Berta.

2-

Établissement pénitentiaire :

Nous nous regardons face à face,sans que l'une de nous deux ce décide à décrocher un mot. Qu'est ce qu'elle pourrait bien me dire? Qu'elle est désolé que je me retrouve dans cette situation? Ou qu'elle est désolé de m'avoir abandonné comme la moitié de ma famille?

Je m'attendais à ce qu'ils réagissent comment? Pas bien,mais pas au tant comme ça,pas jusqu'au point de me rayer de leurs vies. En l'instant d'une seconde,j'avais disparue de leurs vies. C'est uniquement pour ça que,que j'étais étonné de la présence de ma petite sœur ici.

-« J'imaginais pas que ça ce passerait comme ça. Je pensais qu'on allaient ce sauter dans les bras et-...»

-« Ne reviens plus,je veux pas te voir finis-je par dire.»

-« Je reviendrai mercredi prochain,comme prévu dit-elle. Encore quelques temps à supporter ici,et après tu seras dehors. Je te promets m'assure t-elle. Le procès ce passera bien,tu n'as rien fais de mal. Les circonstances ont fait que t'en ai arriver à la,mais tout n'est pas de ta faute d'accord?»

-« Arrête,je l'ai poignarder,il n'est plus parmi nous et tu oses venir ici tout sourire en essayant de me réconforter? Où étais tu,toutes les fois où je te demandais de venir avec moi? Finit-elle en gloussant. Peu importe Tecy,rentre chez toi,retrouvez tes parents dis-je en tapant sur la porte.»

Qu'on m'épargne la pitié,c'est sûrement l'image que j'envoie à tout le monde maintenant,la jeune fille désespérée qui a poignarder son petit-ami car elle en a eu marre de ses attaques. Une personne mentalement instable? J'ai pourtant toute ma tête.

Je ne rien oublier de cette affreuse nuit,les flashbacks me reviennent en tête sans cesse. Et je n'arrête pas de me dire,pour quel raison,ma vie ne m'est pas été ôté non plus. Ça aurait pu être mieux,que d'être vue au yeux de tous comme étant,une criminel.

Je regagne ma cellule,arrivait à celle-ci,je m'allonge sur le ventre tout le long du lit. Un an que je suis ici,je ne suis plus trop sûr de supporter encore longtemps. En une année,j'ai essayer avec tout les moyens du bord de mettre fin à ma vie,mais celle ci,s'est apparement attachée à moi.

-« Ça n'a pas durée longtemps ce parloir,qui s'était? Me demande Kimberly.»

Je me penche et me retrouve face à ma voisine de chambre,Kimberly. Plus petite que moi en âge,mais énormément de délit a son jeune âge,elle a tout juste dix-huit ans.

-« Personne,c'est pas important.»

-« Si tu ne veux pas en parler,c'est que c'est important dit-elle en se redressant.»

Je tiens fermement mon coussin,et ne dit plus rien. J'étais perdu dans mes pensés. Comment allais-je faire à ma sortie? Sur qui vais-je devoir compter? Je ne suis même pas sûr,qu'on me laissera mettre les pieds dans mon ancien quartier. De mon plein grès? Je n'y poserais même pas un doigt.

J'ai peur des réactions,de ce que les gens vont penser? Une année est passé,en parlent-ils encore? Me déteste t-ils? Ce n'est pas comme si c'était rien.

J'ai..tué accidentellement mon petit-ami.

Je suis comme vidée de l'intérieur. Je vis sans réel but,à vrais dire,je ne comprends pas comment ce fait-il que je me tienne encore ici,allonger,à devoir respirer. Nous aurions pu partir ensemble,je souffre tellement de cette situation,je l'ai provoqué,je n'ai que ce que je mérite.

N'a jamais été mon but,d'en arriver à la. Je suis de nature,très calme et posée. J'ai enduré en silence tout le mal qu'il m'est fait,parce que je l'aimais,il était le seule dans mon cœur. J'ai..craqué et-...je..j'ai fini par commettre l'irréparable.

-« JURIN,en dehors de la cellule,maintenant ! Hurle la gardienne.»

Je nettoie mes larmes d'un revers geste rapide et descend de mon lit superposer. Je sors de la cellule et sans faire de bruit,je suis chacun de ses pas. En voyant les deux autres gardiennes debout dans les toilettes,l'air de nous attendre,je me rendis vite compte que j'étais encore dans les problèmes.

-« Tu as fais ce qu'on t'a demander? S'exclame l'une d'elles.»

J'hoche tout simplement la tête de droite à gauche.

-« Alors,dit l'une en prenant la parole,ont va devoir employer la manière forte? T'avais juste à transporter des choses,même ça tu ne peux pas correctement le faire?»

-« Je ne savais pas vers qui me retourner dis-je,je connais pas ce milieu alors je ne-...»

Elle m'attrape par les cheveux et me colle contre le mur,l'instant d'après tous mes membres ce redis,ma bouche s'entrouvrent laissant aucun son sortir. Les larmes me montent aux yeux.

-« Tu veux un autre coup de matraque ou tu vas commencer à faire ce qu'on te demande?»

-« Je vais...faire ce que vous me demandez,je le ferais dis-je.»

Ma tête rentre en contact assez violemment avec le mur,je tombe au sol. S'en suit,des multiples coups au niveau de mon abdomen. Je me laisse doucement emporter par les coups.

Je finirai par mourir ici,c'est ça alors? La réponse de dieu à mon acte abominable.

19h34.

J'ouvre doucement les yeux,nez à nez avec un plafond. On m'a emmener dans ma chambre? J'essaye de me lever,mais une forte gêne à mon bras droit ne me le permet. Qu'est que c'est que cette douleur? J'ai horriblement mal.

Comment ce sentirait une personne après avoir été passer à tabac? Ce n'est pas comme si c'était une première pour moi,c'est seulement humiliant,une fois de plus. Quel est le problème? C'est moi? Qu'est ce qui cloche pour que le monde entier m'en veuille? Je ne répèterais jamais assez,que cette vie là,n'est pas pour moi,quelqu'un d'autre aurait mériter de vivre à ma place.

Je fais partis de ces personnes qu'on appellent,un déchet de l'humanité.

-« Tu te sens mieux? Demande Kim. J'arrive pas à croire qu'elles t'ont fait ça hurle t-elle.»

-« Calme toi dis-je en me tordant de douleur.»

-« Non,ne me dis pas de me calmer. Pour qui ce prennent t-elles? Frapper et humilier quelqu'un pour gonfler leurs égos? Ce n'est pas parce qu'elles sont supérieur à nous qu'elles essaye de-...»

-« HOGGAN,tu as un problème? Demande l'une des gardiennes.»

Les autres gardiennes arrivèrent vers notre cellule. Kim s'approche puis ce met face à elle,les barrières en acier les séparant.

-« Ouais,et c'est toi mon problème. Toi et ta bande.»

-« Contente toi de te la fermer,et ne pas faire la maligne. On ne t'a rien demander intervient une autre gardienne.»

-« L'effet de groupe ne dureras jamais,un jour,je t'attraperai sans tes chiennes,salope.»

La barrière s'ouvre.