Chapitre 27: Tenter de se comprendre

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« Suis-je en train de sourire ? » demanda Severus, en le faisant disparaître. « Ce doit être une réaction nerveuse à mon passage de savon à venir. »

Il ajusta son regard pour avoir l'air de la regarder, mais il restait concentré sur le trésor intact caché entre ses cuisses ouvertes.

Hermione renifla.

« Le savon n'y suffira pas » lâcha-t-elle en agitant un peu sa baguette.

Severus décida qu'il allait devoir se débarrasser de ça aussi vite que possible.

« Vous avez été absolument atroce. D'abord, vous êtes venu dans mon labo et vous êtes quasiment mis à poil… Vous avez envahi mon espace personnel, et plusieurs fois… Vous m'avez dit toutes sortes de choses incorrectes, vous m'avez espionnée et aujourd'hui, vous m'avez jetée dans le couloir… » énuméra-t-elle.

« Je pense avoir envahi plus que votre espace personnel, Hermione » souligna-t-il en quittant des yeux son joli petit œillet. « Comment dormez-vous, ces temps-ci ?

-Et voilà autre chose… Vous m'envoyez des rêves? » demanda-t-elle avec un regard noir. « Vous êtes tout le temps dedans. C'est dérangeant.

-J'imagine que vouloir être sautée pour sa première fois par un homme aussi sombre que moi est dérangeant »répliqua Severus, le regard étincelant.

« Je n'ai jamais dit que je voulais être… Être touchée par vous » siffla Hermione.

Snape arqua un sourcil.

« Ce n'est pas ce que disait votre performance sur le rocher, sorcière » lui ronronna-t-il.

Hermione rougit violemment.

« Vous n'aviez pas le droit de me regarder faire ça… Vous auriez dû… Dû partir quand vous avez vu que je faisais quelque chose de privé » lui siffla la jeune femme.

« J'aurais pu si vous n'aviez pas gémit mon nom en pleine action » mentit Severus.

Merde, il ne l'aurait pas laissée, même attaché à un troupeau de Pégases.

« Eh bien, vous êtes une bête » lâcha-t-elle.

Severus l'observa, pensif, pensant à ce qu'il était lorsqu'il baisait.

« Là-dessus, je ne peux pas objecter, Hermione » répondit-il d'une voix de basse.

Eh bien, il était un trou du cul, il craignait, et maintenant, il était une bête.

« Si je suis si atroce, Hermione… Pourquoi ne pas m'avoir dit de vous laisser en paix ? » demanda le Professeur à la jeune femme, ses yeux retombant sur sa petite entrée étroite.

« Quoi ? » prononça-t-elle, abasourdie.

« Je vous ai demandé pourquoi ne pas m'avoir ordonné de cesser mes actions envers vous » répéta le pâle sorcier. « Si mes avances sont si indésirables, Pourquoi me laisser un tel accès ?

-Je… Je ne voulais pas être impolie »répondit-elle minablement. « Je ne suis pas comme vous.

-Vous pensez que dire à un homme qui tente de vous retirer les amygdales avec sa langue d'arrêter est grossier ? » reprit Severus. « Ou qu'il est impoli de dire stop lorsqu'il vous piège contre des murs, portes et autres comptoirs de son corps ? Ou mal placé de lui dire de retirer ses mains de vos seins ? »

Maintenant, Hermione se sentait confuse, et regarda le sorcier sans savoir quoi lui répondre.

Severus reprit, moqueur.

La MétamorphoseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant