Faêls

38 6 2
                                    

Voici le cinquième chapitre de mon histoire!!! 😀

Pour la deuxième fois, j'ouvre les yeux m'attendant à revenir dans la forêt lugubre. Mais ce fut le contraire qui m'attendais. Je me trouvais assise en compagnie de drôles de personnage. Dans une salle éclairée seulement par une cheminée ancienne au moulure impressionnante. les personnes que je vit était d'une beauté a faire rougir une statue. Leurs cheveux lissent et blanc descendaient en cascade au-dessous des hanches des femmes. Les hommes eux, avaient plutôt les cheveux ébènes, sauf un qui arborait une crinière dorée et des yeux d'une pâleur inquiétante. Celui-ci se tenait un peu à l'écart des autres, pensif.

Mais ce que  je trouvais le plus incroyable, c'était leurs habits. Les femmes portaient de longues robes tissés de feuilles dorées. Tandis que les hommes avaient tous tissés des pantalons eux aussi tissés de feuilles mais plus sombres. Et sans exception, ils portaient un arc, qui de mon point de vue était de très grande qualité. J'étais toujours en train de m'extasier devant l'un d'eux. Quand un jeune au pommette saillante, remarque ma présence il dit aussi fort que sa voix fluette pouvait le lui permettre :

"Alors c'est vrai les 3 déesses ne sont pas trompés elle est bien là! Regardez mes amis sur le siège qui lui était destinée!

-C'est impossible, je ne te crois pas... Murmura un autre qui avait sans doute l'habitude des blagues d'un gout douteux de son acolyte. 

-Vite allez cherchez la reine Erylia!"

Quelques minutes plus tard, tous les petits guerriers se regroupèrent autour de moi comme si j'étais la phénomène du jour, et maintenant parlaient dans une langue qui mettait inconnue.

Soudain, une femme d'une beauté a coupé le souffle, et les mots sont faible pour définir sa beauté, se présenta devant moi comme reine, et dit de sa voix mélodieuse :

"Alors ça y es tu es enfin là, tu vas pouvoir accomplir ton destin maintenant.

-Quoi? De quoi parler vous? Balbutiai-je. 

-Oui ton Grand-père t'en as surement parler n'est ce pas?

-Je n'est pas vraiment connue mon Grand-père car il est mort il y a quelques moi. Mais ou suis-je et comment connaissez vous mon Grand-père? Expliquai-je en un seul souffle.

Plusieurs émotions passèrent sur le visage de la reine, mais une resta et c'était une tristesse sans fond. Des nombreux murmures s'élevèrent suite à ma révélation. 

-Alors je comprends mieux ton désarroi. Pour répondre à une de tes questions, nous sommes des Faêls un peuple de Gwendalavir dans un autre monde que le tien. Mais tout cela serait très compliqué à t'expliquer ici et maintenant. Reviens demain soir au même endroit, nous serons là ne t'inquiète pas."

Cette dernière phrase ne fit qu'amplifié mes craintes déjà nombreuses. Un mal de tête épouvantable me fit crier. 

"Tout vas bien se passer, reste calme..."

Le reste de sa phrase se perdit dans la l'atroce douleur que me faisait mon crane. Je me sentit partir, comme si je tombai en avant.

Et pour la deuxième fois, je revint dans la pièce en face du télescope braqué vers le ciel sans nuage. Un rêve... ça c'est forcément passer dans ma tête est ce que je deviens folle? Je m'obligeai à reprendre ma respiration. je décide que demain soir j'irai quitte a passer pour une folle je veux en savoir plus sur tout cela. Une chose de certain est que je ne peut ni en parler a ma sœur et encore moins a ma mère, de tout façon elles ne me croiraient jamais. Restait une chose a penser qu'allège faire en attendant. c'est à se moment précis que je me rappelle de la mission donnée par ma mère a moi et ma sœur : trouver une pièce assez grande pour accueillir 3 lits. 

Je me remettais en quête comme si de rien n'était, quand ma sœur fidèle à elle même hurla :

"J'ai trouvé! Maman,Nawel, venez!

-Pas la peine de crier on est pas loin. Répondit ma mère exaspérer par son comportement toujours trop excessif.

On se rejoint quelques minutes plus tard, dans la pièce tant rechercher. Ma sœur et moi étions allées chercher 3 sommiers pour pouvoir dormir. Youna prit évidemment le plus confortable, et j'eu un vieux matelas miteux me servant de lit, que j'installa près de la fenêtre. Notre mère nous donna un sandwich, préparer la veille, chacune, que ma sœur dévora avec avidité en ne laissant aucune miette. Nous nous couchâmes le ventre plein et sans un bruit. Dehors la pluie faisait rage. Les gouttes qui s'abattaient contre le toit, donnaient un rythme cadencé à mes réflexions toutes tournées vers ce mystérieux monde. Au bout de plusieurs heures de lutte contre le sommeil, il parvint à m'emmener avec lui.




La destinée de NawelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant