Chapitre 25 : Amitié souillé

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Lorsque Chuuya parvint à se réveiller...

Dazai : "Ça va tu n'as pas mal ?"

Chuuya : "Si, un peu..."

Après avoir prit peu à peu conscience de ses esprits, il regarda Dazai qui était à côté d'Odasaku.

Chuuya : "Euh...."

Dazai & Odasaku : ??

Chuuya : "Il s'est passé quoi ?"

Odasaku :

"L'ennemi a voulu te capturer, Dazai est venu te sauver pendant que tu dormais."

Chuuya :

"Hein ?
Je dormais ?"

Dazai soupira.

Dazai :

"Et bien...
Il faut croire que t'es vraiment à la ramasse !"

Chuuya : "QUOI !?"

Dazai :

"C'est vrai, ces derniers temps tu es resté plus inconscient que conscient.
J'ai du te porter plusieurs fois sans un seul remerciement."

Chuuya :

"Je te signale que si je me retrouve actuellement dans cette merde, c'est de ta faute !"

Dazai : "Et pourquoi ?"

Chuuya :

"C'EST TOI QUI M'AVAIT ÉNERVÉ APRÈS CETTE FOUTUE RÉUNION !
SI J'AURAI PAS ÉVEILLÉ CE POUVOIR DE MERDE QUE JE CONTRÔLE PAS, ON N'EN SERAIT PAS LÀ !"

Le roux s'énerva mais Dazai devint lui aussi à son tour aggressif.
Odasaku était quant-à lui un spectateur.

Dazai :

"Mais ce n'est pas de ma faute si tu as des ennemis !"

Chuuya :

"LE GDCS A ÉTÉ INFORMÉ PAR UN MEMBRE DE LA MAFIA D'UN ÉTRANGE POUVOIR EXTRÊMEMENT DANGEREUX !
ET JE NE VOIS PAS QUI D'AUTRE QUE TOI POURRAIT PARLER DE ÇA !"

Dazai :

"Je n'étais pas le seul présent lors de l'accident...
Je te l'avais déjà dis donc tu serais en train de m'accuser ?"

Chuuya le regarda d'un regard si froid que personne d'autre pouvait faire.
Ses iris étaient plus sombres dans la pièce peu éclairée, surtout lorsqu'il faisait un regard comme celui-ci.

Dazai :

"Je me demande si tu ne ferais pas exprès..."

Le porte-chapeau écarquilla ses pupilles....

Chuuya : "Ou veux-tu en venir !?"

Dazai :

"Tu n'apprécies pas mes procédés.
Quand je t'avais proposé d'aller voir Odasaku tu n'étais pas heureux.
Et puis là, tu n'as même pas arrêté les flèches !
Avec un pouvoir pareil c'est pourtant du gâteau !
En un mot...j'ai juste envie de te dire.
Tu es capricieux mais surtout vraiment inutile !"

Le petit mafieux se demandait pourquoi il traînait avec un gars comme lui.
Son visage se décomposa.
"Surtout vraiment inutile" était la seule phrase qu'il avait en tête.

Chuuya :

"Je suis inutile...
Très bien..."

Il se releva et se mit à rigoler comme s'il était devenu fou.

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