chapitre II

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*chapitre II*


J'ouvris mes yeux dans un lit qui n'eut pas le temps de se rafraîchir avec la nuit, je n'arrivai pas à dormir. J'étais trop préoccupé par mon arrivé dans un lieu que je connaissais mais qui ne m'était pas familier, il était tout simplement mon lieu de travail, un lieu de travail tellement vaste et où j'avais pris tellement de vie qu'il m'étais impossible de me souvenir quand es-que ça à commencé.

Je ne savais rien de ce monde à part que tout les jours,quasiment toutes les minutes, une personne mourrait parce que je l'avait prévu, ce qui en faisait naître une autre.

Les deux femmes que j'avais rencontré était très gentilles et très accueillante, ce qui m'avais étonné, il me semblait que qu'ici on évitait d'inviter le gens qu'on ne connaît pas chez-soit, elles doivent sûrement être inconsciente pour faire une chose pareil mais bon, ce ne sont pas mes affaire.

Et puis, si elles savait qui j'étais, je ne pense pas qu'elle m'accueillerai aussi chaleureusement, enfin si seulement elles me croirais, je ne pense pas que leur dire que je suis la mort soit la meilleure idée de toute façon.

Il fallait que je me trouve une vie, je peut pas être ici sur Terre pendant six ans faisant comme si j'avais perdu la mémoire pour que personne ne sache que je suis la mort, ça serait ridicule. Il faut que je me troue une véritable identité que les gens pourrait facilement croire. Quelque chose qui serait tellement gros qu'on serait obliger d'y croire.

Pour ce qui est de ma famille, je n'aurais cas dire que je n'en ai pas, de même pour mes amis, de toutes manière je ne pourrait pas en inventer.

Je réfléchissais beaucoup, j'assimilais tout ce que j'avais vécu et j'essayais de savoir ce qui pourrait bien m'arriver. Je sans que mon existence à pris un tout autre tournant, et que ce pacte signé sur un coup de tête aurait peut être du être un peu plus réfléchi.

C'est avec toutes ses pensé qui fuse dans mon esprit que je m'endormis, bercé par la bruit régulier de la respiration et de mes nombreux questionnement.

C'est la lumière éblouissante du soleil à travers les volets qui me réveillas suivi d'une délicieuse odeur chatouillant mes narines, une odeur qui m'emmena dans la cuisine du petit appartement des deux femmes.

-Enfin réveillé ! s'exclama Mina.

Je lui répondit d'un sourire gêné suivis d'un léger hochement de tête, pendant que elle, préparait quelque chose qui sentait divinement bon, mais que je saurais incapable de décrire.

Elle m'expliqua ensuite que c'est des pâtes au saumon et me proposa d'en prendre, et forcément vous l'aurez deviner j'ai accepter.

-Mina ! C'est déliiiiiicieux !

Elle rigola puis Célia à fini par nous rejoindre après le travail et nous avons finis de manger dans la bonne humeur.

La mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant