la clocharde et le milliardaire

Chapitre 3

" Alors ?
- Alors quoi papa ?
- La presse française ne parle que de toi et de cette... Zi... Zika... Je ne sais pas quoi!
- Zinaïda papa ! Et depuis quand tu regardes ce qui se dit dans les magazines people ?
- Depuis que mon fils fait la une de ces derniers. Elle vient d'où ?
- Ça ne te regarde pas !
- Vous avez déjà eu des relations sexuelles ?
- Bon dieu papa ! Bien sûr que non ! Et quand bien même ça ne te regarde pas ! Tiens je ne l'avais pas remarqué avant, mais elle est où l'autre ?
- Ne parle pas de Clara comme ça, et ne change pas de sujet. - J'ai rien eu le droit de dire quand tu t'es mis avec ta pouf, alors tu ne dis rien sur mes fréquentation. 
- J'aimerais vraiment que tu t'entends bien avec elle. Même si il y a eu tout ce qui s'est passé ce jour-là. D'autant plus que nous allons...
- Si tu me dis que vous allez vous marier... Un rire nerveux s'échappe de ma bouche.
- Et bien si nous allons nous marier, dans une semaine.
- Pardon ?
- Oui tu m'as bien entendu dans une semaine ! Et nous allons avoir un enfant.
- Putin c'est pas vrai ! Mais je rêve ! Elle a 26 ans et toi 50 papa. 
- Et bien il n'y a pas d'âge pour l'amour.
- Je ne viendrai pas! Je n'insisterai pas au mariage qui aurait dû être le mien. Je ne viendrai pas à ce mariage qui a détruire maman.
- Quand vas-tu tourner la page ? 
- Comment veux-tu que je passe l'éponge? Tu as couché avec ma fiancée, et le jour de notre mariage. Et aujourd'hui tu veux l'épouser ? Tu as quitté maman pour elle. Elle a voulu en finir à cause de toi. En 6 mois vous avez pas perdu de temps. Le mariage. Est déjà un bébé en route. Un conseil ! Vérifie bien que c'est le tien. "

La claque est parti à une vitesse folle. Je ne l'ai même pas vu partir. A ce moment une personne rentrer dans mon bureau sans prendre la peine de frapper.

" Bonjour Anton.
- Bonjour Clara. La revoir me fait encore plus mal que je ne le croyais.
- Alors doudou tu lui as dit? - Oui... un téléphone sonne' Excusez-moi je dois répondre. Dit mon père. Je reviens tout de suite. Il sort de mon bureau.
- Anton...
- Monsieur Althorph pour toi! J'ai pas envie de te parler. Sort !
- Tu ne t'ai jamais posé la question, de savoir si il ne m'avait pas laisser, le choix ce jour-là ? Que ton père m'a obligé ?
- Même avant mon père personne ne t'oblige et à écarter les cuisses pour les autres.
- Comment...
- Comment je le sais ? C'est ton frère qui me l'a dit. Je vois son visage devenir blanc.
- Il est où ? Ça fait deux mois que je ne l'ai pas vu et que je n'ai plus de nouvelles.
- C'est normal il est mort, il y a un mois.
- Mais... mais je ne savais pas... et... et An... Angeline ?
- Ton frère a mis dans son testament que si Juliana m'aurait également, elle devrait être ma fille, et aujourd'hui c'est fait.
- Il t'a dit quoi avant de mourir ?
- Si tu veux savoir il n'a pas parlé de toi. Je n'étais pas là j'étais au travail.
- Et bien pourquoi ça m'étonne pas ?
- Qu'est-ce que tu insinues ?
- Que tu étais au travail. Encore et toujours au travail. - Explique-toi clairement !
- 7h20-22h26 tu étais au travail ! Je n'existais plus!  Notre couple n'existait plus! Je n'avais que les weekends pour te voir et encore. Je faisais tout pour que quand tu rentres, tu n'es plus qu'à mettre les pieds sous la table. Je n'avais jamais eu le droit à un " merci " ou encore " c'était très bon merci ma chérie " . Non jamais ! Je ne te demandais pas la lune. Tu me forcer à ne plus travailler.
- Je ne t'ai jamais empêché de faire ton métier.
- Je te rappelle que je travaillais surtout le weekend. Alors on se voyait quand si je travaillai... Je regrette que...
- Pas moi !
- PAAAAPAAA...