chapitre 5

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Elle ne bougea pas un moment, avant de comprendre ce qu'il venait de se passer. Puis elle s’allongea sur le lit, elle avait adoré et savourer ce baiser. C’était la première fois qu’un homme la regarder de cette façon. Elle n’avait jamais connue un homme aussi charismatique et beau que lui, il émaner une force qui lui faisait quelque chose.
Au bout de quelques heures, elle décida de se rendre dans son bureau. Alice frappa à la porte est entra. Le sultan était fasse à la baie vitrée, pensif, il ne l'avait visiblement pas entendu. Elle entra dans le bureau, les mains derrière le dos et de sa petite voix est lui dis :

Alice : Je suis désolé votre altesse.
Il se retourna, visiblement surpris qu'elle soit là et ne comprend pas pourquoi elle s'excuser.

Alice : Avez-vous eu des nouvelles de… mon… père ?

Le mot, père, eut du mal à sortir de sa bouche.

Ali : Je suis navré mais non.

Devait-il lui dire la vérité?  Non ! Il ne savait pas pourquoi, mais  il voulait la protéger. Lui dire que son père lui avait tout rejeter sur le dos était impensable.

Alice : Mais alors… Qu'est-ce qu'il va m’arriver ?

Il ne répond dis pas,  il l’observait, elle avait remis son gilet, elle était mal à l'aise.  Était-ce dû à leur baiser?  Comme il ne répondit pas, elle continua de parler.

Alice : Est-ce que vous voulez me garder ici jusqu'à que vous récupérer votre argent ?

Il la regarda et il éprouva de la peine, elle voulait partir, elle ne voulait pas rester.  Mais lui, ne voulais pas qu’elle parte. Ali ne pouvait s’empêcher de repenser à leur baiser avec envie .
Il voulait recommencer, encore et encore.
Comme elle n’avait aucune réponse, elle commençait à se gratter l’avant-bras

Alice : J'ai … besoin de savoir ce qu’il va m’arriver… Vous comprenez… Il faut que…Que je…

Il fronça les sourcils, elle commençait à avoir une crise d'angoisse. Avant que cela  puisse empirer, il se précipita sur elle, Ali  la prit dans ses bras et étrangement elle se calma  aussitôt.

Ali : Il ne vous arrivera rien si vous restez avec moi.

Alice : Jusqu’à quand ? J’ai besoin de savoir.

Ali : Quand j'aurai retrouvé votre père, vous pourrez partir.

Alice : Vous savez que je n’y suis pour rien n’est-ce pas?

Il ne répondit pas, trop occupé à humer son odeur.

Ali :  Vous devriez manger maintenant.

Il l’invita dans le petit salon adjacent à son bureau, divers mets fut posé sur la table. Des petites pâtisseries orientales et des plats savoureux.
Elle s’assied, il se mit à côté d’elle ce qu’il étonna, car la table était assez grande.

Ali : Vous devriez manger.

Elle fronça des sourcils, mais ne se fit pas prier  après tout elle avait très faim, il l’observa engloutir quelques pâtisseries, tout en fronçant les sourcils.

Ali :  Êtes-vous en train de bouder?

Alice : Oui !

Il s’adossa à sa chaise un sourire en coin.

Ali : Pourquoi cela  ?

Alice :  Par ce que vous ne me croyez pas !

Il fronça des sourcils toute en s'approchent d’elle, il lui pris la main, et la regarda dans les yeux.

Ali : Bien-sûr que si je vous crois !

Alice : Alors qu'est-ce que je fais encore ici ?

Ali : Je ne peux vous répondre pour le moment.

Elle retira sa main violemment et se leva pour partir, mais il l'en n’empêcha en lui prenant le bras.

Alice : Lâchez moi !

Ali : Je n'en n'ai pas envie.

Alice : Je ne suis pas un jouet !

Il se renfrogna.

Ali : Que voulez-vous dire par là ?

Alice : Je ne coucherais pas avec vous, par ce que mon père vous dois de l'argent !

Il lui fit fasse, elle ne pouvait plus bouger, il s'approcha lentement de ses lèvres et lui murmura.

Ali : Sachez mademoiselle, que je ne couche pas. Je fais uniquement l'amour et je sais que vous en mourrait d'envie, votre corps parle de lui-même.

Alice : C’est pourtant vous qui m'avez embrasser !

Il regarda ses lèvres avec la furieuse envie d’y goûter de nouveaux, mais il ne le fallait pas, après tout elle était fiancée. Il repris son sérieux.

Ali : En effet ma petite Alice et ce fut une terrible erreur.

Elle senti sont cœur se briser, même si elle ne le connaissais pas, cela était extrêmement vexant. Elle avait toujours eu une piètre opinion d'elle, mais le fait qu'on puisse le lui rappeler était quelque chose de douloureux.
Elle recula de quelque pas puis partie dans sa chambre. Son cœur bâter rapidement.  Elle s'attacher à lui, comment cela pouvait être possible, elle ne connaissait que depuis peu de temps. Est-ce le coup de foudre ? Non ! Elle ne croyais pas en amour, c'était seulement une attirance physique, c'est ce qu'elle se répéter à elle-même. Au bout d’un  moment elle décida d’aller faire un tour dans les jardins, elle n'avait pas envie de rester enfermé continuellement.
D’autant  plus qu'elle ne savait pas combien de temps elle aller rester ici. En chemin, elle rencontra un homme, qui s’occupait des jardins, il lui montra toutes les fleurs. Cela lui fit plaisir de pouvoir parler à quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui ne la rendez pas coupable de tous, et qui ne se jouer pas de ses sentiments.

Nabil : Tenez mademoiselle, une rose aussi belle que vous.

Alice lui souris, elle pris la fleur pour la sentir, mais une main la lui pris et là jetât au sol. C’était lui, le sultan, il foudroyer le jardinier du regard.

Ali : Tu n'as pas du travail Nabil !

Nabil : Si votre altesse, j'y retourne maintenant.

Nabil partit en faisant un petit sourire à Alice qui le lui rendit.

Alice : Vous étiez obligé d’être si dur avec lui !

Il lui pris la main et la fit entré de force à l'intérieur. Il était clairement jaloux, ce n'était pas dans ses habitudes et cela l'énerver.

Alice : Pourquoi réagissez vous comme cela ? Vous pensez que je ne mérite pas d'avoir une rose ?

Ali : Nabil est un coureur de jupons, il flirt avec toute les femmes qui entre au palais !

Son ton était glacial. Que lui arrivait-il encore ? Alice ne savais pas quoi dire, elle préféra partir mais avant, elle décida de lui dire ce qu'elle pensait au fond d'elle-même.

Alice : Je sais que vous regrettez ce baiser, mais sachez que moi non.

Elle parti dans sa chambre, elle se sentait épuisée. Elle était la depuis peu de temps et pourtant elle avait l'impression d'être ici depuis des semaines, voir des mois.

Bonjour,  sachez que ce chapitre à était publié sans faire attention lol, mon cher compagnon et moi-même étions en pleine conversation et je corriger le chapitre en même temps et pouf j'ai publié par inadvertance 😂

Alice et le Sultan amoureuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant