chapitre 1

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Bonjour à tous mes lecteur, voici une nouvelle histoire que  je voulais partager avec vous. Je demanderais une grande indulgence, car je n'ai pas pu la faire corriger par ma correctrice habituelle, mais je souhaitais tout de même vous partagez cette histoire, qui j'espère vous plaira. N'hésitez pas à me laisser des commentaires pour me donnais votre avis
XoXo



Alice était assis dans un grand bureau depuis un long moment. L’endroit était splendide, des tapis d’or sur le sol et des rideaux imprimés  orientaux. Elle était dans le palais du sultan Ali Zarall, et elle se demandait bien ce qu’elle pouvait faire ici.
Elle était arrivé il y a à peine deux jours, dans son pays sans connaître personne, pour affronter son passé.
Comment pouvait-elle se retrouver dans une situation qu’elle ne comprenait pas ?
Ce matin en se levant, elle se fit arrêter par des gardes qui l’obligèrent à les suivre. Maintenant elle se retrouver ici. Une angoisse commencé à monter et par habitude elle commençait à se gratter les bras. Heureusement pour elle, elle avait mis son gilet de façon à ce que ça n’empire pas au fur et à mesure que l’angoisse prenait.
La porte claqua soudainement et elle le vit entrée. Un homme, grand, tellement beau, une grande carrure des yeux d’un noir corbeau ténébreux, des cheveux noir jais. Il avait un sérieux impressionnant, il  était extrêmement dur d’apparence, il s’assied en face d’elle, sur son bureau, tout en la regardant avec un énorme mépris qu’elle ne comprenait guère. Une très longue entaille, partait de son front, traverser son œil et se finissait sur sa joue. Etrangement, cela n’était pas effrayant et cela lui donnait un charme quelle ne pu négligé.

Alice :  Écoutez monsieur, je ne sais pas ce que je fais là je suis…

Ali :  Suffit !

Son ton était froid et cela ne présage rien de bon. Elle se tue en baissant son regard, elle avait juste envie de ne plus exister, de ne plus être là.

Ali : Alors mademoiselle Cali, vous pensiez vous en sortir comme ça, sans aucun problème ?

Elle le regarda surprise, ne comprenant pas du tout de quoi il parlait.

Alice :  Excusez-moi mais, vous devez confondre.

Il frappa la table de son bureau, avec la paume de sa main, elle sursauta et cela  le fit sourire, oui il savait bel et bien à qui il parlait. Il parlait à la fille de la personne qui l'avait jadis arnaquer de plusieurs milliers de dollars. Elle était jeune, extrêmement belle avec ses cheveux noirs monter en un chignon négliger, ses grands yeux verts , une petite bouche rosé et un teint de porcelaine.

Ali : Vous êtes bien Alice Cali ?

Alice : Euh…. Oui mais… je ne vous connais pas.

Il fut extrêmement vexé qu’elle ne puisse connaître le sultan de ses lieux, qu’elle ne puisse ne jamais avoir entendu parler de lui. Où était-ce une comédie afin de l’énerver, ce qui était déjà le cas.

Ali : Vraiment, pourtant votre père me connaît bien lui ! Je suis le sultan de ces terre !

Elle leva ses grands yeux verts et les écarquilla, quand elle entendit le mot sultan. Même si elle étaient dans son palais, elle ne s'attendait pas à le voir en personne. Mais ce qui la marqua le plus était le mot père, elle eu un pincement au cœur.
Elle était venue pour le voir mais elle ne comprenait absolument pas ce que le sultan faisait là et surtout pourquoi il l'avait arrêté.

Alice et le Sultan amoureuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant