2.a.

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Bribe d'histoire où Harry taquine Louis, le jeune frère de son meilleur ami

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Quelqu'un viens de sonner à la porte. Je sais très bien qui c'est. Je dévale les escaliers qui mènent à ma chambre après avoir enfilé un jean et un t-shirt Zelda. J'essaye de me recoiffer un peu, puis ouvre la porte avec un peu trop de vigueur.
- Bonsoir, me dit-il, habillé de sa chemise blanche, presque transparente, qui laisse juste voir le bout de ses tétons. Il porte aussi son magnifique pantalon droit qui lui fait un c-... un très très beau postérieur.
- Salut, lui réponds-je
« Salut » ? T'es sérieux ? Fais un effort Tomlinson !
- Tu as rempli ton gage à ce que je vois, murmure-t-il en me regardant de haut en bas, J'aime beaucoup.
Mon gage... porter un slim. Un putain de slim qui me moule là où il faut pas.
- Oui, je déteste me dégonfler. Je respecte mes devoirs moi
Il rigole en montrant ses petites dents trooooop migno-... ce sont des dents calme toi.
- On va jouer dans le hall de ton immeuble ou je peux rentrer ?
- Oh oui pardon, dis-je en le laissant entrer.
- Tu as mis un parfum d'ambiance ?

Harry c'est déjà assez gênant comment ça alors arrête de tout dire à voix haute. Tu pourrais pas garder tes émotions un peu ?

- Heu... oui c'est pour... eux... j'aime bien quoi.

Louis t'es nul.
Il rigole quand même et enlève ses boots avant de poser son pardessus sur le canapé.

- Alors tu as réfléchi à un jeu ?

Oui j'y ai réfléchi. Beaucoup trop même. Je dois te faire jouer mais comment ?

- Oui... j'ai trouvé quelque chose

- Oh ça m'intéresse, dit-il en s'asseyant sur le canapé, tapotant la place à côté de lui. Dis m'en plus Louis.

La façon dont il prononce mon nom à la française... Je vais déjà perdre à mon propre jeu si c'est ça.
Je m'assois à côté de lui, sentant instinctivement son odeur de Musc et de fleurs.

- Mon jeu c'est... tu rougis, tu as perdu.

Il me regarde longuement, avec son sourire en coin débile qui me fait frissonner.

- Je ne pensais pas que j'aurais eu à faire à un jeu aussi intéressant...

Merci Styles. Va te faire voir.

- Ton jeu, tu commences, me dit-il sans détacher son regard du mien.

Je reste bloqué en face de lui. Je n'ai jamais commencé quoi que ce soit... non je ne peux pas faire ça. J'ai la trouille. Et s'il n'aime pas ?

- Tu préfères que je commence ? Le demande-t-il calmement et avec une douceur sans précédent.

Je hoche doucement la tête. Il me connaît déjà beaucoup trop.

- Très bien. Je commence. Louis ? Dit-il en me regardant sérieusement. T'es-tu déjà touché en pensant à moi ?

Mon corps se glace, et je tente de ne pas rougir. Ne pas rougir. Ne pas repenser à ce moment. Non. Ne perd pas.

- Oui.

Il sourit grandement et attends mon action. Je le regarde aussi droit dans les yeux, ne me laissant pas faire.
Aller Louis. Impressionne le. Tu veux le faire craquer. Mets le paquet dès le début.
Je m'approche doucement de lui et glisse ma main sur sa chemise, avant de venir au niveau de ses boutons détachés, et de glisser mes doigts sur sa peau. Avec mes mains plus froides que son corps, je viens pincer ses petits tétons tout dur.

Je vois son regard changer. Il est absorbé. Mon grand Harry tombe de son piédestal. Je vais gagner.
Je vois ses doigts s'accrocher au canapé, essayant de résister. Je m'arrête soudainement et le regarde avec mon air innocent.

Il halète légèrement et ses yeux sont brumeux, mais ses joues encore blanches.

Il s'approche doucement de moi et me regarde longuement. Je pense qu'il se demande s'il peut franchir cette barrière. Franchir ce dont on n'a jamais osé franchir.

- Tu le peux Harry, dis-je en murmurant

Il se pince les lèvres, avant de venir doucement contre mon cou, aspirant une petite parcelle de ma peau. Je ne peux m'empêcher d'échapper un gémissement de plaisir. Je m'accroche à sa chemise et continue de faire des bruits sans que je ne puisse m'arrêter. Ses juste ses lèvres contre ma peau qui... m'aspirent. Pourquoi... pourquoi je me sens tout dur ?

Il s'enlève doucement de ma peau avant de venir frôler mon nez du sien. On se regarde doucement, on s'admire. On prend le temps de se sourire, de se détailler. Il a les joues rouges. Mais moi aussi.

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Merci beaucoup d'avoir lu. Je sais que ça n'a sûrement ni queue ni tête, je laisse juste mon imagination divaguer ^^

Flèche épistolaireWhere stories live. Discover now