te rappel ?

Moi : Oui…

*FLASH BACK : 4 ANS EN ARRIERE*

Maman : Mais tu ne te rends pas compte comme tu as changer, avant tes enfants pouvais te faire confiance et te parler et maintenant ils ne peuvent même plus te parler car ils savent que tu ne les écoutes pas.

Papa : Je ne les écoute pas ? Tu rigole, c’est eux qui ne viennent pas me parler ne met pas toute la faute sur moi.

Maman : Tu es sur de ça ? Car tes enfants viennent me voir moi alors que toi ils ont presque peur de toi.

J’entendis un gros boum et ma mère crier encore plus, moi j’étais à l’étage en train d’écouter leur engueulade, plus ils criaient plus j’avais peur pour ma mère. Mon père est alcoolique et là il est saoul.

Maman : Arrête bon sang, arrête.

Papa : Mais je fais ce que je veux, c’est ma vie pas la tienne. Viens pas me faire chier, je me casse comme ça tu seras débarrasser.

Maman : Non tu ne sors pas.

Mon père arriva vers la porte d'entrée  mais ma mère le retenait.

Maman : J’ai dis que tu ne partirais pas, tu ne partiras pas.

Papa : J’ai dis que je partirais et je vais partir.

Maman : Toi tu t’asseyes et tu ne bouge pas.

J’étais retournée dans ma chambre pour pleurer comme à chaque fois qu’ils s'engueulent.

Maman à mon frère : Descends faut qu’on parle.

Maman : En entrant dans ma chambre. Aller viens là. En m’ouvrant ces bras. Ça va aller, viens on descend.

On descendit tous et quand j’arrivai devant mon père j’eu peur comme jamais je n’avais eu peur de lui, mes larmes coulées encore et ne s’arrêter plus.

Maman à mon père : Tu te rends compte dans quel état est ta fille à cause de tous ça ?

Papa : Elle n’a qu’à pas pleurer.

Ces mots me faisaient mal, extrêmement mal.

Maman à mon frère et moi : Je vais vous poser des questions et vous répondez simplement.

On approuva.

Maman : Quand vous parlez à votre père, es ce que vous vous sentez écoutez ?

Mathieu (mon frère) : Des fois oui, des fois non.

Moi : Non.

Mon père me regarda avec haine.

Maman : Es ce que vous avez envie de parler à votre père  ?

Moi : Non.

Mathieu : Presque jamais.

Papa : Pourquoi ?

Moi : Parce que tu ne nous écoutes pas, tu n’essaye pas de nous comprendre.

Maman ce tournant vers mon père : Ta fille mercredi est rentrée malheureuse, puis tu lui as demandé si elle voulait manger maintenant ou attendre trente minutes que je rentre. Elle t’as dis qu’elle ne voulait pas attendre car elle était fatiguée, puis tu as fait la purée et elle a mangé. Quand je suis rentrer elle était en train de finir, et toi tu a dit « La purée est liquide maintenant, elle était bien tous à l'heure. » et tu l’a regarder. Elle est montée dans sa chambre et devine ce qu’elle à fait ?

Mon père haussa les épaules.

Maman : Elle a pleurée car le matin au collège rien ne c’était passer comme il le fallait et elle n’allait pas bien, plus ce que tu lui as dit, elle ce sentait encore plus mal.

Papa : Elle n’aurait pas pu le dire ?

Maman : Mais comme veux tu qu’elle te le dise, tu ne l’écoute pas.

Papa : C’est bon je me casse.

Maman : Non tu reste là.

Mon père réussi à partir et ma mère s’assis sur le canapé et nous dit.

Maman : Bon vent, de toute façon il n’a pas assez de couilles pour faire quoi que ce soit.

Moi je ne disais rien, tous cela m’avais choqué, complètement choqué.

Maman : Ne vous inquiétez pas il va revenir.

J’allai dans la cuisine pour mettre des mouchoirs à la poubelle et passa à coté de la porte il y avait un trou dans celle ci, voilà le pourquoi de ce gros boum de tout à l’heure, je pris la poignée de la porte et vie qu’elle était cassée. Je retournai avec ma mère et elle s’endormi sur le canapé pendant que je remonter dans ma chambre.

*FIN DU FLASH BACK*

Comment oublier un jour comme celui ci....

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