le train

CHAPITRE 3 : Je l'aime ?

     Il m'a regardé avec un grand sourire. Et ma sorti un "de rien" tout à fait serein. Serein ?... HIEN !? Mais il veux me tuer ce type !!!
Une fois devant les toilettes je l'attends. Je le supplie, avant qu'il n'entre, de se dépêcher sinon il allait me retrouver par terre morte (littéralement) d'inquiétude. Il ris  et il  rentre dedans. Il n'a pas était long, chance pour moi ! J'y suis aller.
En sortant il n'y avait plus personne... Où est-il ?... Je commence à paniquer beaucoup trop pour mon cerveau. Je tremble. Il s'est fait manger ? Capturer ? Pire encore... Je n'ai pas le temps de mettre cette dernière crainte dans ma tête que l'autre sorcière à bonbons me tape l'épaule. Je sursaute. Si je le pouvai,  je serais au plafond. Cette folle va me faire avoir une attaque un jour !!! Elle me regard, je crois vue qu'elle a les yeux fermés et son nez qui pointe en ma direction.
《 Si c'est ton ami que tu cherches  il est à votre cabine. Je lui ai demandé d'y retourner. Aller petite ! ZOU !》 Toujours sans tonalité dans sa voie de grand mère fatiguée.
Je me retourne pour partir vers ma cabine. Quand je vois une ombre immence se prolonger sur le plancher du couloir ! Je me retourne brutalement ! La vieille avais disparue ! Je ne veux pas savoir où elle est, et ce que c'étais ! J'accélère mes pas. J'en suis sûr cette fois ! Ce train, quand on en descendra je n'y remettrer plus jamais les pieds de ma vie ! Même si je dois rentrer à la maison ! Je me débrouillerai avec le stop ! Ce sera moins pire que ce train de mé2 !!! J'ai finalement rejoins ma cabine à bout de souffle. Dès que je le vois assis, je lui saute dans les bras ! Il s'est excusé de ne pas avoir pu m'attendre. La vieille lui a fait le même coup que pour moi. Saloprie !
J'ai commencé a pleurer. Je ne sais même pas pourquoi... la joie ? La peur ? J'en sais trop rien. Il a remarqué que mes larmes coulaient, il les a essuillé avec toute la délicatesse du monde. Et ma serré contre lui. J'entends son cœur battre la chamade. Le mien ne doit pas être mieux.

Il est midi. On est pas ressorti depuit l'épisode flipant des toilettes. En plus je n'ai pas faim du tout... et il est hors de question pour nous de manger un traître truc venant de ce train ! Que j'aime ma mère et ses préventions... elle m'a fait un bento pour le trajet. J'entends le ventre de .............. gargouiller tout ce qui sais. Je lui tends pour qu'il en mange un peu. Moi je mange une carotte.Il en a mangé la moitié du bento complaît. Il m'a forcer à le finir... Je crois  que je vais  le bouffer c'te crétin ! Mais bon... vaut mieux le bento que lui. Me suis-je dit en me forçant à avaler le riz. Quand j'eu terminé, j'ai remis ma tête sur ses jambes.
Je me suis endormis.

Un cri m'a réveillé brutalement ! Ils sont tous fou ici ! Je me suis relevée à vitesse grand V. À cause d'eux B........... a faillit perdre au moins 300 neurones et moi aussi! On s'est précipité vers les cris. C'est nos voisins de cabine... ils sont... inexistants !? Ils ont laissé  qu'une marre de sang derrière eux... c'est l'autre vieille qui a crié. me dit un jeune garçon un peu rond. C'est pas beau à voir... Je vais vomir... dit-il avant de ce tourner et je vous épargne les détails. J'ai lut pas mal de romans de ce style quand j'étais au lycée. Plus je me rapprocher de la saine plus je la voyer. Il n'y avais pas que une flaque... leur tête étais accrocher au mur... Je me rapproche encor et encor. Je suis devant la porte. B....... dernière moi. On voie très clairement les éclaboussures sur les mur. Sa faisais comme des get. Comme quand on coupe de la chaire avec un couteau en faisais un long mouvements rapide dans le prolongement du bras. Sa ne me ravir et me rassure pas des masses. Surtout que nous n'avons rien entendue alors qu'on est à côté. Si on étais les suivent sur la liste de celui qui a fait sa... J'ai demander à la grand-mère si ils avaient mangés des bonbons du charieau. Pour mon plus grand désespoir elle a acciessée. Je me tourne vers B............ avec un regard térroriser. Un agent du train et venue nous dire de rester dans nos cabine. Jusqu'à nos destination respective. Un homme est ensuite entrer en ce disant inspecteur. C'est cool on dirais un amateur ! Il pose de question à personne. Et il repart. J'ai pas bien compris le délire... tu fait pas sa quand il y a un meurtre, tu met tout ce qui sont autour en garde à vue pour leur poser des questions ! Je plains les personne qui réside dans la ville qu'il est charger de protéger ! Il n'en pèche que moi j'ai les chtons avec tout ce sang. Et où sont les corp des deux personne !? En plus Je les ai vue monter au premier arrêt. C'est le couple que avais un enfant ! Il est où !?
- madame ! Vous avais vue le bébé !? Ai-Je crier à la vieille dame qui commencer à partir.
Elle ouvrit les yeux. Et me dit :
- qui sais...
Et elle partie. J'avais attirer l'attention de l'autre abrutis en vacance d'été.
- il avais un bébé ? Me demande l'inspecteur.
Je lui ai expliqué ce que j'avais vue avant et après qu'il soit monter. Il m'écoute en silence. C'est perturbant. Il ne note rien de ce que je dit ! Il retiens pas tout ce que je lui raconte quand même ?! Je n'y croirais pas en tout cas ! Une foie fini.
- Tu peux répéter à partir de quand les deux femme descende s'il te plais ?
Il ce fous de moi là ?! Je vais le crever ! B........ retien moi il va y passer si il continu !!! Je lui ai répéter avec le plus GRAND des calme possible. B.......... voyer bien que mon point veux partir destination figure de l'inspecteur. Quand j'eu fini il parti sans dire un mot. Pas un merci de votre compréhension, ou bonne continuation. RAAAAAAAAAH !!! une foie qu'il est sortie de notre wagon J'ai exploser littéralement ! On est retourné dans notre cabine. Une foie à l'intérieur je me tourne brusquement vers B............. et je crie :
- Pour qui il ce prend cet abru... J'ai pas eu le temps de finir que je senti ses laivre ce poser sur les miennes. J'ai fermer mes yeux. C'est agréable...
MAIS QU'ES CE QUE JE DIT MOI ENCORE ?!
Il c'est arrêté et ma regarder. J'ai baissé ma tête pour pas qu'il me voie rougir comme une tomate. Je vais le crever lui aussi !!! Pourquoi sa tombe sur moi !? J'ai rien demander au monde à ce que je sache ! GRRRR...
Il ne s'éloigne pas de moi. C'est pire ! Avec sa main il met délicatement ses doits sous mon menton pour remonter ma tête. Il approche de nouveau sa bouche vers moi ! Mais !... Il me cherche en plus !!! Je ferme les yeux pour me retenir de l'envoyer dans le mur d'en face ! Mais cette fois il ne m'a pas embracer. Il a chuchoter quelque chose à mon oreille. J'étais déjà rouge, la je suis rouge sang !
Soudain j'entends pleurer !
- le bébé ! Vien ! Ai-je crier.
Je lui ai pris la main et on a courus dans le wagon Jusqu'au nouveau né. Il étais tâcher de sans de ses partent sûrement. Je me suis précipité de le prendre dans mes bras pour le calmer. L'autre nouille à refait son apparition. La vieille avec et l'autre la je sais pas très bien qui c'est mais il a emmené la grand-mère à l'écart tout à l'heure. Il... sont... bizzard a la limite du changer. Je me relaive avec le nourrisson dans les bras.
- qui sais... me répète la vieille.
Je grince des dant. Quelle folle !
- si vous saviez ou il ce trouver pourquoi ne pas me l'avoir dit avent qu'il n'hurle famine ! Vous êtes folle ma parole ! Et vous l'inspecteur en sucre ! Sa vous parle prendre des note quand on vous dit ce que l'on voie !?
Les trois individus ce regarde. Je n'aime pas sa... mais pas du tout !
- Bastien ! On retourne à notre cabine ! Lui ai-je lancer froidement.
En passent près de la vieille, J'ai remarquer que sont tablier est tâcher de rouge. Sa ma fait bizzard.
Dans la cabine on ferma la porte. Je m'assoie avec le bébé dans les bras. Bastin à côté de moi. Attender une seconde ! Je me suis rappelé de sont prénom ! Bref, je vous explique plus tard.