Kimetsu no Yaiba [OC Story]

Chapitre 12

C'est à ce moment la. Que je me rappelais de mon enfance. Qui a vraiment été courte.

Je ne faisait que vivre.
Il y a bien une raison pour que je rencontre Satan.. La vie n'est pas non plus hasardeuse.. Elle peux être aussi défini pour certaine personne..

En y repensant, j'espère beaucoup que Yoriichi s'en est sortit..
Je lui avait offert une petite boîte à musique.

J'avais une petite pause durant mes heures de travaille et je regardais le marché au puce de fond en comble. Il se pourrait que cette boîte à musique m'avait taper à l'oeil.

C'était en vendeur d'objet assez spécial. Je le connaissait, je l'avais déjà aidé un jour lorsque sa bibliothèque était complètement en désordre. Des feuilles, des livres, des loupes, des tasses de cafés.. Tout traînait par terre!

Je rangeais tranquillement et j'avais justement vue cette petite boîte à musique. Sur le coup, je n'avais pas tout de suite compris ce que c'était. Je le reposait ou il était sous le regard du viel homme. Je me retourna vers lui avec une petite sueur froide sur mon front, par peur d'avoir fait quelque chose de mal ou de le faire tomber car je n'avais que 8 ans..

Il avait ricaner en me voyant. Je lui souris gentiment avant de continuer mon travail.

Il me fit revenir dans la réalité en me demandant si je la voulais. J'avais tout de suite accepté puis me rappellent que je n'aurais sûrement pas assez et que je devais économiser. Je refusa ensuite.

Il se moqua encore une fois de moi. Je le regardait d'un air interrogateur et me donna gratuitement cette petite boîte. J'avais les larmes au yeux, il était si gentil.

Je le remercia plus de dix fois avant de re continuer ma journée de travail ensuite avant de rentrer au temple pour rejoindre Yoriichi.

Je lui offrit ensuite alors cette boîte à musique lors de ses 7 ans pour le jour de ça naissance.
Ça lui à fais vraiment plaisir, Il me fit un câlin puis partit jouer avec cette boîte.

Désormais, je ne saurais qu'est ce qu'il en à fait. Mais si il la garder.. Ça me fait vraiment plaisir...

"- Madame?... Madame!!
- HEIN, quoi?"

C'était un jeune garçon au cheveux blond, et les bout de ses cheveux était d'un rouge flambloyant. Ses yeux avait la même couleur. Il ressemblait à un homme de feu avec ses couleurs.

"-Vous.. Vous étiez couchez la et... j'ai eu peur que.. vous n'allez pas bien.. il s'écarta un peu plus loin lorsqu'il vue mes cornes derrière mon chapeau de paille.

- ? Oh ne t'inquiète pas! je ne vais pas te faire de mal! Je... Quelle ère sommes nous... petit ?

- Ah! Je m'appelle Sengoku! Rengoku Sengoku! Nous sommes à l'ère Taisho.. Il tremblait légèrement les sourcils froncé d'inquiétude. Je lui fit un gentil sourire avant de me relever me rendans compte que mes vêtements ne faisaient qu'un avec de la terre.

Mes derniers souvenir on été mon combat a l'ère ... Sengoku..

- Aha, je viens de l'ère Sengoku, comme ton petit nom. Tu sais combien de temps c'est passé ?

Un silence s'installa alors que Rengoku me regardait, le visage a moitié pétrifié de peur et de surprise.

- Ma..Madame... L'ère Sengoku date d'il y a environ 445 années...

Je le regarda alors en retour les yeux grands ouvert me rendant compte que..

- La terre sur moi doit être vraiment vielle. M'as-tu détéré ? Comme les fossiles de dinosaures.

Je ricana légèrement pour blaguer alors qu'il tourna la tête de droite à gauche.

- Du jour au lendemain je vous ai vue ici. Je balaye souvent cette allée. Et au vue de votre sabre je pensais que vous étiez un pourfendeur de démon épuiser mais...

Il dévisageais mes bandelettes autour de mes mains qui avaient toujours la forme des griffes de démons que j'avais et mes deux cornes.

Si j'avais autant "d'accessoires" c'était l'unique raison pour laquelle je me cachais du soleil et des humains. Mais Rengoku a rapidement remarquer, il a surement du l'examiner avant de me réveiller.

- Ecoute, je ne compte pas te faire de mal d'accord ? Par le passé j'ai eu des problèmes mais seulement avec des démons.

Je me suis souvenue ensuite de Yorrichi. 445 ans, il n'a pas pu survivre aussi longtemps..

Mes yeux se remplissaient légèrement. Mon coeur se fendue en deux au souvenir de mes derniers au revoir à Yoriichi.

Tout ce que j'aurais pu espéré de bon pour lui était sa survie. J'esperais de tout mon coeur qu'il a put fuir de Muzan. Mais quelque chose me tourmentait toujours.

Si mes yeux sont toujours ouvert et vois parfaitement la vie, cela signifie que Muzan est encore en moi et dans ce monde. Cet immonde créature a son sang mélanger au mien.

J'essaya alors de me relever et, j'avais l'impression d'être un bébé qui essayait tant bien que mal de marcher.

- Madame... Voulez vous de l'aide?

Le petit me tendais la main avant que je reglisse une nouvelle fois sur mon postérieur.

- Oui, ca ne me ferait pas de mal. Et je suis un démon, j'ai beau vécu plus de 445 ans mais me dire "Madame" me donne vraiment l'impression d'âvoir la soixantaine en parlant d'années humains. Je me nomme... Ta..Tamashi Na-o...Naori ! Tamashi Naori! Ca fait du mal au cerveau 445 années de coma.

Rengoku gloussa avant de me prendre la mains et m'aider à me relever.

- Tamashi Naori, je me tâcherais de men souvenir. Je pense que vous n'avez nulle part ou aller n'est ce pas ?

C'est alors que je me souvenue que si je m'étais endormie, je serais logiquement dans mon jardin. Enfin, le jardin de mon grand-père. Alors pourquoi l'air ne m'est d'aucune familiarité ?

Je scrutais les alentours mais il semblerait qu'il y avait une résidence qui s'était construit ici.

- Le temple ou j'étais n'aurais pas pu tenir aussi longtemps. Il était ici mais il a été remplacer de ce que je peux observer.

Le jeune me regardais alors avec un air hésitant.

- Vous pourrez peut être dormir quelque nuit a la maison.. Mais seulement si mon grand-frère n'est pas la, sinon j'aurais et vous aurez aussi des gros ennuis !

C'est alors que je lui souris, les lèvres qui remontait mes joues, puis l'entoura avec mes bras avant de le serrer fort dans mes bras.

- Merci beaucoup Rengoku ! Je te dois une fière chandelle, tu es vraiment adorable.

C'est alors que je reperdis mon équilibre et que nous sommes tomber en arrière.