Juste une danse

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(Alexio le cousin d'Alexandre en média)

- Retire ta main immédiatement cousin, sifflais-je la mâchoire serrée.
- Alexandre je suis content de te voir, railla ce dernier. Je suis désolé, j'en ai oublier mes bonnes manières. Puis-je t'emprunter quella puttana (ta pute).
Je ne pus en placer une, qu'Elena lui répondit d'une voix sec :
- Se pensi di trovare una puttana, chiedi a tua madre!(si tu cherche une pute, va voir ta mère !) A ce moment là, j'étais partagé entre rire au éclats ou être respectueux envers ma tante et la défendre. En tout cas, mon père lui était déjà en train d'exploser de rire.
- Elle a du caractère et parle italien avec un accent. Elle n'est pas d'ici n'est ce pas ?, me questionna mon cousin sans faire attention à la principal intéresser.
- Nan, en effet.
- Au faite Alexandre puis-je savoir pourquoi vous ne parlez pas italien ? Enfin je veux dire que je ne comprend pas pourquoi vous parlez anglais alors que nous sommes en Italie, demanda Chaton soudainement curieuse.
- C'est simple. La moitié des personnes présentes ici ne parle pas un mot Italien. Donc par respect, nous nous devons de parler la langue internationale qu'est l'anglais, répondis-je.
- Hummm, lança-t-elle tout simplement.
- Bon c'est pas tout mademoiselle, mais voulez vous m'accorder cette danse, demanda mon cousin. Rien qu'une danse, le supplia-t-elle.
- Non, m'interposèrent d'un ton ferme tout en me mettant devant elle.
Je voyais bien que mon comportement énervait chaton. Elle ne devait pas aimer qu'on choisisse à sa place. Alors elle me tira légèrement en arrière afin de voir suffisamment mon cousin, avant de lui demander:
- Qu'elle est votre nom ?
- Alexio .
Je l'a vis hésiter un instant comme pour se demander si elle devait parler ou se taire. Finalement elle pencha pour la première option et lança:
-Alors chère Alexio , on la fait cette danse.
- Sì, con piacere (oui, avec plaisir).
Et sans perdre une seconde, ils partirent au milieu de la piste pour commencer leur danse. Je ne devais pas m'énerver ! Pourtant, seul des pensées de meurtre hentait mon esprit. Ma main tremblante se positionna d'elle même sur mon neuf millimètre cacher dans le bas de mon dos. Je réussi à me calmer en me convaincant que Chaton ne devait rien connaître de notre danse qu'est le tango. Malheureusement, dès que mon cousin posa la main sur sa côte droite et une autre dans sa main, je compris qu'elle connaissait cette danse. Enfaite sa devait sûrement être une pro. La façon dont son petit corps bougeait sensuellement sur le tempo était incroyable. Comment faisait-t-elle pour réussir à me faire perdre tout mes moyens ? Ils était tous entrain de maté mon chaton, je la désirais, je peux mettre ma main à couper que la moitié des hommes présents dans cette salle là désirais. Désormais elle était mienne et s'en était ainsi. Elle est et restera ma femme. Pas celle d'un autre. La jambe droite de Alexio se positionnais naturellement entre les siennes. Grâce à son bassin coler au hanche de mon cousin, elle trouva son équilibre. Tout était calculé. Sa robe fluide bougeait à chacun de ses gestes. Son petit cul rebondit faisait des va et viens ou alors des droite à gauche. La piste c'était vider pour laisser place aux deux danceurs. Toute l'assistance avait les yeux river sur eux. Le peu de femme qui se trouvait ici devait la jalouser au contraire des hommes qui la convoitait. Mon cousin me regardais un instant avec une lueur de vinceur dans ses yeux. Il doit sûrement croire qu'il venait de gagner le cœur de ma belle. La musique se termina et tout le monde applaudis. Elena se décolla de Giuseppe toute tremblante. Oh oui, tu peux avoir peur ma belle !Elle chercha quelqu'un du regard. Dès qu'elle me vit, elle marcha dans ma direction. Sauf que mon cousin n'était pas du même avis et la retenais toujours par le bras. Elena se reconcentra sur moi m'envoyant des signaux de détresse comme pour que je lui vienne en aide. Bien sûr, je ne réfléchis pas et m'avanca vers elle et le stupide Alexio qui la tenait. Enfin plus pour longtemps...
(Pdv Elena)
Un pas après l'autre, Adriane s'approcha de moi et de son cousin. Lors de la dance, ce dernier m'avait trop collé, trop touché, trop tout ! Putain il m'avait soûlé ! J'eu le temps de le dévisager. Cette homme au cheveux blonc et au yeux marrons ne ressemblait en rien à son cousin. Il était beau, faut pas se mentir, mais il n'était pas aussi beau que mon"fiancé". En faite, de toute la salle personne ne lui venait en égale. Parlant du loup, je le sentis m'arracher à Alexio. Sa poigne en disait long... Il devait sûrement êtres fou de rage et même déçu. Alexio allait se plaindre quand la voix d'Alexandre résonna dans tout le salon:
- Chère famille, collège, connaissance et inconnu, écouter moi bien et n'oubliez pas de faire passer le message. Cette jeune femme, ici présente, est désormais ma fiancée. La seule personne qui ose lui manqué de respect ou l'approcher contre mon accord aura à faire à moi. Me suis-je bien fait comprendre ?Nan mais pour qui il se prenait se type. De 1, je ne suis pas sa femme et de 2 il pense sincèrement que les gens vont l'écouter. Mais je failli tomber sur le cul en voyant tout le monde baisser la tête, y compris son père. Toujours en regardant le sol, les gens lancèrent un "oui monsieur" en cœur.
OK....
Mais qui était-t-il a la fin ? Et pourquoi je ne le connaissais pas ? Et pour conclure son beau discourt, il sorti une arme de son pantalon et visa son cousin. Alexio transpirait à grosse goûte et avala difficilement sa salive. Il n'allait comme même pas lui tirer dessus sans raison. Et pour mon plus grand soulagement il baissa son fling. Enfin sa c'était avant qu'il ne le relève et tire dans les deux jambes de son cousin. L'homme agonisant au sol criait à gorge déployer. Du sang coulait et toucha le bout de ma robe avant que je ne la soulève un peu. Je savais que si je me baissais pour aider Alexio, Alexandre me tuerais. Alors comme la lâche que je suis, je restait interdite devant cette horreur.
- Tu as de la chance d'être de la famille cousin, crois moi. Et sur ses derniers mots, il m'attrapa par le bras et nous sortîmes de la pièce.

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