chapitre 7

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Ali : Je croyais vous avoir dit de ne pas sortir.

Elle sursauta.

Alice : Je suis désolé, je pensais que je ne croiserai personne.

Il la regarda intensément, elle était tellement belle avec ses longs cheveux qui tombé au creux de ces reins et qui ondulé à chaque coup de vent. Elle portait une petite robe à fleurs, qui dévoiler ses longs jambes, elle était tout simplement sublime.
Le sultan s’approcha d’elle et lui pris une mèche de ses long cheveux soyeux entre ses doigts, elle tressai. Soudain, ils entendirent au loin une voix féminine et des grincement de talon sur le sol. Quand Alice regarda dans la direction de cette voie, elle vit une femme, grande, blonde, cheveux courts avec une robe qui devait coûter une fortune, des chaussures à talon aiguille. Elle se demandée comment elle pouvez tenir debout avec ce genre de chose. Cette femme se précipita sur le sultan en posent sa tête sur son épaule et en prenant son bras avec possessivité. Elle lui tendis un paquet cadeau avec un grand sourire, il le prit et l'ouvrit  nerveusement. Alice était extrêmement mal à l'aise, elle se demandée ce qu'elle faisait encore là. Elle avait juste envie de disparaître, son cœur cogner dans sa poitrine, il devait être intime, c'était évident.
Elle avait une proximité avec lui que Alice jalouser.

Ali : Une rolex ?

Sarah : Oui chéri, pour ta collection.

Ali : Je n'ai pas de collection de Rolex.

Son ton était froid.

Sarah : Alors tu peux commencer à en faire une.

Ali regardait Alice et Sarah se mis à en faire de même avec dédain.

Sarah : Qui est-ce ?

Ali voulait répondre, mais Alice le fis à place.

Alice : Je m'occupe des jardins… Je plante des fleurs.

Sarah : Vous faites cela la nuit ? C'est étrange.

Alice : Les fleurs pousse plus vite si on les plante la nuit.

Alice leur souris en espérant que le sultan ne lui en veuille pas, elle parti en baissant la tête, le plus rapidement possible.
Ali était en colère contre lui-même, il était parti deux semaine et la première chose qu'il fût, quand il était rentré, c'était de lui crier dessus.
Alors qu'il avait juste envie de la prendre dans ses bras, puis ensuite il lui avait fait de la peine.
Son anniversaire était ennuyeux, il était sorti pour prendre l'air et penser à autre chose, quand il la vis son cœur s'arrêta. Elle était tellement belle, il se rendit  compte qu'il avait de fort sentiments pour elle et Sarah était venu tout gâchée. Il quitta la soirée en laissant en plan cette femme, qui ne voulait que devenir la prochaine sultane. Il se dirigea dans la chambre de Alice et frappa à la porte.
Elle lui ouvris vêtu d’une longue nuisette en soie noir, ses cheveux lâcher, ondulée sur son corps, elle fut surprise de voir Ali devant elle.

Alice : Vôtre altesse tout va bien ?

Il entra et elle ferma la porte, sans comprendre pourquoi il était face à elle à cette heure là.

Alice : Qu’est-ce qui se passe ?

Il la regarda, mais ne dis rien, ce qu’il lui fit peur. Elle voulu s’approchait de lui mais ce retient, il posa ses yeux sur son décolletée  et sa mâchoire ce crispa.

Alice : Vous n'êtes pas avec vos invitées?

Ali : Ou est votre fiancé ?

Alice : Excusez-moi ?

Il lui pris la main et désigna la bague.

Ali : Votre fiancé, où est-il ? 

Alice regarda ça bague avec un regard triste, non elle n'était pas fiancée, il lui caressa la paume de la main et un frisson la parcouru.

Ali : Comment a-t-il pu vous abandonner ? Il n'a même pas essayé de prendre de vos nouvelles. Si sa avait était moi, j'aurais tout fait pour que vous retrouver.

Alice : Je ne suis pas fiancée.

Ali : Qu’avez-vous dit ?

Alice : Je ne suis pas fiancée  je ne l'ai jamais était.

Ali la regarda avec un espoir. Pourquoi portait-elle une bague de fiançailles ? Son cœur s'accélèra.

Alice : Ne me dites pas que vous avez abandonné tout vos invitées juste pour cela ?

Il la regarda, mais ne répondit rien. Elle se mordit la lèvre inférieur et ne comprenait absolument pas ce qu'il faisait la. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que ce geste le suffit à le rendre fou.

Alice : Vôtre petit amie doit vous attendre, vous devriez y aller.

Elle voulu dégager sa main, mais il l'empêcha de partir. Alice le regarder avec étonnement. Que diable voulait il ? Pourquoi ce comportait-il de cette façon ? Son contact contre ça peau la fit frissonner, mais elle devait se ressaisir. Il se regardèrent dans un silence pesant pour elle.

Ali : Pourquoi lui avoir dit que vous étiez ma jardinière ?

Alice : Qu’aurai je du dire, j'étais censée être dans ma chambre. Je ne devais pas vous faire honte… Je n'avais pas envie qu'elle se fasse des idées, je ne voulais pas vous causer du tort.

Il fronça les sourcils, comment pouvez qu'elle pensait qu'elle pouvait lui faire honte.

Alice : Ne m'en voulez pas, s'il vous plaît… Je ne pensais pas croisé quelqu'un dans les jardins.

Il était en colère, mais plus, qu’elle puisse avoir de tel penser.
En regardant le sol, il vit une enveloppe, il se baissa et la prit, il remarqua que sont nom y était inscrit. Alice lui arrachât des mains pour la mettre dans la poubelle.

Ali : Que faites-vous ? Rendez-moi cette enveloppe.

Alice : Non, ce n’est rien, inutile vous devriez retrouver vos invitées maintenant.

Ali se dirigea vers la poubelle et pris l'enveloppe qui s'y trouvé, il se rendit  compte qu'il y avait un petit paquet au fond de la poubelle, il le prit également. Il regarda Alice, qui était extrêmement mal à l'aise et ce cacher les yeux avec ses mains.

Alice : Je vous en prie ne les ouvrez pas.

Ali : Mon nom est écrit dessus, ils sont donc pour moi.

Alice : Oui mais non… Enfin … S'il vous plaît… Si vous l'ouvrez je mourrais de honte.

Il lui fit un clin d’œil avec un sourire en coin charmeur.

Ali : Je vous ressusciterais.

Alice et le Sultan amoureuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant