Je croise son groupe dans la cours. Au début il ne me voit pas puis le gars avec qui il parlait me voit et lui fait signe d'aller me voir. Sûrement pour me faire chier. Alors il saute de la chaise sur laquelle il était assis et commence à allez dans ma direction en marchant assez vite. C'est à ce moment là que je me mis à marcher à l'opposé pour pouvoir lui échapper. J'entends ses pas rapides derrière moi.
Il arrive à me rattraper et m'emmène dans le placard à balais. En fermant la porte il se cogne la tête contre une étagère malgré le fait qu'il ne soit pas spécialement grand.- Aïe putainnnn...
- Ça va ? Montre?
Je lui prends la tête entre mes mains, il s'était cogné le frond, alors je me rapproche un peu plus pour mieux constater les dégâts et lui soulève quelques cheveux pour voir où il s'était fait mal. Au début il se laissait faire et puis il eu comme une sorte de déclique et me prit les poignets.
- C'est une manie chez toi de faire en sorte que les gens soient coincé...
Dis je exaspérée.- Tu vas me rouler une pelle comme la dernière fois ?
- Yhaa! T'as vraiment un truc dans ta tête qui marche pas très bien.
- Fait gaffe à ce que tu dis, moi aussi je fais des trucs dans le même genre que toi quand je suis en colère.
- Quelle genre?
Il me regarda droit dans les yeux et commença, en se libérant une main, à déboutonner ma chemise. Je ne sourcillais pas et le regardait en faisant en sorte qu'aucune expression ne passe par mes yeux. Au bout d'un moment je le vis en train de galérer sur un bouton.
- Bah dis donc t'es pas très doué pour un pervert. En fait t'as pas l'habitude de faire ça pas vrai?
- Fermes la.
Je me délivre une main violement pour l'aider à défaire mon bouton.
- Voilà c'est comme ça qu'on fait bolosse. J'ai pas envie que tu nique ma chemise.
Il abandonna ma deuxième main n'y prêtant plus attention et continua ce qu'il avait commencé.
Quand il eu fini il s'arrêta. C'est pas trop tôt.Merde
J'avais oublié que j'avais ça.
Je soupire.
Je reboutonnais ma chemise pendant qu'il me regardait faire, perturbé.- C'est quoi ça?
- Bon tu fais pas chier et tu le répète pas, on est plus au collège alors les ragots t'oublies ça très vite d'accord ? Tiens regarde pour me faire pardonner de pas t'avoir donné ce que tu voulais...
Je le pris par la cravate et l'embrassa. Putain pourquoi ce con me rappelle ça? Je sent une larme couler sur ma joue, et je pense qu'il l'a senti lui aussi. Il me prend par la taille et me serre contre lui, je place alors mes bras autour de son cou et mes mains dans ses cheveux. Nos deux langues se rejoignent. Entre temps il s'était appuyé sur l'étagère qui se trouvait derrière moi. Je ne sais pas combien de temps on passe comme ça, à juste s'embrasser et tout oublier. Et puis vient le moment où on a plus d'air, alors il faut se remettre à respirer. Nos bouches se décollent, on est tout les deux essoufflés, mais on reste très proche l'un de l'autre.
Il chuchotte :- Dis moi ce que c'est.
- Même pas en rêve. Fallait pas me déshabiller tant pis pour toi.
- Je veux vraiment savoir.
- Arrête ton cinéma tu sais ce que c'est.
- Qui t'as fait ça?
- J'ai aucune obligation de te répondre.
- Ils étaient combien ?
Je me tu.
- T'es casse couille là arrête de me poser des questions, c'était mieux quand tu m'embrassais.
Je commençais à amener ma bouche vers lui mais il ne bouge pas.
- Pas avant que tu m'es expliqué.
- Même si je fais ça?..
Je mis ma main sur son torse et commença à la descendre.
Mais il ne bouge pas.- Et ça ?
Je commençais à descendre ma main sur son slip et à faire des vas et viens en le caressant.
Je le vit qui commença a fixer ma bouche qui commençait à se transformer en rictus satisfait. Il ferma les yeux et se tient une nouvelle fois sur les étagères derrière moi.
Il me dit en titubant:- La prochai... ne fois c'est moi qqui te feraihhh subir çaa.
Il appuya son front sur mon front puis il me fixa avec peine jusqu'à ce que ses yeux se mettent en orbite après avoir finis. Quand il rouvrit les yeux, il me fixa et sans que je m'en soit méfié il m'embrassa. Pendant celui ci il se permis de me caresser le torse. Puis il se sépara de moi et s'en alla retourner dans les couloirs.
VOUS LISEZ
Nos PROBLÈMES
FanfictionJimin me harcèle, moi une pauvre petite fille sans défense, ouais moi aussi je me demande si il a vraiment que ça à foutre. Mais je m'en vais lui apprendre qui je suis à ce gars sorti de nulle part. Il va voir... PS : cette histoire n'est pas faite...