« Maris, aimez vos femmes, et ne vous aigrissez pas contre elles » (Colossiens 3:19).
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Je suis à l'hôpital, Ali m'a encore frappée et j'ai perdu connaissance encore une fois.
Je suis défigurée, il m'a encore cassée mes cotes j'ai 10 lésions sur le corps, il m'a détruite tout simplement, parfois j'ai envie de quitter ce monde pour ne plus subir.. mais mes enfants me retiennent.
J'ai envie de fuir mais avec lui c'est comme si j'étais une esclave, un chien tenu en laisse.
Ils m'avaient mis en coma artificiel, car d'après eux j'étais dans un état pitoyable, j'ai faillis mourir.
Aujourd'hui je vais bien, mais est ce que demain ce sera le cas ?
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Je suis de retour a la maison, fin j'ai pris un appart hôtel.
Pour l'instant j'ai pas envie de retourner avec lui, sinon je vais lâcher mon dernier souffle la bas.
Mes enfants je l'est est toujours pas vue, ils me manquent trop mes bébés.
J'ai appelée Sabri vu qu'il était sur Montpellier, oui je sais c'est pas bien mais j'ai vraiment besoin de lui, vraiment.
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Sabri m'a rejoint je me sens moins seule.
Ont est allongés, moi je suis dans ses bras.
- Merci d'être venue hein.
Sabri - T'inquiète je t'est toujours dit que je serais toujours la pour toi.. pourquoi tu restes avec lui Aliya ?
- On n'a déjà discuté Sabri.
Sabri - Ouais je sais mais regarde toi, tes plus la Aliya que j'ai connu, qu'ont a connus, si reste avec lui tu vas clamser.
- Non t'inquiète pas je vais survivre pour mes enfants.
Sabri - Nan, tu vas pas survivre ta fait 20 milles aller retour à l'hosto !
- Bon sa y est tu me soûles.
Sabri - caresse mes cheveux C'est bon, bon maintenant dors ta besoin de repos.