CHAPITRE 4 : j'en suis là...

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Je lui ai donc dit mon hypothèse sur l'autre vieille folle de vendeuse de bonbons meurtrier. Il explose de rire. Je ne trouve pas sa drôle du tout. Et je lui ai fait comprendre. Il c'est stopper à ma tête. Il nous reste environ 10 heures avant notre destination final. Je vais commencer par le laver ! Pance-je le sourire au laivre rien que de voire sa bouille toute rose. Par contre ou ce trouvait-il pour n'être tâcher qu'en bas ? Je me pause trop de question ! Bastin, le bébé et moi nous dirigeons vers les toilette, quand on entendit de nouveau un cri. Vive la jeunesse ! On courus tout ce qu'on pouvais ! Quand nous somme arriver... seul une tête et du sang rester sur cette saine de crime ainsi que la vieille. A ce moment j'ai pété les plonds ! Elle est toujours la elle ! Sauf que ce n'était pas son cri ! J'ai confier le bébé à Bastin et J'ai sortie (de nul par) un stylo et un carnet ce que j'aurais du faire depuis le début au moment où j'ai vue ce vacancier de premier débarquer ! J'ai tous écris depuis le début ! Et J'ai d'écrit la saine que j'ai devent moi :

1. Flaque de sang équivalent à deux corps. Nourrisson disparu (retrouver) corp des victime introuvable. Leur tête au mur. Éclaboussures de sang comme si on les avais couper avec un couteau.
Description victime :
Homme d'à peu prêt 1m65 (je pence) moustache brune et le peu de cheveux qui va avec.
Femme de 1m50 porter un manteau rose avec froufrous blanc (introuvable comme les corp)

2. Flaque de sang de la taille d'une personne d'un mètre soixante-dix. Tête de la victime accrocher au mur comme pour le meurtre précédant. Plus de corp visible. Valise disparu.

Il y avais des valise avec le couple ?!
J'ai aussi tôt laisser les trois qui étais avec moi en plant. Quand je suis rentrer dans la cabine... rien. RIEN !? C'EST QUOI SA ENCORE !? C'est alors que J'ai sentie cette odeur de neuf... Je suis revenu vers eux blanche comme du linge. La femme âgée me dit :
- bah ma petite ! Tu à vue un FANTÔME ?
se mots à marquer mon esprit... pourquoi ce mots est pas un autre ? Que peut-elle bien dire à travaire. Si sa continu je vais me casser la tête contre le mur ! Mur ? LES MURS !!! ai-je crier. Je suis sorti de la cabine en courent comme une dérater qui a oublier sont portable au toilette. Si ils le rénovent à chaque incident, avec du sang sa fait la même chose avec les marque laisser par la chose ? Quand j'ai attind les WC J'ai regarder en haut donc au plafond.
- je le savais ! Dis-je en chuchoten.
Quatre grandes entailles en forme de couteau étais incrustées dans le mur. Cette vue me tétanise. Sa veut dire que la vieille folle voulais me bouffer !? PUTIN ! Si je ne m'étais pas retourner je ne serais plus la ! J'ai tournée les talons et j'ai recouru jusqu'a la cabine. Bastin c'est endormit.
J'ai passer deux PUTIN d'heures à trouver un moyen de coincé la vieille dans sont terrain. Il me rester 7h pour illucider le mystère du train. Les mots de cette vielle peau me tourner en tête encor et encor. Fantôme, fantôme... Je marmone sa depuis trois heure maintenant. Je déteste quand je trouve pas de solution ! Soudain une image présise me revient en tête. La vieille ! Elle est descendu ce matin pendant que je monter ! Et les autre foie aussi ! On c'est pas arrêter depuis le dernier arrêt que J'ai énoncer ! ... NON ! Elle ne me fera pas croire qu'elle peux ce téléporter cette courgette moisi ! C'est impossible !

Elle réfléchi bien trop... avec sa elle a pas laver le gosse ! Pense Bastin.
Bon bah go hien...
Il sorti de notre cabine. Je l'ai pas réalisé se qu'il fait au bon moment ! Quand la porte à claquer mon cerveau a fait un éléctro choque. Je me suis précipité après avoir bourer mes idée dans mon sac à dos.
- Bastin ! Ai-je crier. Où est tu !? Revient !
J'ai pas arrêter de le chercher. En courent dans tout les wagons du train en chercher dans toute les toilette. Rein... J'ai commencer à ralentir le pas, ésoufler. Quand le plancher c'est mit à grincer... derrière une porte rouge mon petit coeur à faillit s'arrête de batre le rythme de la vie.
Et débile que je suis. J'ai pénétré dans la petite pièce. Ce que J'ai vue m'a... fait un frisson glaciale dans le dos... mais cette grand-mère est plaine de ressource ! J'ai commencer à paniquer quand j'ai vue un costume de scorpuleu accrocher au mur. J'ai saisie mon portable à qui il ne restais que 30% de batterie (déjà...) j'ai pris un photo et repartie en direction des toilette de notre wagon. J'ai couru tout ce que j'ai pu. J'ai failli rentrer dans quelqu'un. Bastin !? C'est Bastin avec le gamin ! À ce moment je sais pas ce qui m'a pris...
Je l'ai embraser. QU'ELLE CON !!! JE LUI DIT QUOI MAINTENANT !? Je me hais. J'ai stopper le baisser. Reculer de quelque pas et je me suis excusé en regardent le plafond. Je suis passer devent et nous somme rentrer dans la cabine. J'ai sortie mon portable de ma poche et J'ai annaliser la photo.
- merde ! Ai-je lâcher. La vieille ! Elle est la regarde !
Je lui montre la photo sombre. La femme âgée est pendu à l'arrière plant gauche. Comment j'ai fait pour ne pas la voir... J'ai pas dormi de 21h à 23h ! Le train ne s'arrête jamais le jour. Et nous arrivons la nuit au notre. En plus c'est un terminus, donc on ai obliger de descendre. Cette penser ma tétanisée de peur. Bastin ma pris contre lui et je me suis endormit.

J'avais mit une alarme douce qui ne reveiller que moi. Un sont tout à fait changement de bruit d'animaux que j'ai envie à chaque foie que je l'entend de le balancer par la fenaitre. M'enfin, il me reste 2h pour trouver un idée pour sortir sans ce faire tuer. Le wagon est silencieux. Normal on ai les dernier survivant de celui-ci. C'est flippant dit comme sa mais c'est la triste vériter. Le plancher du couloir à craquer. J'ai serré la mains de Bastin de toute mes force pour ne pas crier. Je l'ai réveiller... oups. J'ai mit ma main sur sa bouche pour ne pas qu'il parle et nous avons écouter la conversation des deux homme dernière la porte :
- cette gamine est très intéressante et intéligente avec sa. Dit l'un
- ouais. Je l'aime pas quoi. Elle a percer à jour ta fausse identité d'inspecteur. Dit l'autre.
J'avais comprit qui étais qui et placer ou surtout. L'inspecteur à droite et l'autre truc qui sert à rien à gauche. J'ai eu une idée lumineuse ! Je savais bien que de repérer qu'elle plancher de parquet qui grincer aller me servir tôt ou tard ! J'ai mit mon plant à exécution. Je me suis armer de déodorant à la fraise qui pue ! J'ai marcher jusqu'à la porte. C'est un sans faute !
- n'en pèche il faut encore zigouiller la petite à l'intérieur. La vieille peau ne voulais pas qu'on la touche mais elle fait partie de cette famille qui m'a déshéritées. Saleté de petite soeur !
- du calme on va la tuer cette salle gosse. Ok à trois on entre et on les tue tout les trois.
Je me suis caler avec un chiffre d'agence sur eux pour les prendrent par surprise.

Un... deux
Deux... TROIS !!!

J'ai ouvert la porte si violement que le grand frère de la petite fut assoner un coup dans le nez bien placer. Quand au seconde je l'ai parfumer à la fraise moisie. Sa la aveugler et je lui ai fait comprendre que je suis pas de bonne humeur en lui mettant mon pied entre ses jambes. Que je n'aimerais pas être un homme me dis-je en plaçant mon coup. Les deux brute épaisses (je peux parler moi..) étais dans les nuages. Bastien passa la tête part la porte.
- bah dit donc Élise tu y est pas aller de main morte...
- Je sais, oh et merci de m'avoir laisser faire ! Lui dis-je d'un ton joyeux.
Il appela la police pendant que je ligotée comme des saucisson les deux meurtrier. Le train c'est arrêté au deux arrêt mais les policier nous attendais au terminus. A 6h présise il on prit l'affaire en mains. Il nous on proposer de nous emmener à nos destination respective. On a accierser sans attendre.
- ok les jeune ! Nous dit un agent. Où aller vous ?
- à l'université de police !
On l'a dit ensemble et de bon coeur. Je l'aime vraiment ce type un peut béta sur les bort, mais il en vaux la paine.

Je vous ai tout dit dans les grande ligne est petite monsieur l'agent. En plus Je me suis souvenue de mon prénom et de celui de Bastien. Mais je sais pas comment je les ai perdus...
L'agent me regarda.
- Tu te souviens que du trin... c'est bien mais et l'université ou ton amie Julie qui est morte ? Rien ne te reviens ?
- Julie ? Ai-je répondu. Qui est Julie ?


À suivre !

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