Silence Changes de AnonymousVDAddict

Chapitre deux

Avery se réveilla lentement de son sommeil lorsque quelqu'un la secoua. Une fois que ses yeux s'ouvrirent lentement, elle remarqua Meredith agenouillée à côté de son lit. Sa tante avait un petit sourire encourageant sur son visage.

"Quelle heure est-il?" Murmura Avery, essayant toujours de se réveiller.

"Il est presque 12 heures de l'après-midi." Meredith informé.

Les yeux d'Avery élargirent un peu la réalisation du temps qu'il était. "Pourquoi m'as-tu laissé dormir si tard?" Dit-elle en se levant et en le regrettant immédiatement quand sa vision commença à devenir floue à un mouvement trop rapide.

Meredith rit un peu. "Qu'est-ce qui ne va pas avec dormir? Je suis sûr que tu as besoin de repos. Allez, je vais te préparer un petit-déjeuner. Il reste une demi-tasse de café." Elle se leva et alla dans la cuisine, sachant qu'Avery suivrait. Elle s'assit à la petite table de la cuisine qui était remplie d'une quantité infinie de papiers, regardant fixement sa tante animée dans la cuisine. Avery se frotta les yeux, essayant toujours de sortir de son étourdissement.

"Avez-vous du travail plus tard ce soir encore?" Elle a demandé à sa tante. Meredith ne répondit pas alors qu'elle poussait des œufs brouillés avec du jambon devant elle. C'est à ce moment-là qu'elle a remarqué que tous les papiers étaient sur la table. Son visage est devenu immédiatement ennuyé.

"Euh... il suffit de les repousser." Meredith marmonna presque embarrassée. "Comme tu peux probablement le dire... je ne suis pas très bien rangé." Elle s'assit à la seule autre chaise à la petite table de cuisine. Avery se contenta de la regarder, ne sentant pas le besoin de rassurer sa tante en lui expliquant que le petit fouillis n'était pas une excuse. Les gens mal interprètent souvent les silences d'Avery à la recherche d'impolitesse ou de désintérêt. Mais elle ne parlait que lorsque c'était absolument nécessaire. Sa tante Meredith a toujours compris cela à propos de sa nièce pour une raison quelconque. Ils avaient une compréhension mutuelle pour son mutisme choisi.

"Alors ... maintenant que tu en as parlé. Je ne travaille pas ce soir." Elle se pencha sur la table et regarda Avery hésiter à manger un morceau. "Il y a cette fête de famille de fondateurs ce soir. Je jure qu'ils jettent ces choses comme tous les jours. Je... euh... ne peux pas vraiment sauter. Voulez-vous venir? Tous les enfants de votre âge viennent de sortir de l'école et ils vont probablement être là. Vous pourriez faire des amis. " Meredith regarda en voyant qu'Avery ne montrait aucun signe d'excitation à l'idée. "... Ou si cela ne te convient pas encore, je comprends." Sa tante a ajouté avec sympathie. Elle baissa les yeux sur la table, agacée de ne pas pouvoir m'aider. Avery regarda sa tante pendant un moment. Elle comprit qu'elle devrait probablement y aller seule. Sa tante était inquiète pour elle, c'était clair. Elle marchait sur des œufs autour d'elle, craignant que quoi que ce soit qu'elle soulève ne la jette dans une dépression émotionnelle. Avery a trouvé presque étrange la facilité avec laquelle elle a surmonté la mort de sa sœur. Mais Avery avait perdu toute sa famille. Peut-être était-elle juste jalouse de la façon dont sa tante ressemblait en comparaison.

Avery ne voulait pas être si inquiétant. Meredith essayait seulement de l'aider à se situer. Elle posa sa fourchette et avala une bouchée de nourriture. "Ouais ... je vais y aller. Je veux dire ... je devrais faire connaissance avec des gens en ville." Elle ne put s'empêcher de remarquer à quel point les yeux de sa tante s'illuminèrent à son accord.

"Génial! ... Nous devrions probablement te faire une robe, hein?" Meredith questionné.

Avery avait l'air confus. "Une robe, vraiment? Est-ce que ces choses sont vraiment fantaisistes?"

Les yeux de Meredith roulèrent des yeux, pensant à toute l'extravagance ridicule qui faisait partie du fait de faire partie du conseil secret de la chute mystique et de la famille fondatrice. "Malheureusement, ils le sont habituellement. Je vais t'emmener faire les magasins."