Jour 4 : Mercredi

16 2 1
                                    

Je n'ai pas dormi de la nuit. Je suis dans la salle de bain depuis plus de 2 h. Je suis nue. Je pense mes plaie récente, qui comprend la brûlure de la plaque chauffante. Pourquoi je ne l'ai pas fait avant ? L'habitude. Quand je le fais je ne dois pas me faire prendre. J'ai toujours eu interdiction de penser mes plaies. Je devais les laisser cicatriser seuls. Pour me soigner je devais donc attendre d'être totalement seules à la maison ce qui prenait parfois quelques jours. Au départ les délais était insurmontable. Et puis comme pour tous c'est devenue une routine. Cela ne prend normalement pas plus d'une trentaine de minute mais aujourd'hui je fais quelque chose que je m'étais juré de ne jamais faire. Je compte. Une à une, de la plus petite à celle de mon opération. Le nombre final est bien plus grand que ce que je n'avais imaginez.

J'ai redécouvert des cicatrice de brûlure dans mon dos ou sur mes cheville. Je l'ai vois tous les jours pourtant mais elle sont là depuis tellement de temps que je n'y fais plus attentions. Je sors de la salle de bain après m'être "habillée" si on peut appeler ça comme ça. En faite j'ai juste pris un grand T-shirt et des sous-vêtement à ma taille. C'est un homme qui habite ici au quotidien et c'est un vrai Don Juan. Comment je le sais ? Les seules vêtements féminin qu'il a sont des sous-vêtement très très échancré.

Je me dirige donc vers la cuisine et est le déplaisir de trouver Stones réveiller ! La journée ne pouvais pas moins bien commencé. Je ne lui adresse pas un regard et prépare mon petit déjeuné. Je sens son regard sur moi. Ou plutôt sur mon corps. Je l'ignore encore et part à la recherche du pot de Nutella. J'ai pas envie de cuisiner ce matin. Je sais qu'il y en a ici c'est ce que Stones mange quand il ne me vole pas mon petit déj. Après plusieurs minute de recherche et plusieurs placard fouillez je trouve enfin le saint Graal. Bon j'avoue que c'est un tout petit peu exagéré, mais vraiment pas beaucoup ! Non c'est vrai je meure de faim. Je me jette donc avec appétit sur le tartine tout juste sortis du grille pains que j'avais préalablement préparé toujours sous le regard de Stones. On dirait qu'il n'a que ça à faire me regardé. Il faut vraiment que je sorte d'ici je pourrais pas tenir très longtemps. Je finie de manger débarrasse. Et fait la vaisselle de tous ce que je n'ai pas fait c'est dernier jour. A vrais dire mis à part pleurer sur mon sort et me disputer avec Stones j'ai pas vraiment fait quelque chose de ma vie ses dernier temps.

Je finis la vaisselle et cherche une feuille et un stylo. Quand je suis au plus mal j'écris mais c'est pas franchement brillant. ON s'en fiche un peu en faite l'important c'est pas ce que j'écris ou le sujet. L'important c'est l'acte en lui même. Je fouille donc le studio à la recherche de ce qui pourrait m'aider à éviter de tuer Stones avant la fin de cette semaine. Stones me suis du regard mais il reste sur le canapé. Il dit soudain : 

-Pourquoi tu ne parle pas ? Normalement tu m'aurais déjà insulté au moins dix foi et tu m'aurais frapper ou gifler. 

-Je ne parle pas parce qu'on ne prépare jamais un meurtre à voix haute du con.

Il se tait et me regarde avec une lueurs d'amusement. Je trouve enfin ce que je cherche. je les sors du tiroir où il était caché et vais sur l'ilôt de la cuisine. 

- Skye, je suis désolé de mon comportement d'hier. Je n'aurait pas dû réagir comme ça. Je suis vraiment dés...

- Des excuses, des excuses et encore des excuses. Toujours des excuse. Retiens bien ce qui va suivre, tes excuse ne changeront pas la vie merdique que j'ai pu avoirs tu auras beau t'excuser le passé est et resteras le passée. Non Modifiable et véridique. Il y a deux chose que l'être humain ne peut modifié même si elle sont étroitement liée. Le passé et le cours du temps. Donc tu auras beau t'excuser et me dire combien tu regrette cela ne changeras pas le nombre de cicatrice que j'ai et ça ne le changeras jamais. 

- Tu l'est à compté tes cicatrice au moins !

-Oui bouffon je l'ai fait ce matin !

-Tu ment ! Combien y en a t il alors ?!

Je marque le nombre à trois chiffre sur un bout de papier et le lui donnes en lui disant.

- T'a le nombre t'es content ! Souvient toi tu est le responsable directe ou indirecte d'au moins la moitié d'entre elle.

Je continue ce que j'étais entrain de faire, pendant qu'il fixe le bout de papier. La Skye d'il y a moins de 6 h se seraient enfuis en courant dans la chambre. Mais j'en ai marre de fuir, la Skye peureuse est repartie. Il ne reste plus que moi. Je suis peut être brisé en mille morceaux psychologiquement comme physiquement je n'ai plus peur. Ni de mon frère ni de Stones et encore moins de la mort. J'écris toute la journée ne me préoccupant en aucun cas de Stones. Quand le soleil descend sous l'horizon, je décide de me préparer un repas. Stones me rejoint et pique dans mon plats. Je ne cries pas je ne lui fait ni remarque ni critique ni insulte. Il me regardent d'un air interrogateurs avant de concentré sur son assiette. Une fois mon repas fini je reprend les feuille que j'ai gribouillé tout au long de l'après midi. Et je continue d'écrire, j'écris jusqu'à en avoir mal à la main et ne plus pouvoir tenir le stylo. J'écris tout ce qui me passe par la tête. Ma colère ma hargne, mes déception, ma tristesse, mes remord mes regret et malgré tout mes joies.

J'ai peut être été un peu dure avec Stones mais je ne vois pas pourquoi j'aurais dû prendre des gants. Comme je l'ai déjà dit on est pas dans une histoire ou la cruche tombe dans les bras du mec qui la harcèles. Enfin merde quoi ! Pourquoi je me jetterais dans ses bras cela n'as aucun sens vraiment ! La seule chose qu'il est faite pour moi c'est me réconforter hier soir. C'est tout ce qu'il a fait en 18 ans. Il m'as expliqué ces raison. Pourquoi il m'as fait ça. Je sais qu'il n'as pa eu une vie toute rose lui non plus. Il pense que personne ne peut comprendre ce qu'il ressent mais je comprend mieux que quiconque ce que sait d'avoir cette relation amours haines avec ces parents. Enfin dans le cas de Stones seulement son père. Quand je relèves la tête de ma feuille il est plus de minuit. Stones a pris la chambre je vais donc chercher un oreiller et une couette. Le problème c'est que toute les mienne sont dans la chambre et que Stones à amener les siennes avec lui. Conclusion toute les oreillers et les couette de cette maison son dans la chambre. Je me dirige donc vers la chambre et je vois Stones enrouler dans toute les couette s alors que je m'approche pour prendre un oreiller il me tient fermement le bras si bien que je sais qu'il ne dort pas.

- Skye tu peux dormir ici tu sais.

- Non je préfères pas vu comment cela s'est finie la dernière fois.

- Mais je te laisse pas le choix tu dors ici.

Il tire sur mon bras ce qui me fait basculer sur le lit. il me couvre et me plaque contre son torse. Me tenant fermement.
- Comme ça je suis sûr que que tu ne t'échapperas pas.

J'essaie de m'échapper mais impossible je capitule donc et me laisse porter dans le pays des songe oubliant même la présence de Jackson. 

Seven DayOù les histoires vivent. Découvrez maintenant