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Ma journée ne pouvait pas plus mal commencer. Mon réveil n'avait pas sonné à l'heure, ce qui fit que ce fut jin qui me réveilla et je préfèrais de loin mon bon vieux réveil qu'un jin qui crie dans mes oreilles. Je m'étais donc levé sans grande conviction, j'avais froid et mal à la tête ainsi qu'au ventre, mais je ne devais pas me plaindre ou je recevrai de nouveau les réprimandes de mon cher frère.
En bas, je pris mon petit déjeuner, mais quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis que mes céréales étaient périmées. Oui d'accord ça faisait longtemps que je n'en avais pas mangé, mais là j'en voulais, mais il m'était impossible donc de les avaler. Je me résumais donc à manger un simple bol de lait au chocolat, rip moi.
Le brossage de dents s'était bien passé, heureusement. Mon uniforme bien enfilé ne m'avait également pas posé de problème. Mais voilà que arrivé dans la salle de classe, je vis un pauvre gamin se faire victimiser par Yoongi le redoutable.
- Tu ne devrais pas t'en prendre au plus faible, Yoongi.
Je le regardai souffler et s'éloigner, mais le regardait toujours d'un air dur.
- Il m'a réveillé c'te pd.
- L'insulte pas. Je commençais vraiment à m'énerver.
- T'es pas drôle Jeongguk.
- Je ne le suis juste pas avec toi. Maintenant casse toi et laisse le tranquille.
Je le regardais se retourner en ricanant, puis m'avançais vers le jeune homme à terre lui tendant ma main droite afin de l'aider à se relever. Il la prit, se cramponnant ainsi à moi, et se hissa pour se mettre debout. Je le regardais, mes yeux l'analisaient sous toutes ces coutures. Son short légèrement relevé, sa chemise sortie de ce dernier, sa veste légèrement descendue de son épaule, et ses cheveux en pagaille. Voilà donc un jeune délinquant. Je me mis à rire à cette pensée.
Il me regarda dans l'incompréhension totale, et je fis un bref signe de la main indiquant que ce n'était pas important. Un haussement d'épaule, voilà ce que j'eu comme réponse, avant qu'il ne se rhabille correctement. Je l'aida à se recoiffer puis lui offrit un sourire avant de m'installer à ma table, le laissant seul debout au fond de la classe qui ne tardait pas à se remplir.
