Le retour des dragons (sans suite)

Chapitre 11

Daenerys volait depuis des jours quand elle aperçut enfin la terre ferme. Après avoir réfléchis, elle avait décidé de se rendre à Winterfell à cheval car Drogon n'était pas très discret.
Plus elle avançait plus elle regrettait ce moyen de transport peut habituer de monter à cheval avec une robe aussi lourdes et rembourrer cela la gênait quelques jours après avoir atterris à Westeros la Reine s'arrêta dans un auberge là où elle avait rendez-vous avec un ami de Tyrion.
Lorsqu'elle rentra elle alla directement au fond de l'habitation, dès qu'elle arriva un homme s'approcha d'elle et lui chuchota :

"Vous êtes l'amie de Tyrion ? "

"Oui, vous êtes Ser Bronn de Néra je suppose"

"C'est moi, bien parlons peu parlons bien"

Les jours qui suivirent furent destiné à la vengeance de l'Imbrûlée tous était prévus : ils pourraient rentrer dans le château à la prochaine Lune car c'est ce jour là que Sansa Stark épouserait Méryl Glover dont elle était éprise depuis de nombreuses années tout les seigneurs seraient là les Baratheon, les Tarly, les Tully...

Le jour de la vengeance de Daenerys était arrivé comme prévus la Reine entra en tant que servante ses cheveux bruns détachés, la veille elle avait dû teindre sa chevelure si reconnaissable à son plus grand mécontentement.
Une fois entrée, elle alla ouvrir la porte de service à Bronn pour qu'il puisse entrer à son tour.

La soirée battait son plein Sansa était assise à table avec son époux à ses côtés se trouvaient Arya et Gendry Baratheon qui ne cessaient de jeter des regards à leur fils Arthur appelé ainsi en l'honneur de Ser Arthur Dayne l'un des meilleur chevalier que Westeros est connu. Son oncle Edmure avait aussi fait le déplacement à son grand malheureux. La surprise de la journée fut quand Jon arriva, elle l'avait invité mais elle ne pensait pas qu'il viendrait. Ainsi comme tout les Stark étant morts et Bran n'ayant pas fait le déplacement se fut le Targaryen qui la conduisit à son fiancé et qui ouvrit le bal avec elle malgré les regards lourds d'Arya car selon la plus jeune des Stark elle ne pouvait pas danser avec Jon tout en envoyant des soldats tué la fille de ce dernier. La Reine du Nord lui avait conclut la conversation en disant que de toute façon Jon ne le saurait jamais. Le repas commença à être servi, de la tarte aux oignons comme celle faites par Veille Nan pensa Sansa en la dégustant, elle fut ravie de voir que son mari appréciait autant qu'elle se plat. Les Stark en mangeant cette tarte repensèrent à leur enfance, à leurs parents, à Robb, à Rickon et à tous ceux qu'ils avaient aimé mais qui étaient morts si bien qu'ils ne virent pas le marié se mettre à tousser de plus en plus fort. Sansa sortit la première de leurs souvenirs et ce qu'elle vit la fit paniqué en effet Méryl était rouge et ne cessait de tousser, elle se leva pour l'aider quand elle vit du sang couler du nez et de ses oreilles de son époux. Elle avait déjà vu cette scène lors des noces Violettes, Méryl avait été empoisonné elle en était sûr comme Joffrey l'avait été. Elle vit des mestres apporter des potions mais elle savait que cela était inutile, il allait mourir comme tout ceux qu'elle avait aimé. Elle l'entendit murmurer : "Sansa, je brûle, mon corps je ne le sens plus."

"Sansa que doit-on faire" demanda Arya

"On ne peux rien faire Arya , il va mourir de la même façon que Joffrey est mort : en souffrant, le poison qu'il a dans le corps va lui brûler les organes puis au bout de quelques minutes lorsqu'il agonisera son cœur va s'arrêter de battre et il va mourir, il va souffrir terriblement mais on ne peux rien faire, il est condamné ." lui répondit la rousse

Tout le monde se mit à hurler quand un cri retentit dehors, on se précipita pour voir et c'est là qu'ils virent avec effrois un dragon une femme dessus : Daenerys pensa immédiatement la Reine du Nord. Jon Snow resta figer, non il devait rêver, elle ne pouvait pas être là, il l'avait tué, il l'avait pleuré, il avait prié les Dieux de le tuer lui aussi, pour pouvoir la retrouver, puis il les avaient supplié de la ramener promettant de faire tout ce qu'ils voudraient, c'était tout bonnement impossible.