Monica en multi média Vive le vent vive le vent vive le vent d'hiver qui s'en va sifflant souriant dans les grands sapins vert..... Aujourd'hui a lieu le bal du nouvel an à l'Université et je tiens à ce qu'elle soit inoubliable. _ Tu t'habilles depuis trois heures de temps maintenant Monica _ Quoi si peu? _Tu trouves ça peu il est neuf heure du soir Mona dépêche toi. _Attends quoi? _ oui la soirée a commencé depuis une heure de tempsdit elle en s'énervant. _Ah c'est bon Annaëlle calme toi. _ Fini ou pas on s'en va. Dit elle en me tirant par le main. A L'UNIVERSITÉ.... _Enfin te voilà bébé _Quoi je te manquais déjà? Il se stop net et me regarde de la tête au pieds. _ Oh my god. Tu es tout simplement canon chérie.
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_ Voilà pourquoi j'ai mis tant de temps. _Ça a valu la peine d'attendre. _On y va? _volontiers. C'est ma dernière soirée à l'Université alors je tiens à en profiter. Il est onze heures du soir....
_Annaëlle je vais au toilettes _ OK (Et pour tout vous dire c'est à ce moment que bascula ma vie). Après avoir fini de me faire une petite beauté je me dirige vers la sortie des toilettes mais constate que la poignée est cassé.Merde que vais je faire? J'ai laisser mon téléphone. Il n'y a pas trente six solution : commencer à hurler _A l'aide !! Je suis enfermée !!!!! Mais bien évidemment personne ne passait et la musique était trop forte pour qu'on m'entende. Dix minutes plus tard quelqu'un ouvre enfin la porte. Mais ne sachant pas que la poignée étais cassée il la referme aussitôt. _ Non non non ne la referme pas.... Mickaël ? _Quoi? dit il d'un air surprit. _Tu viens de nous enfermer tous les deux. _.... _ La poignée, elle est cassé. _Attends quoi? _Et oui on est coincé ici jusqu'à ce que quelqu'un ne vienne nous ouvrir. _Je pense qu'on va devoir passé la soirée ici. Je trouve vraiment cette situation bizarre. D'habitude il y'a un nombre incalculable de couple qui aiment s'envoyer en l'air dans les toilettes mais là... Rien. Bon revenons à nos moutons. Mickaël s'assit sur le rebord du lavabo en me fixant droit dans les yeux. Doux Jésus ce type est vraiment magnifique. Après un moment, une musique captiva son attention. Elle est calme romantique quoi. _Puis je? dit en me tendant la main. Comment puis je dire non à ce sourire ? _Pourquoi pas? Il m'attire doucement contre lui, fait passer ses deux mains autour de ma taille et moi je mes les miennes autour de son cou. Sur ce moment la seule chose que je ne comprend pas c'est pourquoi mon coeur bat si fort? Il retira une main et utilisa l'autre pour me faire tourner sur moi même et... Quand je reviens face à lui nous sommes nez à nez nous regardant droit dans les yeux. Mon coeur accélère le rythme. Il penche et... j'ai l'impression de connaitre la suite. Ses lèvres se rapprochent des miennes et... En fait je connais la suite. J'aurais pu l'en empêcher mais je ne sais pas pourquoi je n'y arrive pas. Nous nous embrassons. D'abord c'était un baiser des plus normal. Puis sa langue demanda l'accès à la mienne ce que je lui accorde facilement. Nos langues se lança dans une danse endiablée. Je m'agrippe à ses cheveux comme si ma vie en dépendait. Ses mains se baladent dans mon dos. Et il m'embrassait comme s'il en rêvait depuis toujours. Oh oh oh! Mon coeur bat encore plus vite et le pire c'est qu'on dirait que je mouille ce qui n'est pas dans mes habitudes. Même au lit avec Léon je ne mouille pas si vite. Nous nous embrassons encore quand minuit sonna. On est le premier janvier. C'est la sirène qui nous sépara. Nous restons collé front contre front complètement essoufflé quand je me souviens soudain.... _ On aurait pas dû faire ça. _Pourquoi? Tu n'as pas aimé? _Si... Non... Enfin si. Ben voilà tu reussis à me faire dire n'importe quoi. Il me fit sortir son plus beau sourire et j'en perds littéralement la tête. _Écoute j'ai un petit ami et même s'il n'est pas le meilleur du monde je dois le respecter. Ses yeux se remplissent de tristesse ce qui me fend le coeur. Nous restons encore dans les bras l'un de l'autre jusqu'à ce que le poète s'ouvre. Nous nous séparons aussitôt comme si de rien était. _ Quoi il te faut trente minutes pour te recoiffer et te remaquiller ? J'ouvre grands mes yeux et ma meilleure amie comprend qu'il faut la fermé. _ On peut y aller. _Allons y Je me retourne et lance un sourire plein de tristesse à Mickaël. Quand je raconte tout à Annaëlle et elle commence avec ses croyances bizarres. _ Stop stop stop. Tu viens de dire que vous vous êtes embrasser à minuit 00? _ Oui pourquoi ? _ Tu sais ce que ça veux dire? _Non. _ Que tu le veuilles ou pas vous aller finir vos jours ensemble. C'est le miracle du nouvel an. _ Tu peux cesser de te moquer je te parle de choses sérieuses. _Ce que je te dis est sérieux et bien prouver. _Je peux continuer ? _ Je te suis. _ Tu sais le plus étrange c'est la manière dont mon coeur battait. _ Hé poulette tu ne serais pas tomber amoureuse du professeur beau gosse? _ Tu dis n'importe quoi. _ Non pas n'importe quoi. Toutes les filles sont amoureuses de lui. _ Alors bébé tu étais passé où ? _M'en parle pas j'étais enfermé dans les toilettes. _ Comment !? _La poignée était cassée _OK on peut y aller ? _Non vas y. Je vais rentrer plus tard avec Annaëlle mon amour. _ Bon d'accord. Je t'aime. Me dit il en m'embrassant sur la joue. Je suis incapable de lui répondre que moi aussi après se qui vient de se passer j'en doute. J'ai passé le reste de la soirée avec Tony et Annaëlle à boire et à discuter. A la fin je suis resté aider le comité d'organisation dont je fais partir. _Quoi tu n'es pas encore rentré ? _ Je fais parti du comité donc je dois rester aider. Mais t'inquiète on a fini. Je rentre. _OK et tu as t'as voiture ? _ Non je rentre en taxi. _ Non laisse moi te raccompagner. _ Pourquoi pas ? Il me déposa à la maison et me fit comprendre qu'il vivait à quelques maisons plus loin dans la rue. Bizarre qu'on ne se soit jamais croiser.
