La destinée de Nawel

Attente et impatience

Le lendemain matin tout était d'un calme déroutant, sauf de ma tête, qui comme le soir et une grande partie de la nuit disputait des théories plus loufoque les unes que les autres. Après le petit repas que l'on mangea à midi, je pris deux décisions. La première consistait à aller à se rendez vous plus que perturbant. Et la deuxième était de mettre à profit le temps qu'il me restait pour me préparer.

Après m'avoir fait une liste d'objets à emmener obligatoirement, je préparai un sac à dos trouvé dans une pièce ou s'empilait carton sur carton depuis, je pense, des décennies. Ma plus grande trouvaille de la journée fut un arc en bois gravé de symbole de style elfique en bois accompagné d'un carquois cerclé d'un cuir en mauvais état. En cachette je pris quelques biscuits fourrés au chocolat et un sandwich tomates mozzarella, au cas ou l'escapade nocturne durerait plus longtemps.

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Entre toutes les questions que je me posait un revenait de plus en plus. Comment se faisait-il que les "Faêls" connaissent l'existence de mon Grand-père. A ce que ma mère a bien voulu dévoiler sur ce mystérieux papi, il n'était ni un aventurier qui aurait découvert de nouveau peuple ou encore moins un magiciens capable de faire des tours de magie de cette ampleur. Il était juste hommes d'affaire dans un grande banque. Puis quand il fut à la retraite et que ma grand-mère mourut d'une maladie assez rare, il s'abonna à plusieurs activité comme le jardinage ou la peinture, ce qui pour moi ne semblait en aucun point suspect.

Le soir arriva à une vitesse tellement impressionnante que je me surprit a sursauter au bruit de la grande horloge du salon principal. Ma mère ayant presque rassembler tout les objets intéressant de la maison nous annonça a moi et ma sœur que nous passerions la dernière nuit ici et nous cèderons ensuite la place au déménageur de plus en plus persuader de trouver des trésors dans cette maison si ancienne. Mais a mon avis ils ont devoir chercher longtemps avant de trouver la moindre pépite d'or car ma sœur avait littéralement passer la journée a fureter dans chaque pièce espérant dans chaque recoins de trouver un bijoux ou une pierre précieuse. Et a chaque fois qu'elle avait le privilège que trouver ce qu'elle cherchait elle poussait un crie perçant.

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Ma mère et ma sœur enfin endormit je filai plus discrètement qu'une souris en dehors de la chambre. Malheureusement le vieux parquet en chêne grinça sous mon poids ce qui l'espace d'un instant stoppa ma respiration de peur de réveiller ma mère qui avait le sommeil léger. Enfin arriver aux télescopes je choisit le même de peur que rien ne se passe. Je glissai mon œil dans la loupe de l'instrument d'astronomie et...