Le chemin de la haine

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(Regarder pas les fautes)

Je te hais parce que j'étais heureuse au début, je te hais parce que ça n'a pas duré. Je te déteste de tout mon être parce que tu n'étais pas celui dont j'avais besoin. Tu étais un enfant dans un corps d'adulte, un être tellement idiot que je ne saurais le décrire. Je repense à toi dans mes hélants de colère. Notre relation était un échec avant même de commencer. Je le savais mais je me mentais à moi-même. Tu le savais, tu voulais juste une expérience. Tu n'étais pas ce que je voulais et je n'étais pas ce que tu voulais.

Tu aimais bien me rappeler mes défauts. Quand tu me disais tes penchants sexuelles en pleine face, je ne disais rien. Je ne dis jamais rien, même pas la fois où tu m'avoue vouloir baiser ma meilleure amie sur un coup de tête ou quand tu aurais fais une horreur impardonnable à ta sœur. Je garde ma haine au fond de mon être. Je ne suis plus avec toi et je me sens soulagée.
Je suis soulagée de ne plus t'avoir comme fardeau. Je suis enfin libéré d'un être qui m'utilisais plus que d'autre chose. NON, je ne suis pas un chauffeur ou un objet que tu peux baiser quand tu veux. Quand je dis non, c'est non. Tu respectais au moins cela, parfois tu faisais outre et je sortais les griffes pour te rappeler les règles de vie.
Tu penses que mes amis sont les tiens, mais tu te trompe tu ne fais plus partie de ma vie et je ne te veux pas dans la vie de mes amis. Je te veux loin, très loin. Je ne veux plus te revoir parce que tes habitudes de vie me dégoûte, même ton odeur avait un quelque chose de dégoûtant. Tu parlais, parlais sans retenu, tu avais un humour d'enfant et tu n'avais aucune culture générale. Tu profitais si aisément de la générosité des gens que cela me donnait la nausée. Tu ne me complimentais que rarement et me démontrait à peine ton affection. Je n'étais qu'un titre que tu pouvais montrer à tous. Je n'étais pas moi, je n'étais qu'un objet. Je ne suis personne pour toi.
Je suis un monstre de te décrire ainsi, mais diable, cela fait du bien. Je peux enfin sortir le méchant de mon âme, la rancune, la méchanceté gratuite que je cachais dans mon esprit derrière une immense porte fermée. Je peux enfin dire ce que je pense de notre stupide relation éphémère. Je regrette d'avoir perdu mon temps. Je n'ai jamais pleurer à la fin et je ne pleurais pas maintenant.

SORT DE MA TÊTE.

SORT DE MA VIE.

La fin des cheminsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant