Kimetsu no Yaiba [OC Story]

Chapitre 11

Au petit matin, Yoriichi s'entraînait déjà durement. Le temps passe vraiment vite. Yoriichi est devenu si grand. Je n'aurais jamais pensé que Muzan n'est toujours pas venue nous voir. Il aurait dû me retrouver facilement vue que j'ai maintenant son horrible sang dans mes veines.

Yoriichi avait 17 ans ? 10 se sont écouler ? Il a tellement grandi. Je grandis en même temps que lui et malgré le faites que nous n'ayons qu'un an de décalage, il me dépassait en puissance, rapidité, endurance... J'ai beaucoup de chose à apprendre. Nous sommes toujours à une époque où les femmes ne sont pas encore indépendantes. Mais je l'espère bien un jour que cela pourrait devenir vrais.

Je regardais Yoriichi s'entrainer de toutes ses forces quand je sentis cette présence.

Oui,

C'est bien elle.

L'odeur, non plutôt la puanteur de se démon.

Après 10 ans de paix, de sérénité et d'entraînement le revoila.

"- Je n'aurais jamais penser que tu te cachais dans l'antre de ton grand-père. Il n'était vraiment pas doué tu sais."

C'est bien ca voix. Mais je ne le vois nul part. Ou est-il ?

"- Tu a réussi a couper se fil qui était censée nous reliée. Incroyable ! Tu vas le regretter. Car je vais ne commencer d'abord pas ton "petit frère",

Yoriichi."

Une rage intense émergea d'un coup dans tout mon corps. Je dégainerais mon sabre qui coupa le bas du tatami auquel j'étais assise. Il ne toucheras pas à un cheveux de ce garçon.

"- Tu à bien mûris dis-donc ! Montre-moi donc à qu'elle point ta force à décupler." dit-il d'un air provocateur.

En position, je repris mon souffle. Il était perché sur un arbre, il fonçais droit vers Yoriichi. Je me mis à travers de son chemin à grande vitesse puis coupa ça mains qu'il régénéra en un instant.

Je savais que je n'allais pas pouvoir gagner se combat. Mais tant que Yoriichi seras la, à rester en vie. Je m'en assurerais.

Muzan me mit de multitude de coup sans s'arrêter et d'une vitesse incroyable que chaque coup donnait un énorme choque a mes deux mains qui tenait mon sabre. Je ne sentais déjà presque plus mes mains mais je ne devais pas tout de suite affaiblir. Je donnai ensuite un violent coup de pied à Muzan qu'il esquiva encore une fois avec facilité.

Il avait insulté mon grand-père que j'admirais tant et veut tuer mon petit frère. Il a tué ma famille, ma ville.

Jamais, je ne le laisserais détruire chaque bonheur de ce monde.

Une pourriture sans nom.

Je ne peux pas le laisser en vie.

Pourtant, pourquoi je n'y arriverais jamais ?

Je me défends sans cesse.

Si j'attaque-je ne pourrais pas avoir le temps d'esquiver son attaque.

Pourquoi...