chapitre 4

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Arrivé à la fin du couloir,ils étaient près à tourner quand une voix se fis entendre dans leurs oreillettes.

.... : nous avons...

Hélène : nous avons quoi ?

.... : répl...nous...été...nous...dan...é

Hélène : Allô! Allô!

Harry : je penses qu'on doit tout annuler.

Hélène : non! On y est presque. On accélère juste la cadence.


Ils se dirigèrent vers le bureau,ils y sont également entré et on commencé la recherche des documents.
Cela les a pris quelques minutes avant de les retrouver. Pour être sûr de ne pas s'être trompé, elle s'est mise à feuilleter les pages. Arrivé à la dernière, les écris étaient à l'aide d'une main d'homme et écrit en majuscule

     "J'offres à ton agence les documents et eux t'offres en échange 😈.  Bye bye ma très chère Hélène, on se reverra en enfer ☺😈


    # A.G,ton très cher admirateur"


Hélène : c'est un piège! Sortons d'ici et vite!

Sans plus tarder, ils se lancèrent dans une course acharné vers la sortie. L'atmosphère était devenue soudainement trépassés, morbide, rien ne semblait être vivant car elle ressentait une forte présence de la peur et de la mort certaine. Pour une fois depuis sa carrière, on l'a battu à son propre jeux.
Elle eu soudainement peur pour la vie d'Harry, elle ne voulait pas perdre ce petit qu'elle a vu grandir, cet être si intelligent qu'elle a éduqué même si ce n'était que pour un certain temps, elle s'était attaché à lui. D'où le perdre était comme perdre un fils.

Hélène : arrête toi!

Harry : quoi?

Hélène : tiens ses documents, c'est moi qu'il cherche et non toi.

Harry : Et? Ça ne change rien à la mission, on va sortir ensemble de ce merdier chère petite maman.

Hélène : ☺ malgré l'ampleurde la situation, tu restes optimiste. Je n'ai pas raté ton éducation.

Harry : assez parlé maintenant. Nous sommes presque arrivé à la sortie. Préparons nous à agir

Hélène : tu as parfaitement raison. Allons-y!


Ils reprirent chemin et bien armée, près à se défendre devant toutes éventualités. Arrivé à destination, tout était comme à leurs entrée. Ce qui prouve bien qu'elle ne s'est pas trompé. Ce problème de brouillage est dû peut-être au réseau ou autre chose.

Hélène : nous sommes sur la bonne voie, il ne se doutes de rien

Harry : t'as peut être raison mais il se peut que c'est toujours un piège.

Hélène : je le connais mieux que personne, j'ai travaillé pour lui autre fois.  Donc ne t'inquiètes pas.

Harry : okay.  Mais ne jamais  chanter la victoire avant la fin de la guer...

.... : tu as parfaitement raison mon cher, on ne chante jamais la victoire avant la fin de la guerre

Hélène : merde...

.... : ah ah ah ah ah!,rit - il méchamment,comme on s'retrouve Hélène ou dirais - je encore mieux, 47. Tu pensais vraiment m'avoir malgré le mot que tu as lu. Je ne te pensais pas si idiote. Les vacances t'ont rouillé ou c'est votre amour impossible.

Destin imposé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant