La vie de fermier !

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Adrien se dirige vers sa grange pour aller chercher ses fromages, car il doit aller au marché du village.

En effet, Adrien est fermier. (C'est un peu marqué dans le titre, mais bon...) Sa femme, Véronique, ses 3 enfants, Gilbert, Micheline et Géraldine le soutiennent dans son travail, qui n'est pas toujours facile. Nous pouvons le constater avec les suicides des agriculteurs, à cause des bas revenus auxquels ils ont droits (bon rigolez, c'est un livre d'humour quand même ! Un peu de joie de vivre ! Allez, du nerf !)

Une fois les fromages chargés dans le tracteur CLAAS, acheté 30 ans plus tôt (le tracteur hein. Pas les fromages, qu'on soit bien d'accord), il se dirigea vers la place de l'Eglise où se déroule le marché.

08h01: Départ de la ferme. Vingt minutes de route environ. C'est parti pour les bénéfices. (Ou pas. C'est ce que tu crois mon gars. Tu verras dans quelques lignes...)

12h03: Arrivé au marché, et installation du stand.

Une fois le stand installé a côté de celui d'un boucher local, Adrien commença sa promotion, en interpellant les gens s'approchant de son office.

C'est la fin du marché, qui, comme chaque samedi, se termine à 19h30, Adrien ayant vendu 5 fromages, lui rapportant 0,52€.

Il parti de la place à 19h54, après avoir rangé tout son matériel.

23h56: Arrivé à la ferme. Adrien était épuisé de sa journée. Il gara son tracteur, rangea le matériel, ses fromages, et alla embrasser ses enfants toujours éveillés, avant d'intégrer le lit conjugal.

Allongé et prêt à s'endormir, il songea. Il songea à sa ferme. Tout ce travail qu'il devait effectuer chaque jour était fatiguant et répétitif. Il se faisait assez vieux. Il serait peut-être temps pour lui de prendre sa retraite (bah oui mon fumier, y s'rait pt'êt temps ! Mon Raffarin ! Vu l'âge que t'as mon salaud !) Mais le hic, c'est que la ferme est une ferme familiale. Il l'a hérité de ses parents, qui eux même l'on hérité de leurs parents (pour vous dire qu'elle est vieille la ferme. Vous vous rendez compte ! Des générations et encore des générations qu'elle tient debout ! Bah putain !...) "La nuit porte conseil", se dit-il. On verra bien !" (Mais on est d'accord, la nuit on a aut' chose à fout' que de penser ! La nuit on dort ! Même la journée pour certains vous allez me dire. Bref... Quelle expression de merde hein...)

(Et effectivement j'avais raison : la nuit on dort ! Parceque la nuit ne lui à pas du tout portée conseil ! De toute façon, je vais me répéter dans le prochain paragraphe, mais je préfère préciser. Cheh ! pour ceux qui pensez qu'il allait penser )

Hélas, la nuit ne lui à pas portée conseil. Il n'avait toujours pas de réponse à sa question. "Peut-être était-ce un signe du destin", se disait-il. Peut-être était-ce un signe qu'il devait garder la ferme familiale encore quelques temps, peut-être même jusqu'à son dernier jour, jusqu'à ce que les poules auront des dents.

3h00: Levé (faut décaniller il est 3h00 !) Adrien se leva, et alla faire sa toilette dans la rivière, située à proximité de sa ferme. Comme à son habitude, il alla vider son pot de chambre. Petit-déjeuner d'abord: rillettes (maison) trempée dans du café.

Une fois Adrien ayant finit son repas, il se hâta dans le hangar pour atteler sa remorque à sa vieille camionnette Citroën. Il devait allez voir un voisin, pour récupérer une nouvelle étagère (en bois, évidement, c'est des fermiers, ils sont pauvres...) Il alla la chercher, et revint à la ferme.

Cinq heures plus tard, après avoir monté le meuble (et essayer de comprendre comment ça marche), il se souvient de quelque-chose : il devait se débarrasser des taupes qu'il y avait dans son jardin. Il avait au préalable placé de la dynamite dans les trous, réalisés par ces rongeurs. Il sorti le détonateur, prépara de quoi se protéger: une table (Bah oui, vous croyez quoi ? Il est pauvre !), et mis son casque de la guerre, pour se protéger des débris qu'il risquerais d'y avoir.

Tout cela préparé, il se plaça derrière la table (encore en bois, évidemment. Il a pas changé en 6 lignes hein. Bref, continuons...) Il pris la manette avec ses deux mains, et là "UN DEUX TROIS !" Les taupes sont sortis de leurs trous comme des fusées. On aurait dit un feu d'artifice (petite dédicace au Bodin. Précisément à la Maria. Si tu l'as pas vu, regarde ! Tout de suite ! Mais lis mon histoire quand même. S'il te plaît...) "Je les ais exterminés ces salauds ! Comme les Allemands avec les blonds ! Haaaa, la bonne époque !" Avait-il dit. (Évidemment, je ne le pense pas. Faut pas me confondre avec Adrien. J'suis pas fermier, c'est pas mon autobiographie ! Je suis l'auteur, c'est tout ! Qu'on soit bien claire hein ! Merci ! C'est lui qu'il faut poursuivre en justice. Salopard và !) Mais petit problème : maintenant, il y a de la terre et des trous énormes partout (j'vous jure, on aurait dit la Troisième Guerre Mondiale. Je dis ça mais je déteste les gens qui disent que c'est la Troisième Guerre Mondiale ! Et le pire, c'est que j'en fais parti. Voilà...)

Une fois son petit bout de terrain nettoyé, il se dirigea vers son poulailler pour faire la récolte matinale des œufs. Cela fait, il alla dans sa cuisine, et prépara pour sa femme une omelette aux lardons (tu m'étonnes, c'est le seul plat qu'il sait faire. La gueule, une omelette aux lardons. Mais ils sont pauvres vous allez m'dire (Je sais, j'me répète. Et c'est pas fini. C'est sûr qu'il peut pas lui préparer un festin. Hm... Ah la gueule...) Et là, synchronisation parfaite: Véronique se lève au moment où Adrien à posé le dernier couvert (par contre les couverts sont en métal, pas en bois. J'le dis au cas-où... Y a des gens qui pourrait le penser. En même temps, c'est leurs droits, ils font ce qu'ils veulent. Bon, on reprend...) Et après, les enfants se levèrent à leur tour, en ayant également droit à la bonne omelette du matin.

Véronique au travail, les enfants à l'école, ("Quoi ? Véronique travaille et les enfants sont à l'école ? Mais alors, si Véronique travail, pourquoi ils sont pauvres ?" J'ai la réponse: Véronique à un boulot de merde qui lui rapporte que dalle, les enfants sont obligés d' aller à l'école jusqu'à leurs 16 ans. C'est la loi, normalement..., de plus ils ont droit à des aides financière de l'Etat, et puis Véronique à quand même encore UN PEU d'argent de côté. Parc qu'avant, elle s'en sortait bien dans la vie. Oui. Mais dès qu'elle s'est installée AVEC Adrien, tout l'argent qu'elle avait à été dilapidé, ENCORE à cause de lui: il avait des dettes. Je reprends donc le début de la première ligne de ce paragraphe, parce que je pense que pour certains d'entre-vous vous avez oubliez. Les cons...)

Véronique au travail, les enfants à l'école, ("Quoi ? Vé..." Non j'déconne !) Adrien peut se mettre sérieusement au travail. Il alla chercher un de ses voisins et ami agriculteur, pour l'aider à ramasser les productions de légumes dans les champs. Le tracteur démarré, et l'Erwtendorser aussi, (la deuxième machine, c'est un engin agricole. Vous pouvez allez le voir sur Internet. Perso, j'ai pas pu faire de copier-coller, alors je l'ai écrit de tête, en allant sur la page où le nom apparaissait, et sur Wattpad.Bref, c'est casse-couil***)

Après des heures et des heures passée à ramasser les productions, (J'ai mis 'des heure et des heures' parc qu'en vrai j'ai pas trouvé en combien de temps les récoltes sont ramassées. Voilà, c'est tout... Pour le moment...) il mis les productions dans leurs silôts respectifs, et alla replanter des graines dans les champs moissonnés. Il devait d'ailleurs voir une petite vieille femme dans son village, car cette dernière lui à commandée du lait, réputé le meilleur du village, ce qu'il fît après la replantation des graines.

C'est la fin de journée. Comme prévu la semaine passée, notre agriculteur doit donner certaines  (pauvres ) bêtes à l'abattoir, car elles se font assez vieilles (Toi aussi t'es vieux, connard de fermier ! Pauvres animaux ! Et bah dans ces cas-là, on fait pareil avec toi ! Hop, à l'abattage ! Non mais t'as pas honte !? Tu peux pas les laisser mourir en paix !? Eux aussi on des sentiments, ils ressentent l'amour, ils ont une famille... Merde alors !... J'espère que vous vous sentez coupables de manger de la viande maintenant ! Oui, vous qui lisez ce texte depuis je sais pas combien de temps ! Moi aussi j'vais v'nir vous bouffer bande de shlags ! A bon entendeur. Je n'engueule pas ce qui n'en mange pas. Au contraire je les respecte. Même si moi aussi j'bouffe de la viande. Vivement 18 ans . Allez, plus que 2 ans... )

Enfin bref, nous sommes là pour rigoler, pas pour faire de débat. Même si j'en aurais bien aimé en faire un !




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⏰ Dernière mise à jour : Jul 20, 2020 ⏰

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