Elle venais de sortir des classes le cour de la journée ayant pris fin il faudrait bien qu'elle se dépêche un peu il menace de pleuvoir elle doit se trouver un taxi; le bus de l'établissement n'étant pas disponible à cette heure ou du moins sera rempli quand bien même elle l'aurait trouvé. Elle hâte ses pas, elle n'a qu'un seul objectif sortir avant la pluie. Elle entend des pas emboiter les siens elle ne prête pas attention. Mais ses pas s'intensifient comme si ils voulaient la rattraper; elle ne comprend rien. Par prudence, elle accélère encore plus les pas, elle cour presque si c'est un danger vaut mieux l'éviter contrairement, elle aurait gagné en temps
" hey Marie tu t'en fuie? " c'est sûrement pas à elle qu'on s'adresse elle s'appelle pas Marie " Julie c'est à toi que je parle " mais elle ne s'appelle pas Julie non plus donc elle s'arrête pas malgré le fait qu'elle a l'impression que c'est à elle qu'on s'adresse. Mais le jeune homme en question accélère et se place devant elle " dis donc Valérie tu marche toujours ainsi toi? " "déjà je ne m'appelle pas Valérie " " une raison pour me dire ton beau prénom je dis qu'il est beau parce qu'il devrait te ressembler hein " l'unique réponse de sa part est de baisser sa tête tout en la secouant et de le contourner pour continuer sa route. Mais il n'a pas abandonné, il la poursuit presque. Elle s'est pas arrêtée, elle a continuer tout droit devant elle; il l'a fait perdre son temps avec toutes ses conneries qu'il racontait, ou le fait qu'il se soit placer devant elle plusieurs fois, il est même aller à l'arrêter par le bras. Heureusement qu'il a fini par comprendre que là elle n'a pas de temps à l'accorder.
Nonnnn nonnnn nonnnn pas maintenant pitié se crie-t-elle en son fort intérieur. La pluie l'a déjà rattraper. Elle est allé trop loin pour faire une marche en arrière et chercher où s'abriter et elle est trop loin de la guérite pour monter directement à bord d'un taxi. Que faire? Elle ne fait qu'avancer et la pluie ne fait que s'intensifier. Qu'elle cour ou pas, elle sera complètement mouillée. Si on fait quelque chose, qu'on le fasse bien. À quoi bon se fatiguer l'organisme pour finir complètement trempé. Elle décide de pas en faire une scène et se résoud à marcher dans la pluie sans vraiment trop se hâter. Tranquillement, la tête baisser, elle avance en suçant sa mandarine qui, se révèle être efficace pour lutter contre le rhum. Elle oublie pas de profiter des délices de la pluie, l'eau froide qui ruisselle sur sa peau et cette sensation qu'elle lui fait ressentir pas un sensation de froid bien qu'elle soit froide mais un sensation de libération, de tranquillité. Elle s'étonne elle même à être heureuse sous cette eau