Le fort

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-Harold !!! Cria une voix de l'autre côté de la cascade.

Moi et tout les dragons atterrissions le long de la rivière, former par la cascade. Je déssendi, de jumper.

-Harold!!! cria à nouveau une voix.
Je me retouna et marcha en direction de cette voix, qui ne m'était pas inconnu.
Contournant la cascade, je découvri une petite cavité, a peine visible et mi engouffra. Après avoir fait quelques mètres, je découvrie ma mère. Celle-ci était entortillée, dans ce qui était sûrement la corde qu'elle avait mis dans sont sac, mais qui n'était plus qu'un ama de noeux. Je me mis alors a rire également suivie par jumper qui poussait des son semblable à un ricanement.

-Arrêtez de vous moquer et vener plutôt m'aider, dit t'elle en ronchonnant.

- Oui bien sure, réussige à articuler entre deux ricanements.

Je pris la dague que je portais à la cuisse et me mis à découper les cordages. Après quelques minutes, ma mère pue enfin sortir de tous ses noeux.

-Nous Parton dans 12 minutes, alors vas installer Une selle sur le dragon qui vas t'accompagner, dit t'elle.
-ok

Je parti alors à la recherche du dragon et j'avais ma petite idée de lequel choisir

Je marchais calmement au travers des dragons, mais avec un certain empressement. Avec tous ces dragons coloré il était difficile de retrouver celui que je cherchais. Je réussi enfin a le trouver, une femelle dragon vipère, bleu, cette dragonne avait été retrouvée blessé, elle s'était certainement enfuie.

Je lui enfila la selle et lui installa un armure sur le ventre, car le ventre était la seul parti ou est-ce qu'elle n'avait pas d'écailles. Par la suite je monta sur sont dos et reparti trouvé ma mère qui était sûrement prête.

Je la retrouva elle et jumper en armure.

-Harold est-tu près?
-oui, il ne me reste plus qu'a mettre mon casque
-bien

J'installas mon casques noir
Et d'un seul geste de main tout les dragons y compris nous nous envolament vers nôtre destination.

Pendant le vole ma mère m'explica le déroulement de la mission...

-Harold? Tu m'écoute?

-oui oui, dige en sortant de mes pensées

-bien alors je te disais, que tu ne devais pas avoir de pitié, pour ces hommes.

-oui je sais, d'éclaraige en roulant des yeux.

-bien, alors prépare toi nous approchons

Malgré la noirceur nous pouvions apercevoir les torche éclairant ici et là le campement. J'agripa les deux lame attachée dans mon dos et les déguénas. Je pris un instant pour fermer les yeux et fermer mon esprit et ne laisser aucun émotion altérer mon jugement. Cette nuit sera longue et personne ne pourra prédire se qui se passeras...

Et si tout était différent...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant