A tous les garçons que j'ai aimé : Tome 7 : William : la dernière chance

Chapitre 13 : La veille du départ

Les vacances d'étés étaient commencé, et chacun allait donc partir. Même si entre William et moi s'était compliqué en ce moment, j'étais toujours très heureuse avec lui.

Ce jour là, nous avons décidé de passé l'après-midi ensemble car il partait le lendemain et nous n'allions pas nous voir pendant un mois car quand il rentrera, moi je sera déjà partis.

Nous sommes donc aller nous poser dans un parc. Il était très grand et magnifique. Nous étions entouré d'arbre gigantesque qui devaient avoir plus de 100 ans. Leurs troncs étaient encré dans le sol d'une telle façon que je ne pense pas qu'il soit possible de les enlevés.

Nous avons donc commencé par faire un tour du parc avant de nous poser sous un arbre. Nous nous sommes pris dans les bras comme si nous n'allions jamais nous revoir et malgré tout, j'aimais cette sensation.

Entre nous c'était pas juste fusionnel, c'était bien plus que ça. Nous avions une telle alchimie que personne ne peut comprendre. Nous n'avions pas besoin de parler pour savoir que nous nous aimions et que ces quelques semaines sans se voir n'allaient rien changer à notre relation.

Nous sommes restés assis durant plusieurs heures sans vraiment trop parlé. Puis il a entamé une discussion :

« Tu redoutes le fait de ne pas se voir aussi longtemps ?

-Pas du tout, je sais ce que je ressens pour toi, puis on s'appellera et quand je rentrerais, la séparation aura fait que nous serons plus proche qu'avant, tu ne crois pas ?

-Si, tu as peut-être raison, en tout cas, tu vas me manquer.

-Toi aussi tu vas me manquer »

Nous avons ensuite décidé de repartir pour aller au plan d'eau en bas de chez moi. Nous nous sommes posés dans l'herbe et avons profité de nos derniers moments ensemble. Nous avons ensuite été rejoins par des jeunes que je connaissais et nous avons donc discuté un peu avec eux.

Il était temps pour William de repartir. Nous avons donc marcher jusqu'à sa voiture. Là, je les serré si fort que je crois que j'aurai pu le tuer. Je ne voulais tellement pas être séparé de lui. Je savais que en rentrant j'allais le retrouver mais je ne savais pas comment j'allais tenir sans lui.

Il est alors monté dans sa voiture, a démarré et s'est éloigné lentement. Je n'avais qu'une seule envie, c'était qu'il fasse demi-tours mais c'était impossible.