Une révélation ?

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Ne pouvant pas bouger de ce qu'on pourrait appeler un lit, je décidai donc de m'endormir. Je ne sais pas combien de temps j'ai dormi mais une fois réveillé j'ai découvert que j'étais détaché. Bizarre d'habitude j'ai le sommeil vraiment léger... Un bandage se trouvait sur ma cuisse, avait-il fait quelque chose pendant que je dormais ? Je regarde autour de moi, bon personne je n'ai pas changé de pièce. Je suppose que je peux regarder ce qu'il y a sous le bandage, je le referais et ni vu ni connu je suis médecin après tout. Je commence à vouloir toucher le bandage quand la fameuse voix retentit dans la pièce, celle-ci est modifié :

« - Je serais toi je ne ferais pas cela ... »

Il va me faire péter un plomb, je serre les dents. Je pose la main quand même avec une douceur extrême, je suppose que c'est douloureux. Je commence à vouloir défaire le bandage, comme je m'y attendais un supposé médecin rentre dans la pièce. Celui-ci pose une main sur le lit et me regarde.

« - Saïko arrêtez tout de suite ou je vous administre un calmant »

Tiens je suis détaché et la porte derrière est ouverte, intéressant... je continue à trifouiller mon bandage. Le médecin sort sa seringue, je lui prends des mains et lui administre. Je saute du lit non pas sans une douleur de ma très chère cuisse et sort de la pièce. Mon dieu je n'en crois pas mes yeux, c'est le... Trou noir je suis par terre sur le carrelage froid, je crois qu'on m'a encore assommé. Mais j'ai quand même pu voir où nous nous trouvions et je n'en suis pas fière du tout. Nous étions dans le sous sole d'un hôpital. Je ne saurai pas lequel ni où je n'ai pas eu le temps de voir, la pièce était donc gardée. Je me réveil à nouveau dans la fameuse pièce attaché au lit.

« - Tiens donc tu es réveillé Saïko ! La voix se met à rire. Tout ceci n'était qu'un test et ce test a échouer. On sentit une pointe de déception dans la voix. Tu es pitoyable Saïko tout comme ta vie. »

Je tourne la tête en direction du mur signe que je ne voulais plus entendre le moindre son de sa part.
La voix s'arrête. Mystérieusement dans ma tête tout ne va plus aussi bien qu'avant je commence à dérailler dur. Je crie, me débat, essaie de me tapper la tête contre tout ce qui est dur. La voix retentit à nouveau

"- S-Saïko ! Arrêtez tout de suite !"

La voix panique et cela me fait rire et penché la tête sur le côté et souris tel un psychopathe prêt a assassiné tout ce qui rentrera dans cette pièce.
La voix reprend de plus belle:
"- Merci Saïko. Dit-il
- On dirait que vous tenez à moi mine de rien. Dis-je en me débattant."
Je recommença ma crise de plus belle et de plus en plus violente. Cette fois ci je crois que j'ai vraiment péter un plomb. Haha cette intonation de voix est tellement drôle. Je rit comme un fou. Une alarme résonne de partout et je comprend que c'est pour moi. Le patient 0 déraille.
Des personnes débarques dans ma cellule. Oui car à ce moment là cette pièce est une cellule. Donc ces personnes essaient de me maintenir, essayer est un grand mot puisque je me débat visiblement trop fortement pour eux puis j'essaie de les mordre.

C'est alors qu'une personne cagoulé et vêtu de noir apparaît dans l'encadrement de la porte. Secoue la tête de droite à gauche, la personne désapprouve mon attitude. Il donne le feu vert pour quelque chose dont je ne m'attendais pas. Un homme sort un taser et la c'est la décharge la plus violente que je reçois. Une crise de spasme m'envahit, ils sont tous encore la voir comment je vais réagir. Vais-je tenir ? Vais-je m'en sortir ? Qui est cette homme ? Une femme peut être ? Leur chef ? Où suis je ?

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⏰ Dernière mise à jour : May 13, 2020 ⏰

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