Vierge ??

7.4K 213 7
                                    

(Chambre d'Elena)
Une fois sorti de cette immense bâtisse, la voiture nous attendait déjà. Oui Alexandre m'attrapa violemment par le bras afin de me balancer dans le véhicule. A peine le moteur allumer que mon fiancé me cria :
- Je t'es juste demandé une chose et toi tu trouves le moyen de me désobéir. Croit tu que je suis un con ? Répond moi ! Penses-tu sincèrement que je suis un forcio (pédé) ? Écoute moi bien il mio gattino (mon chaton), tu as énormément de chance que je t'accorde ma protection, alors n'en abuse pas, sinon, je fais subir à toute ta famille bien pire que se que je viens de faire à mon cousin. Je restai bouche-bée face à sa menace. Alexandre venait de tirer dans les jambes de Alexio sans aucun scrupule alors qu'ils font parti de la même famille. Je n'ose pas imaginer ce qu'il serait capable de faire à la mienne. Il se tourna vers la vitre et le reste du chemin se passa dans le silence le plus glacial de tout les temps. Au bout de quelques temps, la voiture s'arrêta. Enfin arriver. Je venais à peine de franchir le seuil de la porte, que je me précipitai vers la chambre que j'avais quitter quelques heures au part avant. Lorsque je rentrai dans cette dernière, il me fallut quelques secondes pour reprendre mes esprits.
- Une seule connerie Elena et tu peux dire au revoir à ta famille, me murmurais-je pour moi même. J'enleva ma robe et la laissa au sol avant de me diriger vers la salle de bain. Il me fallai une douche. Je sentais encore les doigts de Alexio sur mon corps et cela me répugnais. Je savais pertinemment que je ne pouvais en vouloir qu'à moi même. C'est moi qui avait accepté cette danse stupide. Et le pire dans l'histoire, c'est que je l'avais juste fait pour qu'Alexandre comprenne qu'il ne fallait pas choisir à ma place. Foutu fierté ! L'eau chaude coula sur ma peau et me fit le plus grand bien.Une serviette autour de mon corps, je me dirigea vers le dressing. J'ouvrai le tiroir où se trouvait la lingerie et pris la première culotte du tas. J'enlève ma serviette, mon corps maintenant nue pour faciliter les mouvements, j'allais prendre un pyjama lorsque je sentis un regard sur moi. Je pivotais légèrement et vis mon fiancé qui me fixer sans la moindre gêne. Je me précipita de prendre la serviette que j'avais laissé au sol avant de crier :
- PUTAIN ! TU PEUX PAS PRÉVENIR AVANT D'ENTRER ?!
- Baisse d'un ton tout de suite. J'ai toquer à la porte mais tu ne m'a pas répondu et en plus je tiens à te signaler que je fais ce que je veux chez moi.
- Si tu à quelle que chose à me dire, tu peux aller attendre dans la chambre le temps que je m'habille s'te plaît ?
- Non.
Ok....Il fit un pas vers moi. Je reculai d'un pas. Il fit un autre pas vers moi. Je reculai encore d'un pas mais fut piéger par le meuble derrière moi. Je resserais ma poigne sur ma serviette encore humide.
- Tu ne sais pas qui je suis, n'est ce pas il mio gattino (mon chaton) ?, me demande Alexandre d'une voix de velours.
- Je devrais ?
Son visage se trouvait juste à quelques millimètre du mien. Tout comme les siens, mes yeux faisait des va et viens entre sa bouche et ses iris. Je ne savais pas sur qu'elle pied dancer. Je perdi tout contrôle quand je senti ses lèvres sur les miennes. Putain qu'elle excise sentation !Il ne m'embrassait pas, mais me bouffais carrément la bouche.Un gémissement sorti de ma gorge lorsqu'il mordit ma lèvre inférieur. Je ne contrôlais plus rien. D'un geste fluide, il enleva le tissu qui protégeait ma nuditée.Sa va trop loin, me souffla ma conscience. Malheureusement, mes instincts primaires prirent le dessus sur la raison. Avec ses deux mains, il attrapa mes fesses afin de me soulever. Même si je n'étais concentrer que sur la bouche d'Alexandre, je sentis qu'on me déplaçai. Et je compris rapidement que nous nous trouvions à nouveau dans la chambre lorsque je sentis mon fessier taper sur les draps. Mes jambes enroulées autour de sa hanche, je pouvais sentir son excitations naître. Plus le baiser devenait ardent plus son entre jambe devenait dur.
- Je suis prête, murmurais-je. À ses mots, il s'arrêta net. Merde j'aurai du me taire. Je ne voulais pas arrêter moi ! Avec ma force de mouche, j'essayais temps biens que mal de le rapprocher de moi, mais rien ni fait.
- Stop Elena !
- Mais quoi bon sang ?
- Es-tu vierge ?
Demanda-t-il. Un blanc s'installa entre nous. J'étais toujours nue devant lui (avec ma cullote mais sa compte pas) et cette réalité me genais. Alors, je quittais son emprise et alla me réfugier sous les couvertures.
- Elena je t'es poser une putain de questions ! Es-tu vierge ?
- Oui.
Face à cette réponse, son étonnement était visible sur son visage.
- Très bien.
Seulement deux mots.
Seulement deux mots.
Seulement deux mots.
Seulement deux mots.
Et il quitta la pièce me laissant toute seule.

Possessif Révolté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant