Partie 34 : Courroux

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Alors qu'ils étaient partis pour la mission, dans la voiture ça commence à chauffer.

Dazai :

"Chuuya, combien de fois vais-je te le dire !?
Je ne veux plus que tu ais de contact avec lui !"

Chuuya :

"Dazai !
Ce n'est pas ma faute !
C'est cette merde qui me suit tout le temps !"

Dazai :

"Ignore-le dans ces cas là !
Il est dangereux !
Quand vas-tu le comprendre ?!
Je ne veux pas que tu ais de lien avec cette merde, je ne veux pas que tu lui parles une seule fois compris !?"

Chuuya :

"TU N'ES PAS MON PÈRE POUR ME DIRE CE QUE J'AI À FAIRE !
JE TE SIGNALE QUE C'EST MON PROBLÈME, PAS LE TIEN !
S'IL M'ARRIVE UN TRUC, ÇA M'APPRENDRA ! BASTA !
SI J'AI ENVIE DE LUI PARLER, JE LUI PARLE !"

Dazai :

"Je te signale que la vie des autres peut être mise en danger !
Tu es pas le seul à l'être dans cet état là !"

Entre les deux partenaires la situation empirait de plus en plus.
Odasaku n'en pouvait tellement plus qu'il plaça automatiquement une barrière entre lui et Soukoku, seulement les cris restaient toujours aussi forts.

Chuuya :

"DAZAI !
FERME TA PUTAIN DE BOUCHE !"

Dazai :

"TU PENSES SÉRIEUSEMENT QUE JE VAIS LA FERMER ALORS QUE TU AGIS COMME UN PUTAIN DE DÉBILE !?"

Chuuya :

"JE N'AGIS PAS COMME UN DÉBILE ! JE SAIS AU CONTRAIRE CE QUE JE FAIS !
SAL ENFOIRÉ !"

Dazai :

"Chuuya....tu me feras si pitié si..."

Chuuya :

"Je ne veux plus t'entendre...
Tais-toi !"

Odasaku :

"Et bah...
Ça chauffe derrière..."

Le brun regarda du coin de l'oeil celui qui était actuellementent extrêmement énervé mais ceci ne fût pas très discret pour attirer son attention.

Dazai :

"Comme un crétin ne sait pas réellement de quoi il peut être capable, je le conseille fortement de ne pas faire certaines choses mais il ne veut pas m'écouter."

Chuuya :

"DAZAI !
JE T'AI DIS DE FERMER TA PUTAIN DE GEULE !"

Higuchi :

"Je ne sais pas de quoi vous parlez...
Mais je pense que Nakahara a besoin de prendre l'air.
Tu es rouge..."

Dazai :

"Continue de conduire !
Pas la peine de s'arrêter pour un minable comme lui."

Chuuya :

"ET SI J'AI ENVIE DE PRENDRE L'AIR SALOPARD !"

Lorsque Chuuya sortit de la voiture ils étaient garés dans le parking d'un un parc.
Là-bas, l'atmosphère était paisible. quelques enfants riaient, couraient sautaient...
Ils étaient tous de bonne humeur, cela ne dérangeait en aucun cas celui qui avait besoin de se calmer.

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