Illusions

Surprise.

J'entre dans l'établissement, mais pour une des premières fois depuis le début de l'année, on me remarque. Je n'aime pas ça et je ne sais pas pourquoi. Lorsque nous sommes entrés dans la salle de cours, je demande à Stefen pourquoi tous le monde me regardaient.

Stefen : Je te l'avais dit, tu ne contrôles pas encore ton pouvoir. Si tu t'étais retournée, tu aurais pu voir que le ciel se dégageait à vu d'œil à notre passage.

Moi : Surprenant ! Une autre question, existe-t-il d'autres personnes dans le bahut qui ont des pouvoir ?

Stefen : Oui sûrement, mais on ne m'a pas chargé de les protéger. Donc je ne m'en occupe pas. Tu es la plus puissante de l'université donc ne t'inquiète pas.

Moi : Donc peut-être, je fréquente des gens qui ont des dons comme moi. Je serai ravi d'en rencontrer.

Professeur : Mme Chart. Je ne vous dérange pas. Veuillez quitter la salle si mon cours ne vous intéresse pas.

Moi : Excusez-moi, monsieur !

Professeur : Sortez !

Tout d'un coup, une migraine intense me vint, j'avais l'impression que quelqu'un essayait de me faire du mal. Cela me faisait extrêmement mal. Aucune personne n'avait remarqué que j'étais mal, et aucun élève n'avait entendu ce que le professeur avait dit, car il avait parler par la pensée.

Le professeur continue de me fixer droit dans le yeux. Oui, ça vient de lui. Une grande colère commence à se former. Les lumières explosèrent de nouveaux comme la dernière fois. Je me concentre sur ses copies.

D'un coup elles prirent feu. Stefen se mit aussi à se concentrer sur ces feuilles et les éteignit. Lui aussi, avait dû remarquer. Puis, il se concentra de nouveau, mais sur le prof. Et je pense, enfin je crois qu'il lui infligeait le même sort qu'il m'avait lancé.

On se dépêche de sortir.

Moi : Tu as vu ? Il a des pouvoirs.

Stefen : Oui et tu t'es laissée emporter. Tu n'aurai jamais du faire ça. Les altrixs savent maintenant que tu as utilisée tes pouvoirs.
Moi : Les altrixs ?

Stefen : Oui, ceux qui veulent récupérer tes pouvoirs. Je les appelle comme ça.

Moi : Bon allons-y.

Stefen : Oui, mais tu n'es plus en sûreté ici, je vais devoir le faire parvenir au ministère.

Moi : Le ministère?

Stefen : Ce sont ceux qui assure l'autorité dans notre monde.

*éclipse du trajet*

Arrivés devant chez moi, une lettre est déposé sur le seuil de la porte. Je l'ouvre.