Le glorieux coq se dresse à travers les fumées,
Subissant la caresse ardente de ce vent,
Haleine d'un dragon au souffle incandescent,
Nuage vermillon aux lumières dorées.Hélas son courage ne semble pas suffire !
Son règne sans partage au-dessus de Paris
Se voit se terminer dans des cris infinis,
Alors que l'air léger accueille son soupire.Formidable flèche qui transperça mon cœur
Et la forêt sèche de toute ta hauteur,
Dans ta chute, tu sauvas cette belle couronne.Merci Vierge Marie d'avoir ainsi veillé,
Et je vous en supplie, rempart immaculé :
Priez dans mes combats Ô puissante madone.Joyeuse fête de l'Immaculée Conception !
PS : saurez vous trouver la particularité de ce sonnet ?
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Et j'entendis le murmure des Muses
PoesíaRecueil de poésies sans thème précis : - Des sublimes contraintes de la poésie : Introduction de ce recueil et des règles de poésie classique que je m'astreins à respecter ; - Les géants des landes : sonnet sur un microcosme breton ; - Forêt de flam...