Chapitre 12.

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PDV de Lucy.

Il s'approche de moi, je ne fais aucun geste et je reste stoïque tout en continuant de le regarder.

Il se met devant moi en me souriant puis dévi son regard vers la machine.

Je le suis du regard, je ne peux m'empêcher de le contempler en me mordant très légèrement la lèvre.

Il est toujours aussi beau..

Me rendant compte de ce que je pense, je me mets à rougir toute seule et secoue discrètement la tête.

Je me reconcentre sur lui. Il est concentré sur la machine, l'examinant.

Il pianote un code sur le clavier et la machine fait un bruit sourd, pas du tout normal.

Je fais les gros yeux, pensant qu'il la cassé mais le bruit du café se déversant dans un goblé attire mon attention.

Il la réparer ?

Il se retourne toujours souriant.

-eh voilà, comme neuf.

Je le regarde et souris timidement.

-Merci. Soufflais-je.

Son sourire s'élargit.

-Mais derien, tout le plaisir était pour moi Lucy.

Son timbre de voix était plus grave, ce qui me fait glousser.

-Il manquait plus que la révérence. Dis-je dans un rire.

Il a un hoquet de rire.

Depuis que je l'ai revu, c'est la première fois que je ne suis pas mal à l'aise de lui parler.

Je me rend compte que ça m'avait vraiment manqué..

On se calme et il me lance un regard complisse. Avant de détourner le regard vers les couloirs et gratter sa nuque.

Il avait habitude de faire ça lorsqu'il était nerveux.

-bon je retourne à mon post, on se revoit plus tard.

-oui ! A plus tard Natsu.

Il se retourne et marche vers les couloirs, mais il se stop et se retourne tout doucement vers moi.

Il me regarde intensément droit dans les yeux.

- « Le soleil, tu souris. La pluies, tu es mélancolique, quelque soit le temps, souris. Tu es ce soleil qui illumine ma vie » cite t-il. j'ai bien vu que quelque chose n'allait pas samedi, alors s'il te plaît, souris, je n'aime pas te voir comme tu l'étais..vraiment..

Il me souris faiblement et continu sa route.
Je reste les yeux brillants continuant de le regarder.
Mon cœur à cessé de battre, et je ne bouge plus.

Il s'en ai rappelé ?

Flash back.

Il y'a 3 jours c'etait mon anniversaire.
Mais cette année, je n'y arrive pas..
Cette endroit, je ne le supporte plus..

Je l'a revois.. Tout le temps.

J'ai eu 17 ans.. Et mon père m'a donné une lettre.
Sa lettre..

Je suis recroquevillé sur mon lit la tenant fortement contre ma poitrine, cette lettre, ses mots m'ont transpercé de toute part, comme des millier d'aiguilles s'enfuissant dans tout mon corps mais surtout mon cœur..
Je ne peux pas me les enlever de la tête.

Amour à distance. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant