Road trip entre amis et ... lui [H.S.] TOME 1

Souvenirs autour du feu

Dans deux jours, nous allons commencer à dire au revoir à nos amis. Alors que je suis couchée dans les bras d'Harry, je repense à notre roadtrip qui a été, une vraie montagne russe d'émotions. Je repense au 18 dernières années aussi. Nous avons vraiment vécu des bons moments tous ensemble, et maintenant alors que nous nous apprêtons tous à nous séparer pour notre vie adulte, j'ai peur et je suis nostalgique de toutes ces années passées ensemble.

Un de mes meilleurs souvenirs avec la bande entière, oui... oui, même avec Harry et ce même dans le temps que nous nous haïssions. C'est un souvenir d'enfance. Nous avions campé dans la cour arrière de la maison de Louis. Il y avait la tente des filles et celle des garçons. Nous étions assez jeunes je dirais peut-être 10 ou 11 ans. Nous avions passé la journée à jouer à cache-cache, ou alors la tag ou bien encore au loup-garou. Nous nous étions aussi baignés dans la piscine de Louis, ses parents nous avais fait un barbecue pour souper : des hamburgers et des hot-dogs, le soir nous avions fait un feu de camp avec des guimauves est des saucisses, à se raconter des histoires d'horreurs et des drôles... enfin moi je les trouvais drôles, mais les autres non. C'est Harry qui racontait les blagues et bien qu'à ce moment-là de ma vie je le détestais, je riais toujours à ses « knock knock jokes », parce qu'avouons-le elles sont tellement plates qu'elles en sont finalement hilarantes. Bien entendus, après que j'ai ris à ses blagues, il avait arrêté d'en conter et nous nous étions disputés, pour aucunes raisons précises, mais ça m'avait fait mal, pour une fois que je le considérais presque comme un ami, il m'avait rejeté.

La dernière fois que nous avions fait une journée camping et soirée feu de camp, c'était l'été de nos 16 ans et nous l'avions fait comme la première fois avec les mêmes jeux et le barbecue et aussi les deux tentes et les blagues d'Harry et les histoires d'horreurs des garçons qui fessait grave flipper Niall et Ellie. Cette journée-là avait été différente. Zayn et Shannon avait commencer à montrer beaucoup plus d'intérêt l'un envers l'autre et Harry et moi, avions été chercher du bois pour le feu dans la forêt derrière la maison de Louis. Nous avions dû nous cacher dans la petite cabane que nos pères nous avais construit quand nous étions petit, car un orage avait éclaté sur la ville. Nous avions passé près de deux heures ensemble dans une cabane, à attendre que le beau soleil revienne. Au début, nous avions les deux des envies de meurtre sur l'autre occupant de la cabane, mais nous avions finis par parler de tous et de rien, nous nous étions vraiment rapprochés pendant ses quelques heures confinées dans un petit espace, mais dès que le beau temps était revenu Harry et moi avions aussi retrouvés notre haine l'un envers l'autre.

Ce soir-là, avant d'aller me coucher. J'avais vu Harry sortir de la tente des gars. Étant en dehors de la tente, il m'avait vu aussi.

P: Harry? Tu ne vas pas dormir ?

H: Je... je ne m'endors pas. Je pensais retourner à la cabane.

P: Ah... c'est drôle!

H: Pourquoi ? M'avait-il dit en croissant ses bras.

P: Parce que je m'en allais justement là-bas, mais bon vas-y je vais aller me coucher.

H: Ou tu pourrais venir avec moi !

Mes yeux s'étaient écarquillés.

P: Quoi ? Euh... je ...

H: Aller viens! On fait une trêve ? Comme ce matin !

P: Euh...

H: Allez P!

P: Okay.

Il avait souris et avais commencé à marcher vers la cabane. Je l'avais suivi. Il m'avait aidé à monter dans la cabane et nous nous étions couchés sur le sol de celle-ci à regarder le plafond, à parler de tout et de rien. J'avais commencé à avoir froid et il m'avait prêté son chandail à capuche. Malgré, ma haine pour lui j'avais reniflé le chandail une fois l'avoir enfilé et j'avais souris le chandail portais l'odeur d'Harry. Je m'étais sentis stupide à ce moment-là. Harry, m'avais pris dans ses bras et nous avions finis par nous endormir dans les bras l'un de l'autre, mais son cellulaire avait sonné et ça nous avais réveillés.