Le trouble total. Un rêve ?

16 0 0
                                    

Je me réveillai avec un mal de tête horrible mais je ne me souviens pas du moins plus de ce qui m'est arriver. Tout me semble irréel et des doutes se forme dans mon esprit. Es un rêve ? Un accident ? Une personne a-t-elle été payé pour me faire du mal ? Trop de questions se bouscule dans ma tête. D'un coup, une voix résonna dans la pièce :

"-bien, je constate que tu es réveillé ! Mon pauvre tu es tout blanc ! J'envoie quelqu'un te redonné de la force"

On pouvait clairement sentir que cette personne souriait à l'idée de "m'envoyer quelqu'un " non pas que j'étais contre mais son rire par la suite m'en a tout de suite fait regretter.

La porte s'ouvrit lentement et un homme de corpulence costaud s'approcha. Une blouse blanche classique, visage masqué. Jusque-là, je ne me fais pas de soucis.

Oups... J'ai peut-être pensé trop vite. Il s'approcha de moi avec une seringue remplie de liquide jaunâtre ou verdâtre j'en ai aucune idée et me la planta dans la cuisse où il y avait une énorme cicatrice. Cela me fit une décharge de douleur, j'ai voulu crier mais l'homme envoya un cousin délabré en plein dans mon visage comme pour me dire de ne pas crier a plein poumon. Chose que j'ai faite ne voulant pas plus avoir mal.

~Une heure après~

L'homme partit, le liquide de couleur faisant effet je vis d'un coup tout trouble et des bouffés de chaleur s'emparèrent de mon corps. Ma cuisse me brûlait et je me mis soudain à pleurer. La porte s'ouvrit en trombe et une dizaine de personnes (voir moins je ne sais pas j'ai été drogué) arrivèrent en courant. Travaillant dans un hôpital je sais très bien que ce n'est pas bon signe. Je me demande si mon travail s'inquiète ... Et mes amis ? Es qu'ils ont remarqué mon absence ? Les personnes l'administrèrent tout un tas de produit et bizarrement je ne ressentais plus aucun effet du produit bizarre mais ces gens se regardèrent avec un regard inquiet. Vous savez ce regard qui annonce une très mauvaise nouvelle. Bah ouais celui-ci. Je me décidai à parler :

"- je suis médecin vous savez ? Ce regard ne présume rien de bo-

- nous savons Saïko. Répondit l'un des hommes. Vous avez fait une réaction allergique à notre traitement."

Je n'ai pas eu le temps de répondre que tous étaient parti, j'étais à présent sous calmant et attaché à ce qu'on pourrait appeler un lit. 

L'enlèvementOù les histoires vivent. Découvrez maintenant