Supernaturel

Chapitre 27 (C)

Quand j’ai reçu un message d’elle je me suis dis que tout irait bien. Mais le message disais « Je pars en Australie. Adieu » depuis ce jours, je me suis crée une carapace qui me fais vivre, ou plutôt survivre.

Enzo : T’inquiète pas Kyara, on réussira à la retrouver.

Moi : Je ne sais pas Enzo, j’ai tellement peur de ne jamais la revoir.

Enzo : On essayera de la chercher je te le promets.

J’étais toujours entrain de regarder par la baie vitrée, quand je sentis des bras m’entourer et un corps ce collé à moi.

Enzo : Ne t’inquiète pas.

Moi : Je sais Enzo mais je ne peux pas ne pas m’inquiétais.

Enzo : Je sais.

Je me retournai pour être face à lui. Ses yeux. Un mélange de noisette et de vert.

Moi : Tes yeux sont toujours aussi parfaits.

Enzo : Et les tiens toujours aussi changeant.

Moi : Pourquoi ? Ils ne sont plus comme tout à l’heure ?

Enzo : Non là ils sont tous les deux oranges.

Moi : Orange ?

Enzo : Oui.

Non surtout pas orange, pas avec lui. Tous sauf orange, surtout les deux.

Moi : Enzo ?

Enzo : Oui ?

Moi : Il fait quel temps dehors ?

Enzo : Des nuages, on dirait qu’il va y avoir un orage.

Moi : Oh, d’accord merci.

Enzo : On y retourne ?

Moi : Ouais.

Il me fit un bisou sur le front et parti vers les chambres et la salle de bain.

/ECLIPSE DU MENAGE, 2H PLUS TARD\

Moi : Bon bah voilà, c’est propre maintenant.

Enzo : Ouais, ça fait du bien de voir la maison dans cet état.

Julie : C’est vrai que c’était dans un état pitoyable.

Justin : Bon il nous reste à faire quoi ?

Moi : J’aurais voulu dire au revoir à ma mère et aller dire bonjour à mes grands parents. Après on peut partir, a part si l’un de vous doit faire quelque chose.

Julie : Moi je n’ai rien à faire.

Enzo : J’aurais voulu aller voir les tombes de ma famille.

Moi : Pas de problème pour moi, Julie tes parents ?

Julie : Ils s’en foutent de moi, alors je ne vois pas pourquoi j’irais les voir.

Moi : Comme tu veux.

Enzo : Bon je me change et on va dans ***** et après on va voir la mère de Kyara.

Moi : Ok mais grouille ton cul.

Enzo : Roo c’est bon.

Moi : Gnia, gnia, gnia.

Enzo : Mongole va.

Moi : Connard.

Enzo : Moi aussi je t’aime.